Mithra

Ils ne voileront pas entre vos regards ces mots
Qui éliront Dorothée cochard tête de liste
Bien devant moi ( farid khenat ) son vrai acolyte
Qui vous laissera en sa compagnie jusqu’à nouvel ordre.
Merci. La parole est entre ses lèvres, la décision aussi,
Pour vous en dire que vous n’avez pas à trop parler
Pour ne rien dire.
J’en suis vraiment navré ! Je lui offre cette parole que vous n’avez pas.
Moi farid khenat.
À très bientôt.

Figée, sous les clameurs des spectres, elle,
L’aveugle des derniers temps, a prié Isis
Les yeux fermés pour y rester encore belle
Entre les cendres des souvenirs d’Apis.

Sa voix n’en avait pas l’aiguë de femme
Qui pourrait le réveiller de son somme
Eternel pour lui ranimer ses douces flammes.

L’appel restait vieux sous les blanches laines
Qui recouvraient lentement les rires du gnome
Que nulle ne reconnaît entre toutes les reines,

Et Pharaon qui n’en avait pas de dieu à prier,
En entendant le rire qui n’est pas de son temps
A repris son sommeil profond pour charroyer
L’Egypte à l’histoire de ses beaux printemps.


moi farid khenat et dorothée cochard.

Amenez-vous loin avant l’avalanche des maux !
Endolorissez soigneusement vos sourds mots !
Il fera noir ce soir sous vos regards blafards,
Et vous ne verrez ni feu ni trame dans l’écart
S’étirant bien noir autour du néant qui ingurgite
L’effort solennel des constellations insolites.

Débourrez vos jambes sans laisser de traces
Après l’effort que vous mèneriez sans grâce
Pour rattraper l’espoir qui en débarre sa fuite
Méticuleusement derrière l’allure des mythes !

L’attente est une durée bien vide qui sustente
L’espoir voulant lever le long toit de l’attente.
La durée est le long toit qui l’abritera orphelin
Jusqu’au lever qui lui permettra de fuir mutin.

Amenez-vous très loin avant le lever du jour !
Choisissez le chemin qui mènera au secours !
Il fera chaud demain sous vos jambes lourdes
Et vous ne trouverez ni rivière ni attente courte
Sous les ombres qui déguerpissent les chaleurs
Et l’effort solennel du soleil dénudant les leurres.

Amenez-vous ! L’été ne retardera pas ses ambres
Pour plaire aux vagabonds qui aiment les ombres.
Le soleil n’abandonnera pas ses doucereux matins
Pour se cacher derrière les mimes du temps pantin.
Son génuflecteur est le seul maître devant sa foi
Et il ne retardera pas ses bruits pour décrier la loi.

moi hamid khenat.

Non à l’âarurs qui ne rougissent pas devant leurs sales faits.
Non à la lâcheté qui rhabille le mensonge sur le lit de la vérité.
L’éthique pleure encore le bradage des inconscients sournois
Qui détournent injustement l’amovibilité des hommes benoîts.
L’humilité a plié ses ailes devant vos hideux actes pour y rester
Déambulante entre vos tendances qui desservent les délestés.
La honte qui dansote vibrante tantôt à gauche tantôt à droite,
Se Maintient encore avec son équilibre au devant de vos actes
Qui déshabillent les vrais acteurs derrière toutes les scènes
Que vous aimez revoir nues pour en assouvir vos bestialités reines.
La justice vous entoure de chaudes mains quand les vent froids
Dénudent les droits de ceux que vous gardez sous les pieds de la loi.
Retournez-vous pour voir un peu où dansent vos filles et belles filles !
Revenez à la réalité pour humer la senteur qui humidifie nos tilles !
Nous ne sommes pas à vendre pour vous laisser maintenir vos pieds
Debout où vous morcelez ceux des autres qui ne veulent pas se plier.
Nous ne sommes pas des chiens pour nous museler matin et soir.
Vous êtes l’opprobre de notre histoire qui attirera un jour vos regards,
Et si vous me voyez menteur en vous insultant, ces mots sont les miens
Et ils témoigneront demain de ma non appartenance à votre espèce de chien…



hamid khenat sans relâche.

mohamed, akli, houcine ahmed rabah dahmane, salah, et compagnie n'ont rien avoir ici.

"je ne suis pas de ceux qui mâchent leur mots pour plaire désolé !"
moi hamid khenat

Je l'accompagnerai à sa léthargie avec soin,
L’envie qui voulait m‘en offrir ton beau corps
Afin d’en accorder un répit à l’humble essor
Qui raccompagnait mes attraits à leur point.

Je l’endormirai où l’amour perdra ses efforts
Quand ton image se montrera floue au recoin
De mes yeux qui voulaient cerner leur point
D’attrait pour retrouver le somme et l’accord.

Les mendiants assouvissent souvent leur faim
D’un croc usé prestement au seuil de la mort
Qui leur rappelait subrepticement que l’effort
Est l’unique secours des déclassés bien mutins.

L’amoureux vain renie fréquemment son sort
Quand l’amour trépasse sur son long chemin
Courageusement, pour mener une lutte sans fin
Entre les inextinguibles flammes des remords.

Cet amour, je l’accompagnerai à sa fin avec soin
Sans rabattre sur son recourbé chemin, l’effort
Que j’ai exhumé du cimetière où l’ultime essor
Gît encore sans aile afin de le laisser aussi vain.

Ton image, je l’offrirai à la souvenance qui dort
Au côté de l’essor que j’ai inhumé au recoin
De mes yeux qui ont cerné fermement leur point
D’attrait, sans doute sans regrets sans remords.




hamid khenat.
je n'ai rien avoir avec rabah, aziz, akli kamel et complices.