5 replies to this topic

[Pachane]

Le sang coule.
3 étages, une goutte, trois gouttes, dégoutte.
La claque, rhazam , le ciel, rhazma, le kif, argh.

Mon ciel, le sang, la plaie, le silence de l'éther.
Les cocos, jovial marxiste, la vitre, les éclats de rire et les autres.
L'amertume, le fil, le présent et le présent encore.

Tout est noeud comme disait Bruno G., le fier organe que de le dire sans faille.
Contrainte, oui, mais le noeud est dans le lien
.
A moins que cela soit l'inverse.


Les malentendu sont des éclipses, leurs conséquences des durées sans durée, des morts dans la vie.s

Hum.....

[Félice]

Le sang coule.
3 étages, une goutte, trois gouttes, dégoutte.
La claque, rhazam , le ciel, rhazma, le kif, argh.

Mon ciel, le sang, la plaie, le silence de l'éther.
Les cocos, jovial marxiste, la vitre, les éclats de rire et les autres.
L'amertume, le fil, le présent et le présent encore.

Tout est noeud comme disait Bruno G., le fier organe que de le dire sans faille.
Contrainte, oui, mais le noeud est dans le lien
.
A moins que cela soit l'inverse.
Les malentendu sont des éclipses, leurs conséquences des durées sans durée, des morts dans la vie.s

Hum.....

coucou Pachane,

Petit com jaguaresque... je me perds entre le sens de ce que tu dis et la poésie que je suis sensée trouver dans tes mots. Je ne trouve que peu de poésie... et tu sais pourquoi ? Parce que je me sens parasitée par la pensée que tu amènes dans le sens des mots.

Figures-toi que j'ai plus la sensation de faire face à de la philosophie (voire une ultra short nouvelle) qu'à de la poésie. Et c'est étrange, hein, parce qu'il y a du rythme, du moins une forme de rythme. Il y a du son. Il ya des images.

Peut-être d'autres lecteurs peuvent développer ce qu'ils en pensent (ce serait quand même interessant) à ce sujet...

Par contre... "3"... c'est mieux de l'écrire "trois".

Félice.

[Pachane]

Ben merci de ton com.
Je dirais que la philosophie est le principe même de la vie, l'un des deux, pour moi ce que la science moderne appelle l'adn et l'Inde antique le Purusha ne sont que la lumière sur une vérité, lÊtre se construit de ce qu'il crôit, jusque dans la chair.

Voilà, sacré Jaguar.

Quand je poétise, comme les fleurs dans le square au crépuscule, je cherche à rendre beau ce qui est mes yeux l'est.
Cela n'engage que moi, je fais ça par plaisir.
Je prends la rançon du silence et la donne à ceux qui à mes yeux l'ont mérité.
Je réhabilite avec toute l'effervescence qui me caractérsie ceux dont j'estime la Valeur.

'Le plus beau tombeau des morts est le coeur des vivants'.

Et puis voilà, sinon je suis un chevaucheur de cercle avec tout ce que cela implique, je dirais que ça va de mal en Pi.


Voilà

[Pachane]

Quand la ville dort.
Le fleuve ebruite des clapotis langoureux.
Des mugissement du vent vibre dans les arbres palabrants.
L'or est de silence, la pierre palpite au feuillage humide.

Et d'un coup le Silence prend sa dimension théatrâle, tout ce qui Est est dialogue incertain.
C'est que je trouve, c'est ce que je me suis dit y être l'Harmonie.

Et quand la ville se réveille, le pli des pas, les fièvres naissantes font luire des lueurs aux coeur de qui s'est tû.


Merci Jaguar.

[Félice]

Quand la ville dort.
Le fleuve ebruite des clapotis langoureux.
Des mugissement du vent vibre dans les arbres palabrants.
L'or est de silence, la pierre palpite au feuillage humide.

Et d'un coup le Silence prend sa dimension théatrâle, tout ce qui Est est dialogue incertain.
C'est que je trouve, c'est ce que je me suis dit y être l'Harmonie.

Et quand la ville se réveille, le pli des pas, les fièvres naissantes font luire des lueurs aux coeur de qui s'est tû.
Merci Jaguar.

Voilà... je comprends. Il faut faire sa propre poésie, certes. Cependant, il faut s'attacher à la faire se développer chaque jour.

Je trouve, dans tes réponses, quelque chose qui m'a été révélé par balila sur ce site il y a quelques temps : tes com's portent en eux quelque chose que l'on voudrait retrouver dans ta poésie. Il faut y réfléchir parce que c'est très révélateur.

C'est toute la difficulté de "philo-poétiser" : la raison et l'émotion ont du mal à coexister de manière harmonieuse. Tu peux y arriver, peut-être. Mais c'est à double tranchant, je ne le sais que trop. Il m'a fallu quelques temps loin de tlp, quelques temps au silence de moi-même pour verbaliser tout ça, pour faire avancer le travail.

Et puisque tu sembles sensible à ça : les choses ont une définition. Les choses doivent être reliées pour faire surgir l'harmonie naturelle qui les fait exister. Par contre, il faut bien se dire qu'elles sont distinctes, c'est ce qui fait la magie de la harmoniser.

Jaguar.

[Pachane]

Voilà... je comprends. Il faut faire sa propre poésie, certes. Cependant, il faut s'attacher à la faire se développer chaque jour.

Je trouve, dans tes réponses, quelque chose qui m'a été révélé par balila sur ce site il y a quelques temps : tes com's portent en eux quelque chose que l'on voudrait retrouver dans ta poésie. Il faut y réfléchir parce que c'est très révélateur.

C'est toute la difficulté de "philo-poétiser" : la raison et l'émotion ont du mal à coexister de manière harmonieuse. Tu peux y arriver, peut-être. Mais c'est à double tranchant, je ne le sais que trop. Il m'a fallu quelques temps loin de tlp, quelques temps au silence de moi-même pour verbaliser tout ça, pour faire avancer le travail.

Et puisque tu sembles sensible à ça : les choses ont une définition. Les choses doivent être reliées pour faire surgir l'harmonie naturelle qui les fait exister. Par contre, il faut bien se dire qu'elles sont distinctes, c'est ce qui fait la magie de la harmoniser.

Jaguar.

Merci Jaguar pour ces quelques conseils.
L'harmonie naturelle des liens, oui, difficile sans doute.
Les choses et l'harmonie naturelle, un lien.
C'est superficiellement dit, mais le germe du remède doit y être.
Je crois avoir compris.

Merci Jaguar pour ces quelques conseils.
L'harmonie naturelle des liens, oui, difficile sans doute.
Les choses et l'harmonie naturelle, un lien.
C'est superficiellement dit, mais le germe du remède doit y être.
Je crois avoir compris.

Je m'empresse de dissiper toute équivoque quand je dis superficiellement, je veux dire vu de très loin.
Mais ça reste un conseil dont je ferais l'étude sérieusement.

Le brin du passage, le filtre émotionnel, l'échappement sur le grill, et la panacée du relief ajourée à la nuit eclectique du Sens, sensifiée bien entendu.


Bien entendu ce n'est pas parce que deux nuages noirs se rencontrent que le tonnerre éclate mais bien pour que le ciel tonne que deux nuages se rencontrent. R. ABELLIO.