CYCLES
Il y a des jours où tout est calme
Et c’est là que l’on se sent plus fort,
Cet apaisement sait effacer les larmes :
Solide compagne de notre triste sort.
Alors on caresse l’espoir que le mieux va durer,
Puis le sort s’acharne de nouveau
Et on en veut au monde entier.
À peine guéri de nos tenaces blessures,
Que nous voilà repartis en croisade
Vers une ennemie que l’on connaît trop bien,
Je parle de toi, Madame Adversité !
La lutte reprend alors de plus belle,
Jour après jour, nuit après nuit,
On essaye de retrouver l’étincelle
Avec laquelle on a construit sa vie ;
On finit par rouvrir les yeux
Et l’on perçoit le beau à nouveau,
Il y a des jours où tout est calme
Et c’est là que l’on se sent plus fort.
Charles Monzat
Il y a des jours où tout est calme
Et c’est là que l’on se sent plus fort,
Cet apaisement sait effacer les larmes :
Solide compagne de notre triste sort.
Alors on caresse l’espoir que le mieux va durer,
Puis le sort s’acharne de nouveau
Et on en veut au monde entier.
À peine guéri de nos tenaces blessures,
Que nous voilà repartis en croisade
Vers une ennemie que l’on connaît trop bien,
Je parle de toi, Madame Adversité !
La lutte reprend alors de plus belle,
Jour après jour, nuit après nuit,
On essaye de retrouver l’étincelle
Avec laquelle on a construit sa vie ;
On finit par rouvrir les yeux
Et l’on perçoit le beau à nouveau,
Il y a des jours où tout est calme
Et c’est là que l’on se sent plus fort.
Charles Monzat