Chemin deux vies….
Sur la vie s’est opérée cette cicatrice
Chemin ardu désolé de sacrifice
Sonnez le glas de nos tumultes enchevêtrés,
Sonnez le glas de notre histoire inachevée
Les planches de la vie ont fait jouer l’actrice,
Eclatement des pensées manipulatrices,
La Seine s’est écoulée vers le front de mére
S’échouant sur l’immensité je désespère,
Enferment de mon âme, c’est dévidé,
Cette fosse commune un cadavre inhumé,
Le présent n’est plus, le passé est artifice
Sur le chemin de la vie se forme l’édifice
Sonnant le glas de nos histoires enchevêtrées
Sonnant le glas de nos tumultes inachevés
SC 19 01 06
Chemin deux vies….
Started by Elends, Jan 24 2006 09:16 PM
6 replies to this topic
#1
Posted 24 January 2006 - 09:16 PM
#2
Posted 24 January 2006 - 09:58 PM
je t'encourage, bravo
#3
Posted 24 January 2006 - 11:21 PM
j'aime bien ton poème qui me semble conter une rupture, mais je n'ai pas compris "enferment" : est-ce un verbe ou "enfermement" ? Amitiés
#4
Posted 25 January 2006 - 12:21 AM
Citation (sevlina @ Jan 24 2006, 11:21 PM) <{POST_SNAPBACK}>
j'aime bien ton poème qui me semble conter une rupture, mais je n'ai pas compris "enferment" : est-ce un verbe ou "enfermement" ? Amitiés
Bien vu,
Je réécris, c'est le côté positif de la situation si j'ose dire, et je publie qqs poésied depuis peu sur ce site
Ou c'est une rupture qui est vécu comme l'enfermement de l'âme....
Merci pour l'encouragement
ElendS
Chemin deux vies….
Sur la vie s’est opérée cette cicatrice
Chemin ardu désolé de sacrifice
Sonnez le glas de nos tumultes enchevêtrés,
Sonnez le glas de notre histoire inachevée
Les planches de la vie ont fait jouer l’actrice,
Eclatement des pensées manipulatrices,
La Seine s’est écoulée vers le front de mére
S’échouant sur l’immensité je désespère,
Enfermement de mon âme, c’est dévidé,
Cette fosse commune un cadavre inhumé,
Le présent n’est plus, le passé est artifice
Sur le chemin de la vie se forme l’édifice
Sonnant le glas de nos histoires enchevêtrées
Sonnant le glas de nos tumultes inachevés
SC 19 01 06
#5
Posted 25 January 2006 - 01:03 AM
Il y a beaucoup de mots très poétiques dans tes vers et la structure de ton texte a de solides atouts.
C'est un plaisir pour moi, de te lire, Elends !
Voyageur
C'est un plaisir pour moi, de te lire, Elends !
Voyageur
#6
Posted 25 January 2006 - 07:01 AM
Dramatiquement beau ,
Amitiés Valérie
Amitiés Valérie
#7
Posted 26 January 2006 - 12:41 AM
Seule ma noiceur assombrit la blancheur de ces pages vides,
Mes maux m'aménent sur mes avides besoins,
Mes mots s'éteindront quand la lumière viendra,
Emaux, beauté atteinte,
et les mots rejoindront les pensées, puis les oeillets...
en fin les crises en thèmes
Je regretterai de ne plus m'exprimer ici
Mais je ne suis pas encore guéri,
Quinze ans déjà, internet n'existait pas
Le silence s'ébruite, renait des cendres dispersées
Merci d'apprécier de me comprendre
Bonne nuit
Seule ma noiceur assombrit la blancheur de ces pages vides,
Mes maux m'aménent sur mes avides besoins,
Mes mots s'éteindront quand la lumière viendra,
Emaux, beauté atteinte,
et les mots rejoindront les pensées, puis les oeillets...
en fin les crises en thèmes
Je regretterai de ne plus m'exprimer ici
Mais je ne suis pas encore guéri,
Quinze ans déjà, internet n'existait pas
Le silence s'ébruite, renait des cendres dispersées
Merci d'apprécier de me comprendre
Bonne nuit
Pardonnez mes fautes... frappées, deux fatigues
Mes maux m'aménent sur mes avides besoins,
Mes mots s'éteindront quand la lumière viendra,
Emaux, beauté atteinte,
et les mots rejoindront les pensées, puis les oeillets...
en fin les crises en thèmes
Je regretterai de ne plus m'exprimer ici
Mais je ne suis pas encore guéri,
Quinze ans déjà, internet n'existait pas
Le silence s'ébruite, renait des cendres dispersées
Merci d'apprécier de me comprendre
Bonne nuit
Seule ma noiceur assombrit la blancheur de ces pages vides,
Mes maux m'aménent sur mes avides besoins,
Mes mots s'éteindront quand la lumière viendra,
Emaux, beauté atteinte,
et les mots rejoindront les pensées, puis les oeillets...
en fin les crises en thèmes
Je regretterai de ne plus m'exprimer ici
Mais je ne suis pas encore guéri,
Quinze ans déjà, internet n'existait pas
Le silence s'ébruite, renait des cendres dispersées
Merci d'apprécier de me comprendre
Bonne nuit
Pardonnez mes fautes... frappées, deux fatigues
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