Ô que mon cœur soit toujours banni de l’envie,
Même en pleur, de renoncer à la vie !
Car toi ma belle, tu fais de tes pensées miennes.
Elles me harcèlent et assènent ma chasteté
Amoureuse, loin du rivage de tes peines.
Toi l’inconnue, cesse enfin de me pourchasser.
Aussi cesse de jouer de ta transparence
Chaque moment qui voit se retourner l’espoir,
En vain. Mais sans fin, il gagne ma patience,
Je le crois. Je l’espère à l’aube du soir.
Mais ma belle inconnue laisse moi te fixer,
Que je garde les esquisses de ta beauté
Dans la cache de ma rêveuse mémoire.
L’image reflétée est comme l’eau ridée.
Même pire ! Une mystérieuse houle…
Et que puis-je ? Quand au fond, tout sur moi s’écoule…
Même en pleur, de renoncer à la vie !
Car toi ma belle, tu fais de tes pensées miennes.
Elles me harcèlent et assènent ma chasteté
Amoureuse, loin du rivage de tes peines.
Toi l’inconnue, cesse enfin de me pourchasser.
Aussi cesse de jouer de ta transparence
Chaque moment qui voit se retourner l’espoir,
En vain. Mais sans fin, il gagne ma patience,
Je le crois. Je l’espère à l’aube du soir.
Mais ma belle inconnue laisse moi te fixer,
Que je garde les esquisses de ta beauté
Dans la cache de ma rêveuse mémoire.
L’image reflétée est comme l’eau ridée.
Même pire ! Une mystérieuse houle…
Et que puis-je ? Quand au fond, tout sur moi s’écoule…