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Mithra

Member Since 16 Nov 2006
Offline Last Active Dec 20 2006 08:52 PM
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Posts I've Made

In Topic: Souris Mort Mon Amie

20 December 2006 - 08:51 PM

Citation (The-Angel-Of-Death @ Dec 19 2006, 09:15 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Je vais hurler et tout casser
Déchainement de violence

Je brise tout ce qui m'approche
Jusqu'à ma vie sauf celle de mes proches !

Je frappe, je crie, je coupe
Je tape, je pleure ...


Le calme est revenu
Et soudain je me sens nue

Dans mes rêves je te vois
Dans me songes il n'y a que toi

Je contemple les dégâts
Le sang coule à flot

Pourquoi cette violence contre moi
Je croyais en avoir fini avec tout ça


Tout bascule c'est étrange
Je suis là je perd mon sange ...

Je te vois tu me souris
Mort tu as toujours été mon amie

Faucheuse de Nuit
Faucheuse de Vie

Prend moi à la place de ...
Chut je ne dois rien dire

Je te laisse ma vie mon sourire
Emmène moi à Gwendalavir

tes songes ne sont pas nus comme toi ?
MOI FARID KHENAT.

In Topic: Autour De Sa Taille. Acrostiches.

07 December 2006 - 02:29 PM

Citation (Remo @ Dec 6 2006, 06:42 PM) <{POST_SNAPBACK}>
ah ben oui ...

eh oui, c'est difficile de faire un accrostiche sans perdre le sens du texte.
Que celui qui a compris quelque chose me donne la clé !!

---------------------------
le sens est le même avec la première ou la deuxième version désolé !
pour la compréhension, je crois que ta soeur pourra te résoudre ce problème.
merci.
moi hamid khenat et non rabah, akli, mohamed et compagnie.

In Topic: Ode Aux Femmes Rondes

28 November 2006 - 06:13 PM

Citation (Dolce66 @ Nov 28 2006, 05:20 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ode aux femmes rondes

Femmes « bouteille de Perrier »
Rondeurs tombant à point nommé
Nous sommes de plus en plus nombreuses
A vivre pleinement heureuses

Loin des carcans d’une mode fine
Notre beauté parfois se mine
De ces 36 poids plume léger
Où nous rentrons à peine un pied !

Vous pensez ronde vous pensez fondre
Mais avez-vous un jour essayé
Un ventre qui sous la joue remonte
Au lieu de platement s’enfoncer

Avez-vous jamais eu connaissance
De notre infinie volupté
Nous sommes comme une mousse tendre
De couleur blanche, douces au toucher

Nos poitrines bien avenantes
Remplissent vos mains souvent prenantes
Nos hanches tellement accueillantes
Venez donc vous y réfugier

Nos rondeurs en courbes de collines
Vals et vallées incandescentes
Vous voilà pris dans nos abîmes
La sensualité en offrande

Nos visages souvent lisses et ronds
Sur lesquels le temps n’a pas prise
Pas une seule ride sur le front
Une fraîcheur toujours de mise

On nous dit pleines de partout
Nous nous voyons pleines de tout
De cœur, d’amour, de rire, d’envies
Et dans le fond n’est-ce pas la vie ?

Mises en valeur par les plus grands
Boticelli, Rubens,Rembrandt
Nous voilà Vénus hors de l’eau
Habillées de son seul manteau

Au règne de la planche à pain
Nous opposons toutes nos rondeurs
Nous revendiquons la douceur
Du plus confortable des coussins

Pas besoin d’une première cover
Du plus célèbre magasine
Nous sommes belles dans nos cœurs
Bien plus que l’on ne l’imagine

Face à la violence du monde
Nous offrons encore aujourd’hui
Par nos statuts de jolies rondes
La force pleine de la vie

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les rides sont inévitables et si vous n'en avez pas aux visages vous en avez des poches ailleurs.
jolie devanture ( vitrine ) pleine d'articles très attirants et j'ai bien aimé tes présentations.
" une femme est une femme maigrette ou ronde elles jouent les mêmes rôles devant les hommes avec ou sans bagages ( les creux sont topus les mêmes les heurs aussi )
moi hamid khenat.

In Topic: Sur Sa Tige La Rose.

23 November 2006 - 10:59 PM

Citation (bohemia @ Nov 23 2006, 10:14 PM) <{POST_SNAPBACK}>
la poésie est simplement un petit villlage poétique, non?


je veux dire que phorest n'ont rien écrit avec moi désolé !

In Topic: Avertissement + Souvenirs

23 November 2006 - 10:44 PM

Citation (alains1 @ Nov 23 2006, 09:28 PM) <{POST_SNAPBACK}>
XLVI.AVERTISSEMENT
Dans le feu des étoiles, j’entendais revenir
Les âmes des défunts, à nouveau éveillées.
Elles qui attendaient sans jamais parvenir
A agir sur la scène soudainement dévoilée.

Elles disaient toutes du passé regretter
Les instants précieux. Entendant sourdement
Ces complaintes sans fin, j’avançai hardiment
Me pressant de sonder des mânes les pensées.

- Si tu cherches Eurydice, le chemin est fangeux !
Dans la nuit sépulcrale il te faudra ramper.
Comme un serpent filer dans l’aigue du Léthé

Que l’Amour soit ton guide, étranger courageux !
Les eaux se séparent des eaux laissant passage
Aux enfants de l’Amour, seuls maîtres des rivages.
XXXIX.SOUVENIRS

ABAB. CDDC. EBB. EFF. je n'ai jamais vu ça comme sonnet. merci

Dans la verte jeunesse, aux souvenirs absents,
Où l’avenir importe plus aux innocents,
L’Inconscience seule asservit la multitude
Et ne laisse à l’esprit aucune solitude.
Mais il vient un instant où le son du passé
Aux images se mêle et des ombres surgies  
Invoque les mânes, éternelles bougies
D’un feu perpétuel et toujours effacé

Ravive ses flammes et emporte dans l’abîme
De la première vie, et de son devenir.
Il faut refaire ce chemin, il faut revoir

Le monde s’offrir aux improbables espoirs
D’une lumière aveuglante et nous souvenir
Que pour renaître il faut avoir vu l’ultime?



Citation (alains1 @ Nov 23 2006, 09:28 PM) <{POST_SNAPBACK}>
XLVI.AVERTISSEMENT
Dans le feu des étoiles, j’entendais revenir
Les âmes des défunts, à nouveau éveillées.
Elles qui attendaient sans jamais parvenir
A agir sur la scène soudainement dévoilée.

Elles disaient toutes du passé regretter
Les instants précieux. Entendant sourdement
Ces complaintes sans fin, j’avançai hardiment
Me pressant de sonder des mânes les pensées.

- Si tu cherches Eurydice, le chemin est fangeux !
Dans la nuit sépulcrale il te faudra ramper.
Comme un serpent filer dans l’aigue du Léthé

Que l’Amour soit ton guide, étranger courageux !
Les eaux se séparent des eaux laissant passage
Aux enfants de l’Amour, seuls maîtres des rivages.


XXXIX.SOUVENIRS
Dans la verte jeunesse, aux souvenirs absents,
Où l’avenir importe plus aux innocents,
L’Inconscience seule asservit la multitude
Et ne laisse à l’esprit aucune solitude.
Mais il vient un instant où le son du passé
Aux images se mêle et des ombres surgies  
Invoque les mânes, éternelles bougies
D’un feu perpétuel et toujours effacé

Ravive ses flammes et emporte dans l’abîme
De la première vie, et de son devenir.
Il faut refaire ce chemin, il faut revoir

Le monde s’offrir aux improbables espoirs
D’une lumière aveuglante et nous souvenir
Que pour renaître il faut avoir vu l’ultime?


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ton premier sonnet.

ABAB. =BDDB. CBB. CFF. Je n'ai pas vu ça toute ma vie comme sonnet. merci