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[Zeek]

Quelle croisade .. Je ne me rappele plus dans l'histoire de sa hauteur, si votre ton correspond à l'époque bien Sad du Marquis .... Et si en finalité justice clémente sera rendu aux lignes d'air qui s'insuffle en vous ... Charnel, ritournel, cage, marécage, chevalier, bouclier, coeur ou armure quoi de plus pure pour tant et si bien s'assouvir en un être divin. Les chevaliers des temps modernes sont bien plus cavalier que chevalier .... Snoblesse oblige !

[Hauteur]

Quelle croisade .. Je ne me rappelle plus dans l'histoire de sa hauteur, si votre ton correspond à l'époque bien Sadique du Marquis .... Et si en finalité, justice clémente sera rendue aux lignes d'air qui s'insufflent en vous ... Charnelle ritournelle, cage, marécage, chevalier, bouclier, coeur ou armure quoi de plus pur pour tant-et-si-bien s'assouvir en un être divin. Les chevaliers des temps modernes sont bien plus cavaliers que chevaliers .... Noblesse oblige !

Cher Zeek,

Nous-autres Chevaliers, sommes sur cette terre
Les derniers survivants d’un révolu passé.
Galants, nobles, érudits, nous portons l’âme fière
En veillant que nos Dames soient toutes choyées.

En ces temps, jeune ami, la vie était bien dure.
Et il fallait du roc, épouser la santé
Pour espérer vieillir, d’aujourd’hui, la moitié.
Mais l’honneur, mon ami, était de l’aventure…

Amitié et plaisir à vous lire.
Hauteur

[Zeek]

La cause est toujours noble pour celui qui la défends
Car jamais ne dément, gagnant ou perdant
La finalité n'a rarement de faim
Ni parfois de lendemain

*Snoblesse = Snob et Noblesse ( en sus de l'ortho, je suis dyslexique lol )

Loin de moi l'idée de critiquer, j'adorre votre chevalresque feuilleton lol
J'attends avec impatiences les prochains récis ....

[Hauteur]

La cause est toujours noble pour celui qui la défend
Car jamais ne dément, gagnant ou perdant
La finalité n'a rarement de faim
Ni parfois de lendemain

*Snoblesse = Snob et Noblesse ( en sus de l'ortho, je suis dyslexique lol )

Loin de moi l'idée de critiquer, j'adore votre chevalresque feuilleton lol
J'attends avec impatiences les prochains récis ....

Vous êtes assidu à notre à nos ébats rimés !
Dame Erre, sans voix, est partie respirer
Car mes derniers états l’ont, le souffle coupé,
Conduite à la ventouse, ou pire, à la saignée.

Gageons que point n’est grave ce passager mal.

Au pays des Helvètes ainsi vous suivez
Nos amoureux échanges et leurs tendres baisers ?
Ma Mie sera contente de vous savoir gré
De sourire à nos jeux et à les commenter…

Amitié et plaisir à vous lire.
Hauteur

A vous deux Hauteur et Erre, mes félicitations. Que de talent ! Vous me faites rêver !

[homere]

Un chevalier guerrier …une douceur lyrique et optimale à la fois. C’est splendide et vous confesse pour ma part que c’est bien le genre même de texte dont je raffole. Amicalement homere. :roll:

[Hauteur]

A vous deux Hauteur et Erre, mes félicitations. Que de talent ! Vous me faites rêver !

Merci, Nicadoume.

Votre plaisir fait le nôtre.

Innocentes répliques de poètes amoureux, nos transports, s'ils vous charment, sont douceur et bonheurs...

Amitiés et plaisir à vous lire.
Hauteur

[Hauteur]

Je vous écris que je vous aime
Mon Chevalier, mon Bel Amour
Vous m'inspirez
C'est avec vous
Seul
Que je veux clore mes yeux...

Qu'importent les regards hautains
Qu'importent les mots raisonnables
Aimer se passe de refrains
Aimer est à lui seul aimable

Pour vous
Je serai cette femme
Qui se donne
Le droit
D'Aimer
Pour vous
Qui se fera plus belle
A votre bras
A vos côtés

L'Amour m'a saisie toute entière
Et je m'y suis abandonnée
Dans l'intense extraordinaire
De ce qui n'a jamais été

Et je m'abandonne à jamais
Sans nier ce désir ardent
Pour un seul homme qui me plaît
Alors qu'il en est tant et tant

Vous êtes
L'élu
De mon coeur
Et tout ce que j'ai de meilleur
N'est que pour vous
Quand vous voudrez
Dans cent années
Ou tout à l'heure...

Je m'étourdis, me compromets
Et je m'oublie, je me permets
De vous écrire
"Je vous aime!"
Mon Chevalier
Mon Bel Amour

Et quand au loin hurle la horde
Dans le gris de ce laid décor
Je m'autorise, je m'accorde
J'ose, me grise, et m'endors

De vous attendre...

Encore...

Votre Dame

J’ai reçu en plein cœur votre déclaration.
Deux cent huit mots d’amour
Glissants comme un velours…
Loin de leurs conventions.

S’échappent mes retenues
Je prends, de vos douceurs, le suc.
Soyez belle, femme-femme
Comme plus on en voit,
Soyez belle, femme-femme
Clouez-moi par mes sens…

Il semble que jamais
Une femme à un homme
N’a dit un tel amour
N’a fait un tel aveu
Dépassé, englouti, je veux crier…

Laissez-moi monter en vous
Laissez mes mots entrer,
Qu’ils pénètrent, s’immiscent
Et vos frissons appellent.

Ma Dame tous mes jours
Seront demain les vôtres
Je vous donnerai tant
Que plus aucun plaisir
Ne vous sera épargné.

Comptez sur les nuages
Si je suis le soleil
Afin de moins brûler
De moins vous consumer
Je brillerai pour vous.

Prendre tout votre don
Pour attiser mes feux
Plus encore vous chauffer
Plus encore vous aimer…


Votre Chevalier.

[Erre]

Dieu, mon Chevalier
Qu'il vous sied
A merveille
De laisser choir la rime
Et la rigueur alexandrine
Pour les plus beaux des mots d'amour!

[Hauteur]

Dieu, mon Chevalier
Qu'il vous sied
A merveille
De laisser choir la rime
Et la rigueur alexandrine
Pour les plus beaux des mots d'amour!

Pour vos beaux yeux, j'ai clos les miens :

Jamais un vers de moi ne voulait n'être alexandrin.
Jamais un vers de moi n'est né autrement.
Mais de vous, mes ressorts sont puissants.

Je parle "coeur", cette langue étrange, seule apte à vous décrire.

Vers tous les horizons mes baisers se dispersent
Sans qu'aucun,
Jamais,
Ne finisse ailleurs que sur votre peau.

La brise sur vos joues
Qui décoiffe,
Qui décoiffe...
La brise vient de mon coeur
En poussant mes baisers.

Respirez-moi...

Je vous aime.

Amitié
Hauteur

[Erre]

Oui

Oui, je vous prends, je vous respire
Quand le vent de mon coeur se lève
Soufflant sur mon coeur esseulé
Les mots que vous venez de dire

Oui, je fais glisser vos paroles
Le long de mes jours qui s'achèvent
Tels des doigts tendrement posés
Sur mes deux hanches qui s'affolent

Oui, je me mets entre vos bras
Dès que trop amère est la sève
De cette vie abandonnée
Je pense à vous, vous êtes là

Oui, je veux bien être la Femme
Celle qui aime et dont on rêve
Pour un Homme, un Chevalier
Qui au nom de l'Amour s'enflamme

Oui, je dépose un doux baiser
Là, sur vos paupières fermées...
Oui

Erre

[Hauteur]

Dame Erre,

Quand, mes paupières closes, vous vivez en moi,
Et qu’à pousser mes feux votre image s’emploie,
Vos lèvres si sucrées me mettent en émoi.
Comment vous déclamer les plaisirs qui m’échoient…

Pour allumer vos yeux des éclats de l’amour
Je veux en tout instant que vous trouviez plaisir.
Que jamais une reine ait connu de désir
Plus que vous ressentiez à vivre tous vos jours.

Vous n’aurez jamais froid : Je commande aux frimas.
Partout où vous irez je créerai les beautés
Que rêvent les Princesses d’encor posséder,
Sans que mises ensembles elles n'aient votre éclat.

Et quand, venu de loin, les mages vous auront
Parés des plus prisés des bijoux de la terre,
Vous goûterez sans fin aux plaisirs de la chair
Que mes mains amoureuses vous procureront.

Hauteur

[heloise]

Héloïse a les yeux pleins de larmes
Car pour elle point d'amour ni de charme
Jamais, plus jamais n'est revenu
Celui qu'elle avait porté aux nues
Plus de beau chevalier guerroyant
Plus de tendre libertin aimant
Héloïse n'est plus qu'une statue
Que l'absence et le silence tuent

[Hauteur]

Héloïse a les yeux pleins de larmes
Car pour elle point d'amour ni de charme
Jamais, plus jamais n'est revenu
Celui qu'elle avait porté aux nues
Plus de beau chevalier guerroyant
Plus de tendre libertin aimant
Héloïse n'est plus qu'une statue
Que l'absence et le silence tuent

Bonjour Héloïse.

Pardonnez-moi si j’ose déranger ici.
Mais je lis vos écrits et essaie d’y trouver
Inconsciemment l’image de celle qui peint.
Et ce matin j’ai lu un désespoir chagrin…

Aussi, puis-je savoir, sans que cela vous gêne,
Si ce que je pressens n’est que cri de théâtre
Ou bien si l’un des miens, Chevalier libertin,
Vous a vraiment trahie, vous laissant au désert.

Si le cas était tel, sans pouvoir vous le rendre,
Vous pouvez être sûre qu’avec tous mes pairs
Traité en hérétique, félon soit banni…
On n’abandonne pas la Princesse Héloïse.



Permettez que je dise, puisque mal est fait,
Et que j’ai dérangé votre temps en l’instant :

Si l’image choisie en place d’avatar
Est bien votre personne et non une imposture,
Qu’il me soit, lors, permis de vous dire, Madame,
Que grâce vénitienne et beauté vous honorent.


Amitié, et plaisir à vous lire.
Hauteur

[heloise]

Il s'agit bien Cher Hauteur de l'image
D'Héloïse réputée toujours si sage
Mais grâce vénitienne et beauté n'ont su
Séduire Casanova hélas perdu

[Hauteur]

Il s'agit bien Cher Hauteur de l'image
D'Héloïse réputée toujours si sage
Mais grâce vénitienne et beauté n'ont su
Séduire Casanova hélas perdu

Cette perte vous laisse en pleurs, à vous languir,
Mais permet à certains de vous faire la cour.
Je n’ai qu’à regarder pour voir dix prétendants,
Laissez-vous, à leurs cris, attendrir et charmer !

Casanova, je sais, n’est point homme à rester.
Quand votre cœur est pris, alors il est comblé
Et il poursuit alors son errance d’amour
Tandis que vous saignez qu’il vous laisse au détour.

Votre cœur s’est fait prendre…

Amitié, et plaisir à vous lire.
Hauteur

[heloise]

Je ne sais où sont ces dix prétendants
Et comment pourrais-je prendre un amant
Alors que mon coeur ne bat presque plus
Et que mon souffle est quasiment perdu
Je ne suis que l'esquisse solitaire
De celle qui fut une si fière guerrière

[système général sériel]

ô mon doux chevalier,
vous qui si bien parlez
amenez-moi au loin
et partageons nos transes
d'aimer jusqu'au matin
de nos incandescences...

J'ai aimé ton poème...

[Erre]

Petit rappel:
Sachez, ô Dames, qu'il est à moi ce Seigneur
Et qu'il ne saurait être question de partage !

[heloise]

Ma Chère Duchesse,
Comme je le dis haut et fort
Mon coeur n'appartient qu'à Casanova
N'aies donc nulle crainte

[Erre]

Bien, mais , je le redis tout de même:

C'est moi, gentes Dames, qu'il sauva d'abord
Qu'il dégrafa avec courage et volonté
Et qu'il porta dans ses bras forts sous l'olivier
Sans craindre monsieur mon mari et sa dent d'or !

[heloise]

Dieu du Ciel ! Que ne puis-je à mon tour
Etre ainsi adorée en retour
Par celui que je vénère tant
Et qui ne fut à moi qu'un instant

[Hauteur]

Je ne sais où sont ces dix prétendants
Et comment pourrais-je prendre un amant
Alors que mon coeur ne bat presque plus
Et que mon souffle est quasiment perdu
Je ne suis que l'esquisse solitaire
De celle qui fut une si fière guerrière

Je vous sais un cœur gros
Echoué à basses eaux.
Il n’est d’homme ici bas,
Fut-il Casanova,
Qui mérite un instant
Que vous le pleuriez tant.

Ecoutez la guerrière
Et redevenez fière,
Que les sourds battements
De votre cœur sanglant
S’ouvrent encore à la vie
De futures envies.

Et que vous renaissiez…

Amitié et plaisir à vous lire.
Hauteur

[heloise]

Je fus il y a bien des saisons une guerrière
Combattante antique, barbare et fière
Je partais casquée et bottée sur ma jument
Débusquant sauvagement mes amants
Mais une nuit je me défis de ma cuirasse
Tant de manier mes armes j'étais lasse
Et ce fut là ma perte et mon déclin
Car je tombai dans de fatales mains

[Hauteur]

ô mon doux chevalier,
vous qui si bien parlez
amenez-moi au loin
et partageons nos transes
d'aimer jusqu'au matin
de nos incandescences...

J'ai aimé ton poème...

Vous aimâtes les miens, mais le son de vos vers
Font résonner en moi le goût des chevauchées.
A votre invitation vous me voyez tenté
De seller deux chevaux et vous quérir, ma chère.

Vous mener, au galop, vers des terres amies
Où, un genou en terre, je déposerai
Mes lèvres sur vos doigts, qu’un jour j’espérerai
Vous voir poser sur moi pour que naisse l’envie.

Amitié et plaisir à vous lire.
Hauteur

[Hauteur]

Bien, mais , je le redis tout de même:

C'est moi, gentes Dames, qu'il sauva d'abord
Qu'il dégrafa avec courage et volonté
Et qu'il porta dans ses bras forts sous l'olivier
Sans craindre monsieur mon mari et sa dent d'or !

Je garde des instants où vous fûtes sans air
Un souvenir ému des atours libérés
Tandis que je rendais à vos poumons gonflés
L’indispensable vent du souffle salutaire.

A la vue de ce sein, que d’aucun espérait,
Et qui, (pour votre aisance), avait jaillit d’un trait,
Je vous avoue le trouble que j’ai ressentis
Alors que je portais votre corps à l’abri.

Le tordu séculaire aux olives flétries
Sous lequel j’ai posé votre corps alangui
Fut jaloux de mes fruits et perdit ses parures !
(Je ne lui offris pas, pour autant, de boutures.)

Ah ! Ma Dame, soyez, de vos craintes guérie.
Je n’ai d’autre olivier que celui qui pour vous
Avait donné son ombre à vos valons si doux.
Aucune autre, en mon cœur, ne vous supplante ici.

Amitié et plaisir à vous lire.
Hauteur

[Erre]

ta ta ta...que de baratin ! :evil:

Ô ! Vous ne soupçonnez la douleur qui m'étreint
Messire, à lire votre grand empressement
Vous baiseriez...
Si promptement
Une autre main
Alors que je me donne à vous entièrement !

Là même où je fais de vous mon beau Chevalier
Vous tentez de séduire une belle étrangère
Non, vous ne savez pas, ce que là vous perdez
Car il n'est d'amoureuse aussi aimante qu'Erre !

Et tandis que mon coeur se retourne en ma gorge
Quand je vous ai offert mes "oui" les plus sincères
Je sens au creux de moi un grand mal qui s'engorge
J'ai mal à en mourrir, non, vous ne m'aimez guère !

Erre

[Hauteur]

Je fus il y a bien des saisons une guerrière
Combattante antique, barbare et fière
Je partais casquée et bottée sur ma jument
Débusquant sauvagement mes amants
Mais une nuit je me défis de ma cuirasse
Tant de manier mes armes j'étais lasse
Et ce fut là ma perte et mon déclin
Car je tombai dans de fatales mains

Qu’à déposer vos armes vous avez perdu !
Reprenez-les que diable ! Et à bas la vertu…
Vous restez bien fidèle à ce triste Messire
Qui vous a flagorné et peut-être bien pire…

Vos prisons sont gardées par vos bons soldats
Qui n’attendent qu’un mot pour vous céder le pas.
Bannissez hors Venise ce Casanova
Qui vous barre les yeux, vous poussant vers le glas…


Amitié et plaisir à vous lire.
Hauteur

[Voyageur]

Chère Madame ERRE ,

Vous qui êtes à l'origine du libertinage sur TLP, est-ce que de temps en temps votre pensée admirable s'égare vers d'autre chose que des plaisirs de votre corps ou ceux de vos admirateurs?


S' il y a une seule personne ici qui pourra recorriger le tire, si je puis me permettre, ce sera vous.

Alors?

Et si vous preniez votre arc de talent et que vous y mettiez une flèche de mots bien aiguisés et que vous releviez un peu le niveau de vos bras pour que la cible soit légèrement au-dessus de la ceinture ?

Cela ne serait-il pas loyale vis-à-vis d'un certain type de lecteurs qui n'ont pas encore atteint la maturité de votre érotisme?


Votre humble Voyageur

[Hauteur]

Chère Madame ERRE ,

Vous qui êtes à l'origine du libertinage sur TLP, est-ce que de temps en temps votre pensée admirable s'égare vers d'autre chose que des plaisirs de votre corps ou ceux de vos admirateurs?


S' il y a une seule personne ici qui pourra recorriger le tire, si je puis me permettre, ce sera vous.

Alors?  

Et si vous preniez votre arc de talent et que vous y mettiez une flèche de mots bien aiguisés et que vous releviez un peu le niveau de vos bras pour que la cible soit légèrement au-dessus de la ceinture ?    

Cela ne serait-il pas loyale vis-à-vis d'un certain type de lecteurs qui n'ont pas encore atteint la maturité de votre érotisme?

 
Votre humble Voyageur

Voyageur,

Molière fit dire à Philinte :

- « Ah ! Qu'en termes galants ces choses-là sont mises ! »

Aussi je vous écris :
Et vous en êtes un autre…

Vous avez écrit :

« Cela ne serait-il pas loyale… »
« loyal » attend le masculin.


Hauteur

PS :

Relever le niveau des innocentes joutes
Si tel est le credo que votre lance bat,
Je vous plains de n’avoir que ce loisir si plat
Pour occuper vos sens et tailler votre route.

Je vois qu’en d’autres terres vous portez combat,
Que vous vous invitez aux brumes des saunas…
Gageons qu’un carré blanc vous avez mis en bas
Pour ne point offusquer le monstre en plein ébat.

Si je puis me permettre de prendre vos armes,
Alors je vous dirais que vos vaines pudeurs
Me dérangent, Monsieur, et que votre rancœur
Se pourrait, loin de nous, aller faire vacarme.

Choisissez un désert, les apôtres l’ont fait,
Et votre humilité en sera renforcée.
Prêchez-y vos repères, et surtout n’omettez
D’enseigner aux scorpions comme est fâcheux, un pet.