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[Estérina]

Palpitations

La coquille se vide
Lorsque teintent les heures
Et que déteint le temps limpide
Sur les allées enneigées d’un ailleurs
Givrées de nostalgie avide…


Au fond de moi
De loin en loin
A peine sonore
Un air, fétu de son
Que l’on ignore
Trouble le ton
De mon quotidien sage
Je le fuis ; il s’entête
Je le guette ; il me suit
Une joie discrète
Inonde mes veines
Communion secrète
Ce toi qui traîne
M'emmène
Vers cette ronde vaine
Le monde déverse
Une langue pure
Dont je perce
Le sens obscur
L’espoir s’insinue
Puis me quitte
Une illusion têtue
M’invite
Et malgré moi
M’entraîne
Vers toi.

Voilà que le chant
Au fil des semaines
Remplit tout l’espace
Tout crépite
Tout est trace
Je palpite...

[coucou]

je suis curieux qu'aprés 10 lecteurs, il ne y'avait pas d'avis.

alors que ton poème est très bien fait........

[chacal]

Même avis..je remonte !

[Henri.]

J'aime bien

Henri

[lacape]

moi aussi j'aime !
bonne soirée !

[Layla]

Il y a de très beaux passages!!

Amicalement,

Layla

[Estérina]

Merci à tous pour vos encouragements.
Esther

[MarieM]

Hum, tu as vraiment haussé le réel de plusieurs tons!
Bravo!

[Marcek]

Une belle invasion par les symphonies de l'amour!
Très joli texte sonore !

[irena]

Très agréable état d'âme !!

Amitiés

Valérie