Son service est vivre livre le rêve aux lèvres.
Trêve des trahisons privées que prône le trône des clones éventés sur les serpents de bitume en asphyxie citadine sans tripode de bienvenu accusatif marginal des pages violées par surpuissance narcissique.
Croire faire naufrage.
Rage claque d'âge.
Cadmos.
Cette écume cuve sa voie lactée en piquant la lumière qui se hérisse sur le sable des vents.
La rose viole le prince en flots déclinants des premiers temps, ceux insérés au sein de l'espace sans race fissible, au mieux d'une missive amoureuse d'un missile à cœur chercheur d'heures encagées à coup de cortex contaminés.
Le joli jam de la mer!
L'eau est cachée par le noisetier…
Fifre le feu des fantaisies futures, mon âme.
L'humain occupera mon corps.
Toi, qui sait.
On sait qui sait, c'est!
Soit vos dermes malléables sur le miel des ondes roucoulantes à l'ombre révélatrices des grands Saints Axes d'émeraudes emmêlés d'auras primaires que le rossignol signe à chaque session des secondes sensibilisées par l'horizon du ternaire en trilles vermeilles à la spirales aquatiques des infinis reflets toujours à échos carnés.
Bran.
Le ciel se sèche en irisation instantanée.
Séricicoles sensations séquestrées en sérénade sérénissime des pseudo serpents cervidés que chacun chahute sur chaîne à cernes salvatrices.
C'est là que j'entre en dormition.
Allégeance allergique à l'air des faux modernes qu'endêve la beauté du partout et du maintenant lorsque après se perd au cœur des hiers trop peu fiers sans tiers à exprimer la valeur du sang.
Orage.
La chanson des frissons.
Picotements salivaires, ses sons s'éternisent au nom de l'amnésie à constance éphémère lorsque s'écorce la seule présence qui caresse sans cesse nos creux, la langue n'est que transitoire, sombre histoire de noir, celui qui soude les chaînes humaines en réseaux civilisateurs et tueurs.
Sure suture sybarite.
Crédence de l'absence, encore trop confiante en elle, parce que puérile et emperlée de piètre poutres pécuniaires au pilori du devenir.
Mondons donc!
Mais le monde se monde lui même. Alors monte sur le sourire des 10000 dimensions diamantifères, où s'éphémèrise l'évolution explosive.
Pinacle pique assiette.
Tu as aussi, pris un protuteur à ce que je sais, histoire de proverbialiser la providence qui danse sur les protons de la parole performative en silence. Toujours.
J'invoque les cornes…
Toi Syrinx!
Théorise le thaumaturge thermique tout tiré de téléosaure tautochrone qui trament et tapent la tangente de tes tanières taquines syllabisant le tendon taciturne d'une tornade totalisatrice à la torche torturante des traditions à transes transgressives, en cette transpiration traumatique des travers du troc tricheur de la toute tortueuse technologie.
Torpeur
Started by Cami, May 10 2006 08:21 PM
4 replies to this topic
#1
Posted 10 May 2006 - 08:21 PM
#2
Posted 12 May 2006 - 10:33 AM
c'est de l'h(or)s du commun
#3
Posted 12 May 2006 - 10:55 AM
Citation (JeanGorzar @ May 12 2006, 09:33 AM) <{POST_SNAPBACK}>
c'est de l'h(or)s du commun
oui,on se laisse prendre par le souffle des allitérations
la musique qui entraine le sens
meme si on le perd un peu de vue sur la longueur
#4
Posted 12 May 2006 - 11:36 AM
oui mais il faut peut être se garder justement de rechercher un sens global, et de se contenter de la beauté de la musicalité du texte, c'est peut être la succesion de ces moments qui donnent du sens, au final
#5
Posted 12 May 2006 - 08:50 PM
Sans rythme, sans son sens musical : pas de poésie.
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