Cher Voyageur,
Le monde de tes mots est vraiment merveilleux. Même la mélancolie y est décrite suivant un ajustement parfait.
Une complémentarité parfaite qui indique la profondeur et l'essence de ta réalité autant qu'être accompli et inachevé.
Bravo encore, tu me séduit par ta dextérité dans l'utilisation des mots simples mais significativement pronfonds.
Amicalement. Saxah Feyn
saxahfeyn's Content
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#324072 La Mélancolie Parsème L'univers Tout Entier ...
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on 21 May 2006 - 02:08 PM
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Salon de publication principal
#324057 Un Seul Sait Ce Que Nous Sommes
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on 21 May 2006 - 12:56 PM
in
Salon de publication principal
Chère Héloise,
Confusion dans ma proposition. Je m'excuse pour mes propos.
Je me suis permis de te demander à toi de le reécrire dans une expérience "universelle".
C'est à dire que tes mots sont vraiment riches et significatifs qu'ils puissent nous décrire une expérience ultime. C'est un compliment de ma part. Je trouve et c'est mon point de vue que la richesse doit habiter l'universel.
Mes mots à moi sont vraiment pauvres et je suis vraiment maladroit dans mon expression linguistique.
Mais ça fait rien je pourrais essayer d'écrire cette expérience universelle et elle te sera dédiée.
Encore je m'excuse pour le malentendu. Je t'estime beaucoup; tu as belle plume et l'âme de poète.
Amicalement. Saxah Feyn
Confusion dans ma proposition. Je m'excuse pour mes propos.
Je me suis permis de te demander à toi de le reécrire dans une expérience "universelle".
C'est à dire que tes mots sont vraiment riches et significatifs qu'ils puissent nous décrire une expérience ultime. C'est un compliment de ma part. Je trouve et c'est mon point de vue que la richesse doit habiter l'universel.
Mes mots à moi sont vraiment pauvres et je suis vraiment maladroit dans mon expression linguistique.
Mais ça fait rien je pourrais essayer d'écrire cette expérience universelle et elle te sera dédiée.
Encore je m'excuse pour le malentendu. Je t'estime beaucoup; tu as belle plume et l'âme de poète.
Amicalement. Saxah Feyn
#323375 Un Seul Sait Ce Que Nous Sommes
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on 18 May 2006 - 01:35 PM
in
Salon de publication principal
Chère Héloise,
Cette réponse est publiée sous le titre "aux âmes éternelles" une erreur s'est glissée (ainsi est faite ma vie). Je le laisse comme texte et je te l'envoie à toi. MESSAGE:
Chère Héloise,
Un joli texte bien qu'il soit personnel.
Son titre est vraiment provocateur.
J'ai tout de suite penser à Dieu puis vînt la science, enfin tout est dissipé dans une ambiguité totale.
Je te demande, si tu le permets et bien sûr avec toute la considération que j'ai pour toi (ton écriture me plaît, je n'arrive pas encore à la cerner) de le reécrire dans un style moins personnel, genre expérience universelle. ça devrait dégager quelque chose de profond comme "l'ultime expérience"
Amitiés. Saxah Feyn.
Cette réponse est publiée sous le titre "aux âmes éternelles" une erreur s'est glissée (ainsi est faite ma vie). Je le laisse comme texte et je te l'envoie à toi. MESSAGE:
Chère Héloise,
Un joli texte bien qu'il soit personnel.
Son titre est vraiment provocateur.
J'ai tout de suite penser à Dieu puis vînt la science, enfin tout est dissipé dans une ambiguité totale.
Je te demande, si tu le permets et bien sûr avec toute la considération que j'ai pour toi (ton écriture me plaît, je n'arrive pas encore à la cerner) de le reécrire dans un style moins personnel, genre expérience universelle. ça devrait dégager quelque chose de profond comme "l'ultime expérience"
Amitiés. Saxah Feyn.
#319790 Le "secret" De L’âme ?
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on 04 May 2006 - 10:10 PM
in
Salon de publication principal
Cher voyageur,
Très émouvant ton poème: une triade parfaite.
Avec peu de mots tu arrives à nous captiver.
On dirait que ton poème se continue en nous dans le silence d'une solitude originelle, un secret de création qui se continue dans un rêve silencieux qui nous guette à chaque rencontre, à chaque tentative de briser la sangle; un péché: le miroir se brise plus rien ne dure, un vide de vide, l'absence extrême. Pourquoi moi, pourquoi toi, pourquoi un pourquoi, pourquoi pourquoi pourquoi...
Merci bien Voyageur: tu nous guides vers la sérénité.
Saxah feyn.
Très émouvant ton poème: une triade parfaite.
Avec peu de mots tu arrives à nous captiver.
On dirait que ton poème se continue en nous dans le silence d'une solitude originelle, un secret de création qui se continue dans un rêve silencieux qui nous guette à chaque rencontre, à chaque tentative de briser la sangle; un péché: le miroir se brise plus rien ne dure, un vide de vide, l'absence extrême. Pourquoi moi, pourquoi toi, pourquoi un pourquoi, pourquoi pourquoi pourquoi...
Merci bien Voyageur: tu nous guides vers la sérénité.
Saxah feyn.
#312397 Prélude
Posted by
on 04 April 2006 - 10:51 PM
in
Le petit salon...
Sur les rides de mon visage dorment tes mémoires
Et de l’éclat de mes cheveux jaillit mes espoirs
Tes sourires angéliques emprisonnent mes fureurs
Et ta voix de ténor berce mes profondeurs
Ô sulfureuse reine, mon cœur captif de ta lumière
Ne cesse de t’aimer cherchant ta prière.
Sur les rives de ta vie agglutinent mes tristesses
Et de la clarté de ta peau émanent mes tendresses
Mes pleurs enfantins ornent ta clairvoyance
Et mon chant obscur perturbe ton apparence
Accepte de moi beauté, cette pauvre préface
Signe de ma fidélité à ton charme vivace.
Et de l’éclat de mes cheveux jaillit mes espoirs
Tes sourires angéliques emprisonnent mes fureurs
Et ta voix de ténor berce mes profondeurs
Ô sulfureuse reine, mon cœur captif de ta lumière
Ne cesse de t’aimer cherchant ta prière.
Sur les rives de ta vie agglutinent mes tristesses
Et de la clarté de ta peau émanent mes tendresses
Mes pleurs enfantins ornent ta clairvoyance
Et mon chant obscur perturbe ton apparence
Accepte de moi beauté, cette pauvre préface
Signe de ma fidélité à ton charme vivace.
#306243 Le Mur d'avant le Big Bang ...
Posted by
on 18 March 2006 - 09:36 PM
in
Salon de publication principal
Très beau poème de l'ultime création! Voyageur
Au delà du temps, au delà de mes instants
Le mur de Planck me voile la vue créant ma vie
Ma langue muette, mon langage s'effrite
Mes sens s'adoucient, ma raison s'affaiblit
Je m'accroche au mur d'un Niels pur
Une logique superposée à un fantôme en landes
Que reste-t-il alors d'un concept friand
Sinon une abnégation relevant le défi
D'un être faible, errant et obscurci.
Je te souhaite bon voyage au confins d'un univers où le temps n'existe pas.
SFEYN.
Au delà du temps, au delà de mes instants
Le mur de Planck me voile la vue créant ma vie
Ma langue muette, mon langage s'effrite
Mes sens s'adoucient, ma raison s'affaiblit
Je m'accroche au mur d'un Niels pur
Une logique superposée à un fantôme en landes
Que reste-t-il alors d'un concept friand
Sinon une abnégation relevant le défi
D'un être faible, errant et obscurci.
Je te souhaite bon voyage au confins d'un univers où le temps n'existe pas.
SFEYN.
#256971 (Parenthèses)
Posted by
on 15 September 2005 - 09:55 PM
in
Salon de publication principal
Emouvant poème, Michel.
ça nous fait réflechir sur nous-même et sur le sens pronfond et intrisèque de notre existence.
Je te croyait seulement quantique, mais apparemment tu es encore freudien.
ça va ensemble en tout cas. Merci pour toutes ces parenthèses.
Amicalement. SFeyn
ça nous fait réflechir sur nous-même et sur le sens pronfond et intrisèque de notre existence.
Je te croyait seulement quantique, mais apparemment tu es encore freudien.
ça va ensemble en tout cas. Merci pour toutes ces parenthèses.
Amicalement. SFeyn
#256123 L'Imprévisible Amour
Posted by
on 13 September 2005 - 11:34 AM
in
Salon de publication principal
Très joli poème, Héloise.
Merci bien, tu viens nous consoler par cet "imprévisible amour" usant des mots simples qui retentissent jusqu'aux confins de notre âme sensible.
Imprévisible car il frissonne entre le temps et l'éternité.
Amitiés. Saxah Feyn
Merci bien, tu viens nous consoler par cet "imprévisible amour" usant des mots simples qui retentissent jusqu'aux confins de notre âme sensible.
Imprévisible car il frissonne entre le temps et l'éternité.
Amitiés. Saxah Feyn
#254970 Pour que tu restes (prière)
Posted by
on 10 September 2005 - 04:31 PM
in
Salon de publication principal
Ma douleur est grande est je vais périr
La plaie est profonde, je ne veux pas guérir
Laisse moi le temps j’ai tout à t’offrir
Prends ma main et emmène moi sous tes embrages
Fais moi voir que la vie n’est qu’un mirage
Donne moi la foi et arme moi de courage
Pour découvrir tes trésors et chercher tes secrets
Dans le murmures des rivières et les fleurs des près
Dans mes relations intimes et les liens sacrés
Bénie moi en m’offrant ta grâce et ta bonté
Montre moi le chemin dans ta trace et ta loyauté
Pour qu’un jour je puisse voir ta face et ta beauté
La plaie est profonde, je ne veux pas guérir
Laisse moi le temps j’ai tout à t’offrir
Prends ma main et emmène moi sous tes embrages
Fais moi voir que la vie n’est qu’un mirage
Donne moi la foi et arme moi de courage
Pour découvrir tes trésors et chercher tes secrets
Dans le murmures des rivières et les fleurs des près
Dans mes relations intimes et les liens sacrés
Bénie moi en m’offrant ta grâce et ta bonté
Montre moi le chemin dans ta trace et ta loyauté
Pour qu’un jour je puisse voir ta face et ta beauté
#253716 Tableau en feu....
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on 07 September 2005 - 06:24 PM
in
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Formidable poème émanant d'une âme très sensible.
Bravo Elysa. Tu me donnes l'envie de rechercher encore l'ultime...
Saxah Feyn
Bravo Elysa. Tu me donnes l'envie de rechercher encore l'ultime...
Saxah Feyn
#253319 Fille de Niels Bohr
Posted by
on 06 September 2005 - 11:40 PM
in
Salon de publication principal
Effectivement Michel et plus exactement sur une longueur d'onde Bohrienne où les régles de sélection joue un rôle important.
Nous ne pouvons danser comme on veut,
Laissons-nous aller avec le miniscule quantum,
Pour voir le monde dans sa génèse extraordinaire,
Revenir vers ses origines, se construire en particules, atomes et étoiles,
Des étoiles aux atomes, une main subtile le guide vers son seigneur,
Et l'homme stupéfait devant cette grandeur ne trouve que les amplitudes miraculeuses,
Pour expliquer le saut quantique et son mystérieux tunneling,
Eloges au génie Niels Bohr et ses adeptes pour avoir tenté l'impossible.
Amicalement à toi Michel. Saxah Feyn.
Nous ne pouvons danser comme on veut,
Laissons-nous aller avec le miniscule quantum,
Pour voir le monde dans sa génèse extraordinaire,
Revenir vers ses origines, se construire en particules, atomes et étoiles,
Des étoiles aux atomes, une main subtile le guide vers son seigneur,
Et l'homme stupéfait devant cette grandeur ne trouve que les amplitudes miraculeuses,
Pour expliquer le saut quantique et son mystérieux tunneling,
Eloges au génie Niels Bohr et ses adeptes pour avoir tenté l'impossible.
Amicalement à toi Michel. Saxah Feyn.
#253140 Fille de Niels Bohr
Posted by
on 06 September 2005 - 06:20 PM
in
Salon de publication principal
Merci pour ton passage sur ce petit poème, l'Occis-temps.
En fait, je ne suis ni physicien ni poète. J'essaye avec beaucoup d'efforts d'être tous les deux.
D'après ton commentaire, tu n'es pas un epistomologue occasionel mais plutôt averti. " Mystères du dedans aux pauvres yeux humains" est un principe de complémentarité implicitement appliqué.
Mes amitiés à toi aussi, et bonnes réflexions sur les mystrieux trèsors de l'infiniment petit.
(sfeyn)
En fait, je ne suis ni physicien ni poète. J'essaye avec beaucoup d'efforts d'être tous les deux.
D'après ton commentaire, tu n'es pas un epistomologue occasionel mais plutôt averti. " Mystères du dedans aux pauvres yeux humains" est un principe de complémentarité implicitement appliqué.
Mes amitiés à toi aussi, et bonnes réflexions sur les mystrieux trèsors de l'infiniment petit.
(sfeyn)
#252668 Fille de Niels Bohr
Posted by
on 05 September 2005 - 07:16 PM
in
Salon de publication principal
Théorie quantique, jolie petite fille, cantique qui tu es?
Je n'ai rien compris dans ta nature et pourtant tu me plais
Tes attraits sont multiples malgré ton réel voilé
Ouvre moi tes portes pour que je puisse t'envahir
Investiguer tes sentiers étroits, tes recoins ambigüs et ton avenir
Je ne crois pas que tu puisses résister au harcelement d'un souvenir
Un événement qui dure et génére le paradoxe de Zénon
D'après tes postulats, il est devenu trés probable, dis moi oui ou non
Réponds moi franchement, si en toi il y a présence d'un démon.
Je n'ai rien compris dans ta nature et pourtant tu me plais
Tes attraits sont multiples malgré ton réel voilé
Ouvre moi tes portes pour que je puisse t'envahir
Investiguer tes sentiers étroits, tes recoins ambigüs et ton avenir
Je ne crois pas que tu puisses résister au harcelement d'un souvenir
Un événement qui dure et génére le paradoxe de Zénon
D'après tes postulats, il est devenu trés probable, dis moi oui ou non
Réponds moi franchement, si en toi il y a présence d'un démon.
#252240 Crépuscule (Portrait de femme)
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on 04 September 2005 - 10:59 PM
in
Salon de publication principal
A toi ma dulcinée, je t'ai aimée et je t'aimerai tant
Au nombre des étoiles qui scintillent dans le firmament
Au nombre des feuilles habillant les arbres des forêts
Au nombre des grains de sable et des fleurs des prés
Au nombre des atomes habitant mes plus intimes profondeurs.
A toi ma douleureuse histoire de fee et mon tourment
Qui ne cesse de me hanter jours et nuits et pourtant
Ni souvenirs, ni temps n'acclament ta présence auprès
De mon coeur lassant les perpétuelles torpeurs.
A toi charmante séductrice, ravaudeuse de mes instants
Il n'y a pas de doute, c'est toi le messie garant
Des peines et souffrances d'un trophée mordoré
De mes pleurs et tendres gémissements sacrés
Dans les sourds désirs d'un romantique rêveur.
A toi femme, être magnifique, satané et imprévisible
Aimant la luxure au delà des interdits jusqu'à la folie
De toi vient la vie des mesquins, troubles créatures
Et vers toi se dirigent leur frénésie et mésaventure.
Combien j'ai cru en ton essence spontanéee et paisible
Reine de la tendresse, immuable vigile de l'agonie
Fidèle incontournable des messagers de la nature
Tu étais l'étoile par excellence des poètes du futur
Presque un ange envoyé d'un ciel sans divinité
Une sagesse arborant la terre jusqu'à l'infini
Une sueur suave coulant sur le front des innocents
Une douceur s'écoulant sur les lévres des immaculés
Tu étais la somptueuse reine d'un conte de fee.
Et il ne reste de toi que l'odeur d'une turpide vanité
Une inconsciente mémoire d'une socièté proscrite et bannie
Une marchandise aux étales de sordides commerçants
Des jouisseurs orgiaques tous des maculés.
Tu es devenue un crépuscule à l'aube de l'humanité.
Au nombre des étoiles qui scintillent dans le firmament
Au nombre des feuilles habillant les arbres des forêts
Au nombre des grains de sable et des fleurs des prés
Au nombre des atomes habitant mes plus intimes profondeurs.
A toi ma douleureuse histoire de fee et mon tourment
Qui ne cesse de me hanter jours et nuits et pourtant
Ni souvenirs, ni temps n'acclament ta présence auprès
De mon coeur lassant les perpétuelles torpeurs.
A toi charmante séductrice, ravaudeuse de mes instants
Il n'y a pas de doute, c'est toi le messie garant
Des peines et souffrances d'un trophée mordoré
De mes pleurs et tendres gémissements sacrés
Dans les sourds désirs d'un romantique rêveur.
A toi femme, être magnifique, satané et imprévisible
Aimant la luxure au delà des interdits jusqu'à la folie
De toi vient la vie des mesquins, troubles créatures
Et vers toi se dirigent leur frénésie et mésaventure.
Combien j'ai cru en ton essence spontanéee et paisible
Reine de la tendresse, immuable vigile de l'agonie
Fidèle incontournable des messagers de la nature
Tu étais l'étoile par excellence des poètes du futur
Presque un ange envoyé d'un ciel sans divinité
Une sagesse arborant la terre jusqu'à l'infini
Une sueur suave coulant sur le front des innocents
Une douceur s'écoulant sur les lévres des immaculés
Tu étais la somptueuse reine d'un conte de fee.
Et il ne reste de toi que l'odeur d'une turpide vanité
Une inconsciente mémoire d'une socièté proscrite et bannie
Une marchandise aux étales de sordides commerçants
Des jouisseurs orgiaques tous des maculés.
Tu es devenue un crépuscule à l'aube de l'humanité.
#250638 L'ILLUSION
Posted by
on 01 September 2005 - 01:35 PM
in
Salon de publication principal
Merci Elysa. :wink:
Effectivement, ce que j'ai voulu exprimé, Heloise l'a résumé par un texte très éloquent.
Ivre d'espoir, je ne sais comment vivre cette tendre réalité secouée.sfeyn
---------------------------
L'avenir est un lieu commode pour y mettre des songes.
(Anatole France)
Effectivement, ce que j'ai voulu exprimé, Heloise l'a résumé par un texte très éloquent.
Ivre d'espoir, je ne sais comment vivre cette tendre réalité secouée.sfeyn
---------------------------
L'avenir est un lieu commode pour y mettre des songes.
(Anatole France)
#250434 L'ILLUSION
Posted by
on 01 September 2005 - 12:11 AM
in
Salon de publication principal
Merci Heloise.
Bien dit, Heloise. Tout ce qu'on a accompli mérite les applaudissements du Grand Jury.
Le mince espoir qui me reste à moi est la dernière strophe. L'insaisissable rêve qui ne me quitte plus. Une ivresse chagrinée qui voltige entre rêve et réalité. Tendre réalité secouée. Les larmes et les prières ne suffisent plus à la satisfaire.
---------------------------------------------
Le bonheur est salutaire pour les corps, mais c'est le chagrin qui développe les forces de l'esprit. (Marcel Proust)
Bien dit, Heloise. Tout ce qu'on a accompli mérite les applaudissements du Grand Jury.
Le mince espoir qui me reste à moi est la dernière strophe. L'insaisissable rêve qui ne me quitte plus. Une ivresse chagrinée qui voltige entre rêve et réalité. Tendre réalité secouée. Les larmes et les prières ne suffisent plus à la satisfaire.
---------------------------------------------
Le bonheur est salutaire pour les corps, mais c'est le chagrin qui développe les forces de l'esprit. (Marcel Proust)
#250145 L'ILLUSION
Posted by
on 31 August 2005 - 12:36 PM
in
Salon de publication principal
L'illusion est intitulée dune sur dune car elle décrit un amas d'atomes (dune) sur un amas de sable (dune) et elle est aussi désert sur désert. Un monde sans morale ne propageant que le mal. Le monde du bien est un rêve qu'on constitue par des sacrifces, c'est un idéal et une quête inachevée.
Malgré la variation et la varièté des créations et créatures l'homme ne trouve rien de bien à faire que la guerre et la compétition sauvage qui est à l'origine de son malheur. Je me vois alors comme un contemplatif ébahi et consterné par cette grande création venir d'un temps qui a précédé le nôtre, parcourant les âges misérables de l'homme et recherchant l'ultime vérité. Malheureusement, je n'ai vu que guerres et haines. Mesquin alors est l'homme. Je plonge en moi et je trouve une lutte épouvantable qui m'habite mais subsiste un rai de lumière d'un espoir qui se dessine à l'horizon. Le monde à visage humain. Quand et où je ne sais pas.
L'Eden est désert et ce n'est qu'un rêve qui m'apporte des images et des odeurs d'un monde que j'ai laissé derrière moi. Ce fut un temps d'une illusion.
Dune sur Dune
Voyager à travers les myriades
Plus beau que le ciel
Plus subtil que l'atome
De toile en toile sidéré
De paysage en paysage enchanté
Ta création et ta créature sont prisonnières
De ton joug, une perpétuelle illusion.
Telle une platitude déserte
Un infini sans horizon
Je me vois venir d'un âge anté-temps
Parcourir des odyssées sanglantes
Des créatures immondes me traversent
Et je ne fais que résister à la tentation
D'être un jour un jouet de ton illusion.
Poussière pour poussière
Je m'efforce à chercher dans la matière
Un temps, une poésie, une mélodie secrète
Un chant des anges me rappelle
Que je ne suis qu'un homme
Ô faible créature, que cherches-tu
Sinon ta propre destinée, une illusion.
Je me noie au plus profond de moi
Des sensations étranges me hantent
De guerre en guerre essoufflé par la lutte
Je me réveille en plein désert assis
Au sommet d'une dune jambes croisées
Le doigt pointé à l'horizon d'un bleu d'azur
Une silhouette s'érige et me guide vers mon illusion.
Et moi et mon illusion
Nous ne sommes que deux ombres d'un parfait rêve
Suspendues à une colombe embaumée d'un parfum d'Eden
Propageant la fraternité ; l'hymne d'une chimère quantique
Survolons des temps ornés de fleurs, un paradis désert
Dune sur dune, atomes sur atomes que d'amas
De souvenirs et de fantômes empilés aux fins fonds d'un temps.
Une illusion.
Malgré la variation et la varièté des créations et créatures l'homme ne trouve rien de bien à faire que la guerre et la compétition sauvage qui est à l'origine de son malheur. Je me vois alors comme un contemplatif ébahi et consterné par cette grande création venir d'un temps qui a précédé le nôtre, parcourant les âges misérables de l'homme et recherchant l'ultime vérité. Malheureusement, je n'ai vu que guerres et haines. Mesquin alors est l'homme. Je plonge en moi et je trouve une lutte épouvantable qui m'habite mais subsiste un rai de lumière d'un espoir qui se dessine à l'horizon. Le monde à visage humain. Quand et où je ne sais pas.
L'Eden est désert et ce n'est qu'un rêve qui m'apporte des images et des odeurs d'un monde que j'ai laissé derrière moi. Ce fut un temps d'une illusion.
Dune sur Dune
Voyager à travers les myriades
Plus beau que le ciel
Plus subtil que l'atome
De toile en toile sidéré
De paysage en paysage enchanté
Ta création et ta créature sont prisonnières
De ton joug, une perpétuelle illusion.
Telle une platitude déserte
Un infini sans horizon
Je me vois venir d'un âge anté-temps
Parcourir des odyssées sanglantes
Des créatures immondes me traversent
Et je ne fais que résister à la tentation
D'être un jour un jouet de ton illusion.
Poussière pour poussière
Je m'efforce à chercher dans la matière
Un temps, une poésie, une mélodie secrète
Un chant des anges me rappelle
Que je ne suis qu'un homme
Ô faible créature, que cherches-tu
Sinon ta propre destinée, une illusion.
Je me noie au plus profond de moi
Des sensations étranges me hantent
De guerre en guerre essoufflé par la lutte
Je me réveille en plein désert assis
Au sommet d'une dune jambes croisées
Le doigt pointé à l'horizon d'un bleu d'azur
Une silhouette s'érige et me guide vers mon illusion.
Et moi et mon illusion
Nous ne sommes que deux ombres d'un parfait rêve
Suspendues à une colombe embaumée d'un parfum d'Eden
Propageant la fraternité ; l'hymne d'une chimère quantique
Survolons des temps ornés de fleurs, un paradis désert
Dune sur dune, atomes sur atomes que d'amas
De souvenirs et de fantômes empilés aux fins fonds d'un temps.
Une illusion.
#250008 EROSION
Posted by
on 30 August 2005 - 11:29 PM
in
Salon de publication principal
Sublime poème, Heloise.
Une extraordinaire description de l'impossible séparation avec des mots féeriques.
Comment vous faites pour les choisir :wink:
Bonne continuation. sfeyn
Certaines âmes vont à l'absolu comme l'eau va à la mer.
( Henry Millon de Montherlant)
Une extraordinaire description de l'impossible séparation avec des mots féeriques.
Comment vous faites pour les choisir :wink:
Bonne continuation. sfeyn
Certaines âmes vont à l'absolu comme l'eau va à la mer.
( Henry Millon de Montherlant)
#248912 Froid dedans
Posted by
on 28 August 2005 - 12:26 PM
in
Salon de publication principal
Très beau poème, Elysa.
Pour moi il décrit la triste réalité de l'espoir.
Le malheureux instant présent d'un temps causal qu'on ne peut raccommoder ni au passé, ni au futur.
Reste alors le douleureux sentiment d'une quête inachevée d'un instant éternel.
Tendrement la réalité. sfeyn
Pour moi il décrit la triste réalité de l'espoir.
Le malheureux instant présent d'un temps causal qu'on ne peut raccommoder ni au passé, ni au futur.
Reste alors le douleureux sentiment d'une quête inachevée d'un instant éternel.
Tendrement la réalité. sfeyn
#248791 vestige d'un temps
Posted by
on 27 August 2005 - 11:14 PM
in
Salon de publication principal
Cicatrice pronfonde stigmate de mes âges
De toi j'en suis marqué sois mon beau présage
Ne refuse pas ma prière, n'éttouffe pas mon espérance
Libère mon illusion donne lui plus de confiance
Ne la laisse pas seule dans cette cité aride
Ni tendresse, ni amitié que des âmes cupides
Il n' y a que toi qui puisses sauver ce naufragé
Des dents de la bête avide et enragée
Une âme perdue dans les méandres d'un temps passé
Un temps qui ne revient jamais hélas
Un temps, une plaie, un souvenir
Quoi d'autres je ne me souviens plus
Je m'évanouis en vapeur pure et je monte au ciel
Peut être que là-haut je rencontrerais l'éternel
A sa corde je m'agrippe, à son trône je me prosterne
Qu'il me porte dans sa tolérence et qu'il souffle
Sur moi sa bénédiction et sa clémence
Une caresse divine quoi de plus sinon
Une onde d'un vent dévoilant les sûblimes vérités
D'un être doux subtil et ami transcendant tous les temps
De toi j'en suis marqué sois mon beau présage
Ne refuse pas ma prière, n'éttouffe pas mon espérance
Libère mon illusion donne lui plus de confiance
Ne la laisse pas seule dans cette cité aride
Ni tendresse, ni amitié que des âmes cupides
Il n' y a que toi qui puisses sauver ce naufragé
Des dents de la bête avide et enragée
Une âme perdue dans les méandres d'un temps passé
Un temps qui ne revient jamais hélas
Un temps, une plaie, un souvenir
Quoi d'autres je ne me souviens plus
Je m'évanouis en vapeur pure et je monte au ciel
Peut être que là-haut je rencontrerais l'éternel
A sa corde je m'agrippe, à son trône je me prosterne
Qu'il me porte dans sa tolérence et qu'il souffle
Sur moi sa bénédiction et sa clémence
Une caresse divine quoi de plus sinon
Une onde d'un vent dévoilant les sûblimes vérités
D'un être doux subtil et ami transcendant tous les temps
#246874 Instant de foi
Posted by
on 22 August 2005 - 10:07 PM
in
Salon de publication principal
Nabri, un jardin fleuri de coeurs mûris dans une atmosphère de sagesse
Une fenêtre entreouverte, un rayon de lumière pénétre, il m'éblouit
Et je ne vois que toi
Depuis, je sombre dans le désespoir, l'esprit en tourment et ma vie n'est qu'un tort
Suis-je réveillé ou je dors
Je ne le sais pas
Tout ce que je sais est que je ne fais que t'attendre
Pourquoi et pour quand
Je ne le sais pas
La fête commence, une bouche sourit, un coeur en tristesse, le temps s'arrête
Et je me retrouve enfoui parmi mes lointains souvenirs
Une femme les yeux en larmes me contemple
Je lui tends la main
Elle s'en va
Un volcan s'éteint, et nos chemins se séparent pour toujours
Une fenêtre entreouverte, un rayon de lumière pénétre, il m'éblouit
Et je ne vois que toi
Depuis, je sombre dans le désespoir, l'esprit en tourment et ma vie n'est qu'un tort
Suis-je réveillé ou je dors
Je ne le sais pas
Tout ce que je sais est que je ne fais que t'attendre
Pourquoi et pour quand
Je ne le sais pas
La fête commence, une bouche sourit, un coeur en tristesse, le temps s'arrête
Et je me retrouve enfoui parmi mes lointains souvenirs
Une femme les yeux en larmes me contemple
Je lui tends la main
Elle s'en va
Un volcan s'éteint, et nos chemins se séparent pour toujours
#246868 Ce qui reste de moi
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on 22 August 2005 - 09:56 PM
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Merci bien Heloise pour cette pertinente remarque. je vous suis très reconnaissant.
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Celui qui ne connaît pas les langues étrangères ne sait rien de sa propre langue (Goethe)
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Celui qui ne connaît pas les langues étrangères ne sait rien de sa propre langue (Goethe)
#246851 Ce qui reste de moi
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on 22 August 2005 - 09:15 PM
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Merci bien Elysa, très encourageant de votre part. :wink:
C'est à partir de toi que j'ai dit oui au monde (Paul Eluard)
C'est à partir de toi que j'ai dit oui au monde (Paul Eluard)
#246237 Ce qui reste de moi
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on 20 August 2005 - 11:44 PM
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En moi il y a presque toi
Presque le ciel et ses nuages
Presque le vent et ses promenades
Presque la mer, ses vagues et ses bateaux
Presque tout ce que je vois loin de toi et près de mon coeur
Il y a l'univers et ses mystères
L'instant premier et les temps qui s'écoulèrent
La vertigineuse chute aux enfers
Tout réside en moi et j'ai l'air
De quelqu'un qui s'enfouit dans le désert
J'épargne mon souffle en t'attendant
Réponds moi beauté de la beauté
Bonté de l'âme, corps de ma félicité
Dis moi si en toi il y a de moi
Moi qui suis évaporé dans mes émois
Moi qui me reste de moi
Moi l'idiot d'autrefois
Qui suis balladé d'errance en errance
Cherchant la foi et la tolérance
Respirant l'espoir et l'espérance
Réponds moi ange de mes nuits
Et musique de mes ennnuis
Réponds moi, dis quelque chose de toi
Raconte ton monde et ta loi
Raconte ce que tu veux pour qu'on soit
Les meilleurs amis de bon aloi
Presque le ciel et ses nuages
Presque le vent et ses promenades
Presque la mer, ses vagues et ses bateaux
Presque tout ce que je vois loin de toi et près de mon coeur
Il y a l'univers et ses mystères
L'instant premier et les temps qui s'écoulèrent
La vertigineuse chute aux enfers
Tout réside en moi et j'ai l'air
De quelqu'un qui s'enfouit dans le désert
J'épargne mon souffle en t'attendant
Réponds moi beauté de la beauté
Bonté de l'âme, corps de ma félicité
Dis moi si en toi il y a de moi
Moi qui suis évaporé dans mes émois
Moi qui me reste de moi
Moi l'idiot d'autrefois
Qui suis balladé d'errance en errance
Cherchant la foi et la tolérance
Respirant l'espoir et l'espérance
Réponds moi ange de mes nuits
Et musique de mes ennnuis
Réponds moi, dis quelque chose de toi
Raconte ton monde et ta loi
Raconte ce que tu veux pour qu'on soit
Les meilleurs amis de bon aloi
