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Le Manège N'est Pas Au Temps.


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#1 vent

vent

    .............................

  • TLPsien
  • 182 posts

Posted 26 November 2006 - 08:39 PM

J’entremêlais chaque soir mes doux mots
Avant de les accorder à leurs lèvres lisses
Et j’attribuais toute la longueur des repos
À mon licier pour en adoucir le ton des bises.

La durée, je l’avais tissée lente en tes yeux
Et sa couleur qui reluisait, de mon doux feu
Je l’avais tirée pour dorer les fils lumineux
Qui pouvaient noircir avec la chute des cieux.

La chaleur que tu en avais vive en ton cœur,
Du soleil, je l’avais recouvrée sans clameur
Pour réchauffer tes impulsions et ta froideur ;
Et le sommeil qui rechignait souvent ta peur,

Je l’avais rattrapé volant entre les pléiades
Sidérales afin de l’endormir d’une ballade
Sous tes mirettes qui restaient en l’incartade
Du temps, ouvertes et figées avec ses lads.

J’entremêlais chaque matin mes doux regards
Avant de les accorder lents à leurs trajectoires,
Et j’attribuais enchanté ma longueur ténue
À mon licier pour te broder une neuve tenue,

Mais tu n’étais pas vive aux pourtours du jour
Pour t’amadouer et caparaçonner ton amour
Et ce que, j’en avais tissé vaillamment autour
Je l’avais déchiré d’un autre moi le licier court.



farid khenat.

" je mérite ou je ne mérite pas, ça n'a aucune importance.
moi, j'ai écrit, j'écris et j'écrirai encore ici et ailleurs bon ou mauvais et ça, n'engage que moi " n'est-ce pas monsieur med akli heddadou ?
moi farid khenat à bon entendeur.
je ne crois pas au Père noël désolé !
kamel, akli, mohamed, le blond moqueur, kahina, ahmed, slimane et compagnie n'ont rien avoir ici.
moi hamid khenat sous le masque.

Edited by vent, 27 November 2006 - 06:28 PM.


#2 JSCQE

JSCQE

    .............................

  • TLPsien
  • 305 posts

Posted 27 November 2006 - 02:27 PM

Citation (vent @ Nov 26 2006, 08:39 PM) <{POST_SNAPBACK}>
J’entremêlais chaque soir mes doux mots
Avant de les accorder à leurs lèvres lisses
Et j’attribuais toute la longueur des repos
À mon licier pour en adoucir le ton des bises.

La durée, je l’avais tissée lente en tes yeux
Et sa couleur qui reluisait, de mon doux feu
Je l’avais tirée pour dorer les fils lumineux
Qui pouvaient noircir avec la chute des cieux.

La chaleur que tu en avais vive en ton cœur,
Du soleil, je l’avais recouvrée sans clameur
Pour réchauffer tes impulsions et ta froideur ;
Et le sommeil qui rechignait souvent ta peur,

Je l’avais rattrapé volant entre les pléiades
Sidérales afin de l’endormir d’une ballade
Sous tes mirettes qui restaient en l’incartade
Du temps, ouvertes et figées avec ses lads.

J’entremêlais chaque matin mes doux regards
Avant de les accorder lents à leurs trajectoires,
Et j’attribuais enchanté ma longueur ténue
À mon licier pour te broder une neuve tenue,

Mais tu n’étais pas vive aux pourtours du jour
Pour t’amadouer et caparaçonner ton amour
Et ce que, j’en avais tissé vaillamment autour
Je l’avais déchiré d’un autre moi le licier court.

farid khenat.

" je mérite ou je ne mérite pas, ça n'a aucune importance.
moi, j'ai écrit, j'écris et j'écrirai encore ici et ailleurs bon ou mauvais et ça, n'engage que moi " n'est-ce pas monsieur med akli heddadou ?
moi farid khenat à bon entendeur.
je ne crois pas au Père noël désolé !
Laisses les critiques (je suis en premiére ligne) et ton poême est exellent . Bien à toi . LE VIEUX.




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