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emeline

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Offline Last Active Dec 20 2006 06:46 AM
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Figures

18 December 2006 - 11:19 AM

Fourré aux paradoxes

Le dégoût, c'est bien cela que je m'inspire
Pourtant
je n'en peux plus de cette sensation surtout quand je le dis. Surtout cela

Nous ne sommes que des incapables à nou-er
au lieu de je-ter

J'aimerais vomir tous les retournements assidus qui s'opèrent
comme la tête qui se cambre vers la queue.
C'est détestable de ne plus en pouvoir,
la main sans cesse savonneuse qui ne débraye pas la corde
enfin les corps

qui m'hantent cette profondeur qui se devrait évitée
alors qu'il n'y a que de l'absolu et de l'intemporelle.

Les tords de la mer ne balayent pas la souffrance
ils n'existent pas, elle est déroulée. Son eau est pure

Des Terres Rousses

08 December 2006 - 09:36 AM

Je viens de réaliser
Il y a quelque chose de désagréable dans l'évolution/ bref. les minutes qui passent là quand
on est ensemble. C'est bien si tu lis parce que c'est pour toi.

Donc, en faite, on se connaît depuis que tu as fini d'être malade
Ou quasiment, depuis que tu te sens doucement mieux
Ca signifie qu'on se connaît depuis que tu commences à oublier les souvenirs immédiats de l'afrique
C'est triste ça, non ? les souvenirs
A quoi ça sert. non on s'en fout en théorie. mais en vrai ça rassure, et bien sur que toute la
terre et les yeux te sont rentrés dans la peau, mais les émotions on a pas envie obligatoirement
de les transformer en quelque chose de bon d'utile pour l'avenir. à savoir l'expérience
Les transformer en savoir. On aimerait plutôt les garder intacts. Parfois

Surtout pour l'Afrique
Pour l'odeur et le reste

Persiennes

07 December 2006 - 01:49 AM

Un tas résolu, sublime or envié


Tu danses j'ai la rudesse de ton être entre l'épiderme. Sublime or envié tâche les yeux des faux entrechats entrelacs.
C'est dur d'être avec toi, c'est dur quand tu sautes sautes.
comment peux tu donner autant d'amour

The Birds

04 December 2006 - 09:53 PM

Où Lakanal se perchait au dessus du mur,
pour ne pas perdre à savoir que j'étais vivante
j'y tendais le cou fripé c'était l'aube chaude.

Tu nous avais réveillés en trop
et c'est seulement quand on a pu entendre que les escaliers de l'internat
ne résonnaient pas ; l'ordre du retour.

Déjà prendre ton embryon
à tours de hanches et décimer les minutes
à battre les invectives de tes affiches de propagande communiste denses.
Pour si peu de maîtres ronds
boursouflés de mêtres carrés.

Pour choix, la construction de l'intelligence de la chambre.
Je savais qu'une partie du dialogue se lisait sous la table,
encore que proie à ton immobilité je ne ne pouvais que
choisir de le savoir ou d'y penser.

Certains jours je venais en bordure des deux verbes,
celui ci où j'ai pu prolonger le voyage
au bout de la nuit les pieds dans la poussière
Pour pause qu'avaient les éléments préparés.
Ou j'ai suivi aussi la dissection du temps
et de ses principes sur l'espace, de son visage.

Or, jetée mêlée pressé la seconde compression
et lumière de vie. En toi et alors
je ne sais plus très bien si tu t'es égaré;
lorsque tu m'as mise neutre sous forme allongée.

Même que pour couper aux sens ton impression. Face au bas
et sans râle, pourtant l'oxygénation presqu'entremêlée comme le tissu des draps
Tu me balançais le corps de façon à déposer ton épiderme autour.

Diable, j'étais prise. Mais debout et dehors
je souhaitais que tu rêves

Entourée de tes fresques soudaines, par la force de ton corps, je tenais de mon poing à ce que tu ne m'aimes pas.

et puis tu n'as pas vu le visage j'ai ravalé.



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Assurément

04 December 2006 - 09:23 AM

take me take me take me take me take me
sur les monts azurs et menthe

Qu'ils sont froids

"en mots errent"
sur la table
de cour a jardin
take me



Long de la natte par la fenêtre
s'entête au bout

Serre feuille lésée pisse baise les fleuves
Cerfeuil les épices leurs effluves Long Giroudin
giratoire Jibra l'taré, remet moi les limaces sous l'oreiller.
Alors que la chasse, après les cheveux à un qui plantent leur racine dans le sol qui tombent. La mariée morte sous la mare immonde. Facile,
la marée monte



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