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[Capitaine_H.Biftek]

J'ai parcouru bien des chemins sur la terre,
Vu des montagnes joyeuses et des déserts triste,
Arpenté en bon touriste ou en loup solitaire.
Qu'importe je n'ai jamais su quitter la piste.

Celle qui ramène vers ces chez nous ou tu n'es plus.
Trop peur de me perdre loin de ce fil conducteur
Qui nous guidait à travers nos rêves désormais perdus.
J'aurais dû m'égarer, loin de ton absence sans avoir peur.

J'aurais dû m‘évaporer dans nos songes dissous.
Dans les caresses de vagues sensuelles et perpétuelles.
M'envoler avec la fumé d'un cadavre indou.
Me faire tatzelwurm des neiges éternelles.

Mais je suis toujours revenu de nos merveilleux demains,
Où jamais tu n'étais et ou jamais tu ne seras,
Vers mes hiers où peut-être tu reviendras,
Où je ne me sens plus chez moi, dans ces grisailleux matins.

J'ai voulu combattre à l'aide de rêves et de voyages,
Mes démons savoureux que ton souvenir provoque
Je n'ai réussi qu'à m'en faire des amis, sans équivoque,
Que j'ai appâté avec l'épée de la luxure, le corps en age.

Le corps en age, et mon romantisme en vrac.
Je suis devenu cet hybride de dandy timide et cynique.
Ne sachant que choisir entre la caresse et la matraque.
N'accrochant ton regard que dans l illusion onirique.

Au delà de l'espace et du temps, dont chaque jour je perd la trace,
Je me suis noyé, pour te perdre ou peut-être te retrouver,
Dans la vie des sens, ou sans cesse, dans les yeux de cette garce
Qu est l'illusion, tu n'as eu de cesse que de t'éloigner.

J'ai exploré les clefs de sol et les octaves,
A ta recherche, n'y ai trouvé qu'un fantôme tronqué.
J'ai destructuré la signification des mots pour te ramener,
Je me suis battu avec eux, comme un guerrier, un brave.

Je n'ai trouvé dans la victoire du non sens,
Que la réalité du vide, provoqué par ton absence.
La queue entre les jambes je suis rentré vers qui j'étais,
Forcé de constaté que jamais rien ne léchera ma plais.

[lacape]

J'ai parcouru bien des chemins sur la terre,
Vu des montagnes joyeuses et des déserts triste,
Arpenté en bon touriste ou en loup solitaire.
Qu'importe je n'ai jamais su quitter la piste.

Celle qui ramène vers ces chez nous ou tu n'es plus.
Trop peur de me perdre loin de ce fil conducteur
Qui nous guidait à travers nos rêves désormais perdus.
J'aurais dû m'égarer, loin de ton absence sans avoir peur.

J'aurais dû m‘évaporer dans nos songes dissous.
Dans les caresses de vagues sensuelles et perpétuelles.
M'envoler avec la fumé d'un cadavre indou.
Me faire tatzelwurm des neiges éternelles.

Mais je suis toujours revenu de nos merveilleux demains,
Où jamais tu n'étais et ou jamais tu ne seras,
Vers mes hiers où peut-être tu reviendras,
Où je ne me sens plus chez moi, dans ces grisailleux matins.

J'ai voulu combattre à l'aide de rêves et de voyages,
Mes démons savoureux que ton souvenir provoque
Je n'ai réussi qu'à m'en faire des amis, sans équivoque,
Que j'ai appâté avec l'épée de la luxure, le corps en age.

Le corps en age, et mon romantisme en vrac.
Je suis devenu cet hybride de dandy timide et cynique.
Ne sachant que choisir entre la caresse et la matraque.
N'accrochant ton regard que dans l illusion onirique.

Au delà de l'espace et du temps, dont chaque jour je perd la trace,
Je me suis noyé, pour te perdre ou peut-être te retrouver,
Dans la vie des sens, ou sans cesse, dans les yeux de cette garce
Qu est l'illusion, tu n'as eu de cesse que de t'éloigner.

J'ai exploré les clefs de sol et les octaves,
A ta recherche, n'y ai trouvé qu'un fantôme tronqué.
J'ai destructuré la signification des mots pour te ramener,
Je me suis battu avec eux, comme un guerrier, un brave.

Je n'ai trouvé dans la victoire du non sens,
Que la réalité du vide, provoqué par ton absence.
La queue entre les jambes je suis rentré vers qui j'étais,
Forcé de constaté que jamais rien ne léchera ma plais.

un peu de moi, un peu de nous tous, j'ai aimé cette lecture
amitiés