Rose obsedant qui se bouscule contre les organes du vide.
Des cris lointains, eclatants comme la blancheur de certains nuages.
Il y a le soir qu'il faudrait embrasser, il y a la nuit qu'il faudrait habiter, il y a surtout l'aube qui se perd dans l'horizon grise d'absolu.
Les mains se sont melees a l'eau de mer, ondes de l'infini;
et le chemin de terre s'en va chercher jusqu'a la lune.
Gibeuse, elle me salue.
Que faut il faire pour qu'un rayon de lumiere se soit pose, lentement contre cette nuit?
Lumiere bleue qui mange le monde,
et pouis le vide qui vouvoie la vie
tant qu'il y en a
tant qu'il y en a...
Les roses blanches ont leurs secrets,
dont les pierres du chemin, cailloux des memoires
ont le souvenir.
redonnez moi l'obscurite,
dans mes lueurs hallucinees
lors, des etoiles mumurees
viendront defaire l'identite.
le vent viendra dormir sous mes pas.
sans-titre
Started by ginkobiloba, Jan 24 2006 06:34 AM
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