Tu ne sais quoi écrire, alors tu triches.
Bonhomme conscient de ces verbes latents
Tu t'isoles effrayé de t'être étouffé.
Alors
Tu meurs à petit feu sous les cieux qui s'éteignent
Et tu vois et te noies sur les creux des non-sens.
Et pourtant il s te minent
Les riens, les peu, les infimes
Infinies loghorrées
Borborygmes inaudibles
Qui chantonnent à qui veut...
Une histoire de meurs
Et des mots difficiles
Des aplats colorants
Pour sonnets éclatants
Ecrasé de ouis dire
Qui se jettent au visage
Enfantant malgré tout des horizons pervers.
Mais
Tu perçois que ça vibre
Clic
Clac
Clap.
Car
Tu ne sais plus quoi dire.
Bitume arrogant
Affolant de beauté
Me fascine et me parle
De ces pas évidents
Je marche peu importe:
Cailloux
Herbes battues
Troncs irradiés de douleur
Océans déchus qui se tirent
Et se hissent là-haut
Cabanes adossées
Murets immolés
Ils vous hainent
Pourtant, je crois que je vous aime.
Bonhomme conscient de ces verbes latents
Tu t'isoles effrayé de t'être étouffé.
Alors
Tu meurs à petit feu sous les cieux qui s'éteignent
Et tu vois et te noies sur les creux des non-sens.
Et pourtant il s te minent
Les riens, les peu, les infimes
Infinies loghorrées
Borborygmes inaudibles
Qui chantonnent à qui veut...
Une histoire de meurs
Et des mots difficiles
Des aplats colorants
Pour sonnets éclatants
Ecrasé de ouis dire
Qui se jettent au visage
Enfantant malgré tout des horizons pervers.
Mais
Tu perçois que ça vibre
Clic
Clac
Clap.
Car
Tu ne sais plus quoi dire.
Bitume arrogant
Affolant de beauté
Me fascine et me parle
De ces pas évidents
Je marche peu importe:
Cailloux
Herbes battues
Troncs irradiés de douleur
Océans déchus qui se tirent
Et se hissent là-haut
Cabanes adossées
Murets immolés
Ils vous hainent
Pourtant, je crois que je vous aime.