Etendue, sur les cours que tu ramais habilement,
Mon regard, si tu t’en souvenais, à sa crainte,
Peu après mon somme où les flots suavement
Se caressaient, je l’avais somnolé, contrainte.
J’en avais cette envie de mourir en ton regard,
Et je l’avais affriolée d’un somme léthargique
Similaire à la crainte qu’elle en avait à l’amarre
Que j’avais lâché pour l’assouvir, hermétique,
Mais, je n’avais que tes rames et tes longueurs
Où les vagues disputaient la couleur de la mort,
Où la crainte accommodait sa noire rancœur,
Pour en faire de l’audace la constance et l’essor.
Etendue, où les cours sommeillaient d’amour,
J’avais roupillé, si tu t’en souvenais, et l’œil
Que j’avais fermé pour inhumer l’ultime jour
Accroché à l’envie qui l’attendait en son seuil
Je l’avais bien rouvert, peu après la sédition
Des vagues sentimentales qui se caressaient
Finement, où tu avais ramé seul l’inclination,
Et éveillée, dans l’image qui raccourcissait,
Mon rêve et l’envie qu’il en avait auparavant
Je récriminais la fermeté de l’unique obédience
Que nous accrochions au regard qui, souvent
Se finissait où trépassait l’amour, sans sentence.
Dorothée cochard et farid khenat.
ps: daniel, orange, salem, mathieu, said sofiane joseph, sébastien émilie, ariane, slimane, amar, med, akli, phorest, nordine, djamel, kamel,daniel
kahina, rosa, samir, le carrossier, et samuel
n'ont rien avoir ici.
Enregistré le 30 Mai 2006 à 22:18
par 1807657
Oeuvre Originale
Auteur :
dorothée et farid khenat par moi farid khenat.
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Ton Regard.
Started by vent, Nov 11 2006 06:58 PM
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