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[heloise]

Et si petite la nuit dans la lucarne
Une pluie et tout s’enfuit

Là j’ai joué trop tôt
Aux longs chardons de l’ennui
Maigre sur mes jambes
Un oiseau bizarre de saltimbanque
Accroché à mon ventre chamailleur

Et là et là comme partout
Les objets blancs des enfants tristes

La maison respire son souffle vertical
Mais là déjà ce n’est plus moi

Trop vite
Les enfants disparaissent dans les miroirs
Parfois aux mouroirs
Un lapin blanc sur l’épaule

Tu sais la guerre
C’est si beau tous ces hommes
Qui tombent au ralenti
Comme des cerfs-volants
Blancs et rouges dans la main des enfants

Non tu ne peux pas savoir
Seuls les enfants aiment la guerre
Ils la font avec tant de grâce
De haine

Les nuits d’octobre
Les désordres sont meurtriers
Il faut ranger les objets blancs

[lacape]

bonjour hélo !

j'aime ces différentes analogies, me fait penser aussi à la révolution d'Octobre !!
bizz hélo !! bonne journée !!

[Félice]

Seuls les enfants aiment la guerre
Ils la font avec tant de grâce
De haine

Ca... ça... j'en ai presque la larme... comtesse. Parce qu'au delà de tout, ces mots là, ensemble, sont beaux.

Oui, Octobre. Rouge. Ou blanc. Ou Octobre que tu attends... je sais, je sais, l'été, le printemps, c'est pas vraiment ta cup of tea.

Et, je te le dis, comtesse. Il y a chez toi, en dehors de cette ambiance obscure et de ces textes décadents, cette recherche poétique si pointue !
Il y a une espèce de... de rythmique mélodique... dont on ne sent pas que tu la travailles. Mais on le sait. On le sait parce que ça ne peut pas être facile comme ça.

J'aime tellement ça chez toi, Helo. Cette attention permanente que tu as pour tes textes. Comme une maman. Ca fait que tu n'es pas complètement décadente.

Jaguar.

[Artemisia]

ôoooooo
Je ne sais pas quoi dire, comme d'habitude.
ça coule sur mon coeur
je vois des images, un peu fanées, en rouge et blanc dans une brume lointaine.

les mots sont tous si bien choisis, pas un ne dérange, tout est à sa place et cela s'écoule comme le temps.

je relève, particulièrement poignant

Code

Trop vite
Les enfants disparaissent dans les miroirs
Parfois aux mouroirs
Un lapin blanc sur l’épaule

L'enseignement d'un sorcier Yaqui du mexique dit que notre mort se trouve en arrière de notre épaule gauche, et qu'elle nous suit partout, depuis que nous sommes nés.

Respectueuse amitié

Artemisia

[Gaston Kwizera]

hé bé...

"Et si petite la nuit dans la lucarne
Une pluie et tout s’enfuit"

"Trop vite
Les enfants disparaissent dans les miroirs
Parfois aux mouroirs
Un lapin blanc sur l’épaule"

"Tu sais la guerre
C’est si beau tous ces hommes
Qui tombent au ralenti
Comme des cerfs-volants
Blancs et rouges dans la main des enfants"

voilà, enfin non, je vais tout citer, c'est bête, il est plus haut dans sa version entière.
je me demande si... allez je me lance : je trouve Hélo, que tu as là une poésie complète, j'allais dire achevée si le mot ne sonnait pas si mal. C'est trés rare je pense, ici je ne vois que Dédalus et toi à ce niveau là.
Bon, je voudrais pas trop m'étendre et faire des jaloux parce qu'il va avoir du monde qui va passer, mais j'ai lu sur une autre publication que tu voulais finir entre Remo et moi, d'une overdose de champagne, mais en riant jusqu'au bout grâce à nous, bin promis on va te faire rire longtemps alors !

bises

[heloise]

bonjour hélo !

j'aime ces différentes analogies, me fait penser aussi à la révolution d'Octobre !!
bizz hélo !! bonne journée !!

Hello Domi
Oui peut-être un peu de révolution d'octobre
Ou bien autre chose
Chacun l'interprète comme il veut et tout le monde a raison
Bizzzzzzzzz

[The Child]

hé bé...

"Et si petite la nuit dans la lucarne
Une pluie et tout s’enfuit"

"Trop vite
Les enfants disparaissent dans les miroirs
Parfois aux mouroirs
Un lapin blanc sur l’épaule"

"Tu sais la guerre
C’est si beau tous ces hommes
Qui tombent au ralenti
Comme des cerfs-volants
Blancs et rouges dans la main des enfants"

voilà, enfin non, je vais tout citer, c'est bête, il est plus haut dans sa version entière.
je me demande si... allez je me lance : je trouve Hélo, que tu as là une poésie complète, j'allais dire achevée si le mot ne sonnait pas si mal. C'est trés rare je pense, ici je ne vois que Dédalus et toi à ce niveau là.
Bon, je voudrais pas trop m'étendre et faire des jaloux parce qu'il va avoir du monde qui va passer, mais j'ai lu sur une autre publication que tu voulais finir entre Remo et moi, d'une overdose de champagne, mais en riant jusqu'au bout grâce à nous, bin promis on va te faire rire longtemps alors !

bises

Bas les pattes vieille carne Héloise préfère les tendrons comme moi pas vrai Héloise? très beau texte kiss

[balila]

Je me suspens aux images et laisse couler d'octobre sous mes yeux, c'est magnifique Héloïse.

Cette strophe...

Tu sais la guerre
C’est si beau tous ces hommes
Qui tombent au ralenti
Comme des cerfs-volants
Blancs et rouges dans la main des enfants

Elle me laisse un grand frisson.

Et ce petit bout de commentaire de Félice : J'aime tellement ça chez toi, Helo. Cette attention permanente que tu as pour tes textes. Comme une maman. Ca fait que tu n'es pas complètement décadente.,

Ça me fait tout pareil...

balila

[Nobody's perfect]

Je ne sais pas pourquoi, mais lorsque tu avais mis cette phrase "C’est si beau tous ces hommes
Qui tombent au ralenti" sur le poeme de vous tous, je me demadais si tu n'allais pas le reprendre, c'est chose faite et magnifiquement fait, je t'embrasse affectueusement

[heloise]

Ca... ça... j'en ai presque la larme... comtesse. Parce qu'au delà de tout, ces mots là, ensemble, sont beaux.

Oui, Octobre. Rouge. Ou blanc. Ou Octobre que tu attends... je sais, je sais, l'été, le printemps, c'est pas vraiment ta cup of tea.

Et, je te le dis, comtesse. Il y a chez toi, en dehors de cette ambiance obscure et de ces textes décadents, cette recherche poétique si pointue !
Il y a une espèce de... de rythmique mélodique... dont on ne sent pas que tu la travailles. Mais on le sait. On le sait parce que ça ne peut pas être facile comme ça.

J'aime tellement ça chez toi, Helo. Cette attention permanente que tu as pour tes textes. Comme une maman. Ca fait que tu n'es pas complètement décadente.

Jaguar.

Je travaille mes texte Félice
A chaque menue correction que j'apporte
Je relis mon texte complètement
Et comme la pâte à pain
Je laisse reposer toute une nuit
Et d'autres relectures s'imposent encore
Je sais que certains écrivent d'un trait
Cela m'arrive malgré tout
Mais je persiste quand même dans mes relectures
Et souvent j'arrive au final à un texte qui n'a plus rien à voir avec mon écriture spontanée

Bien à toi

[Protoss]

Il ya de la sensulaité j'aime

Un peu disparate pour moi, j'ai une petite tête

Protoss

[heloise]

ôoooooo
Je ne sais pas quoi dire, comme d'habitude.
ça coule sur mon coeur
je vois des images, un peu fanées, en rouge et blanc dans une brume lointaine.

les mots sont tous si bien choisis, pas un ne dérange, tout est à sa place et cela s'écoule comme le temps.

je relève, particulièrement poignant

Code

Trop vite
Les enfants disparaissent dans les miroirs
Parfois aux mouroirs
Un lapin blanc sur l’épaule

L'enseignement d'un sorcier Yaqui du mexique dit que notre mort se trouve en arrière de notre épaule gauche, et qu'elle nous suit partout, depuis que nous sommes nés.

Respectueuse amitié

Artemisia

Nous naissons avec la mort
Et très vite nous apprenons à la connaître
A la craindre souvent
Elle est difficile à apprivoiser
Les enfants en ont moins peur que les adultes

Bien à toi

[heloise]

Octobre se pare toujours de son été indien... après la nudité de l'été, l'automne habille...

'Et si petite la nuit dans la lucarne
Une pluie et tout s’enfuit'

kiss for you,
wldp

L'automne est à la fois beau et cruel
De superbes couleurs
Pour masquer le lent processus de destruction

Les guerres sont ainsi
Un beau spectacle
Rappelle toi le galop dans la plaine de deux armées s'affrontant
Les chevaux magnifiques
Les soldats sabre au clair dans leurs uniformes seyants
Et tout ce sang d'un coup
Oui, vraiment un beau spectacle

[Ben-du-Toit]

ça a cette beauté mystérieuse d'un poème d'Héloïse

[heloise]

Bas les pattes vieille carne Héloise préfère les tendrons comme moi pas vrai Héloise? très beau texte kiss

Hello le Child
Ben je crois que Gaston n'est pas vraiment une vieille carne
Il me semble juste un peu plus âgé que toi
Mais tu sais bien que tu as toute ma tendresse et que tu es sous mon aile protectrice
Bises

[belvis]

Vraie comme un enfant ?...

Donc beau comme un adulte...

[heloise]

Je me suspens aux images et laisse couler d'octobre sous mes yeux, c'est magnifique Héloïse.

Cette strophe...

Tu sais la guerre
C’est si beau tous ces hommes
Qui tombent au ralenti
Comme des cerfs-volants
Blancs et rouges dans la main des enfants

Elle me laisse un grand frisson.

Et ce petit bout de commentaire de Félice : J'aime tellement ça chez toi, Helo. Cette attention permanente que tu as pour tes textes. Comme une maman. Ca fait que tu n'es pas complètement décadente.,

Ça me fait tout pareil...

balila

Merci Bali
J'ai pensé à cette photo de la 1e guerre mondiale
Depuis on a appris qu'il s'agissait d'une photo prise en studio
Mais qu'importe, l'image est très belle
On voit un jeune soldat mourir dans une attitude magnifique
Comme au ralenti
Sans doute connais tu cette photo
Bien à toi

[heloise]

Je ne sais pas pourquoi, mais lorsque tu avais mis cette phrase "C’est si beau tous ces hommes
Qui tombent au ralenti" sur le poeme de vous tous, je me demadais si tu n'allais pas le reprendre, c'est chose faite et magnifiquement fait, je t'embrasse affectueusement

Elle me trottait dans la tête depuis quelque temps
Et puis elle est venue s'insérer tout naturellement dans ce texte
All my kisses to my virtual sister

[heloise]

Il ya de la sensulaité j'aime

Un peu disparate pour moi, j'ai une petite tête

Protoss

Oh ! Pas vraiment de la sensualité
Mais après tout
Ta lecture est peut-être différente de la mienne
Et puis t'as pas une si petite tête
Bises pour toi

Vivement Novembre alors.

Vivement septembre plutôt
L'automne que j'aime tant passe si vite
Bises pour toi

[Carla.]

Beaucoup de force dans ces mots, dans tes mots. J'aime beaucoup celui-là.

[bohemia]

Beau texte comme tu sais les écrire, mais si j'étais moi, j'enleverais deux passages qui me chagrinnent...les enfants soldat c'est trop cruel de les envoyer comme come chair à canon. moi je les enverrais bien mieux à l'école...un peu de reste de civilisation.

bise

[heloise]

ça a cette beauté mystérieuse d'un poème d'Héloïse

Merci de ce beau qualificatif pour mes textes
Je suis allée à la FNAC hier
J'ai racheté le "loup des steppes"
Tu m'as donné envie de le relire
Bien à toi

Vraie comme un enfant ?...

Donc beau comme un adulte...

Je ne sais pas
Les adultes ne sont pas toujours le prolongement des enfants
J'étais adulte avant d'être enfant
Bien sûr, ce n'est pas moi qui l'avais voulu

[heloise]

Beaucoup de force dans ces mots, dans tes mots. J'aime beaucoup celui-là.

Merci Carla de me lire aussi souvent
Et de me le dire
Bien à toi

[heloise]

Beau texte comme tu sais les écrire, mais si j'étais moi, j'enleverais deux passages qui me chagrinnent...les enfants soldat c'est trop cruel de les envoyer comme come chair à canon. moi je les enverrais bien mieux à l'école...un peu de reste de civilisation.

bise

Ce n'est pas ainsi qu'il faut lire Bohémia
Je ne parle pas de vraies guerres et d'enfants-soldats
Tous mes textes baignent dans le surréalisme
Mais nous le savons
Les enfants sont cruels
Particulièrement entre eux
Et aiment jouer à la guerre

[INFONTE]

Il n'y a plus de doute, Dame Héloise, je vous aime ...
Au moins autant que Dame Félice ...
Au moins autant que Christine, Brigitte, Sophie, Isabelle, Claire, Anne ...
Et toutes les autres ...

( J'ai la tête baissée et je regarde le bout de mes chaussures )
Je n'y peux rien ...
Je vous aime ...
Toutes ...

[buchmann]

Et si petite la nuit dans la lucarne
Une pluie et tout s’enfuit.......................

.......et le dialogue aussi !?

SALUT HELOISE,
longtemps que nous ne nous étions parlés
"boudage" !??

....... Buch'



.

[heloise]

Il n'y a plus de doute, Dame Héloise, je vous aime ...
Au moins autant que Dame Félice ...
Au moins autant que Christine, Brigitte, Sophie, Isabelle, Claire, Anne ...
Et toutes les autres ...

( J'ai la tête baissée et je regarde le bout de mes chaussures )
Je n'y peux rien ...
Je vous aime ...
Toutes ...

Nous ne saurions être jalouses
Tu as le coeur innombrable
Ainsi suis-je aussi
Je ne saurais donc t'en vouloir
Bien à toi

[heloise]

.......et le dialogue aussi !?

SALUT HELOISE,
longtemps que nous ne nous étions parlés
"boudage" !??

....... Buch'
.

Ben non ! T'es trop gentil avec moi pour que je te boude
C'est juste que je viens pas trop souvent en ce moment
Beaucoup de choses imprévues me prennent tout mon temps
bientôt je redeviendrai assidue
Bien à toi

[yazid]

Et si petite la nuit dans la lucarne
Une pluie et tout s’enfuit

Là j’ai joué trop tôt
Aux longs chardons de l’ennui
Maigre sur mes jambes
Un oiseau bizarre de saltimbanque
Accroché à mon ventre chamailleur

Et là et là comme partout
Les objets blancs des enfants tristes

La maison respire son souffle vertical
Mais là déjà ce n’est plus moi

Trop vite
Les enfants disparaissent dans les miroirs
Parfois aux mouroirs
Un lapin blanc sur l’épaule

Tu sais la guerre
C’est si beau tous ces hommes
Qui tombent au ralenti
Comme des cerfs-volants
Blancs et rouges dans la main des enfants

Non tu ne peux pas savoir
Seuls les enfants aiment la guerre
Ils la font avec tant de grâce
De haine

Les nuits d’octobre
Les désordres sont meurtriers
Il faut ranger les objets blancs

Honte a toi les Sand sabre, comme çes nuit diffiçiles dans çe sable blanc. Oh grande Cyber-pretresse d'un site enfoui sous les tables d Octobre.Aloha

[heloise]

Honte a toi les Sand sabre, comme çes nuit diffiçiles dans çe sable blanc. Oh grande Cyber-pretresse d'un site enfoui sous les tables d Octobre.Aloha

Ceci est un com auquel je n'ai rien compris
Peu importe
Honte de quoi d'ailleurs ?