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[vent]

Séduisante, où l’horizon rougissait timide,
Où rembrunissait l’ultime pouffer du jour,
Je grimais ma manière et sa profonde ride.

J’avais fait quelques fronces d’insatiabilité
Pour briguer l’arrogance des somptuosités
Perdues où tu avais grimé ta remontrance
Mais sa frimousse n’avait que des ronces,

Et l'esquille à rechercher d’un doux regard
Tu l’avais abandonnée où le pouffer du soir
Se rembrunissait pour déplaire à l’étreinte
Qui rougissait à l’horizon des complaintes.

Séduisante, où roupilleraient les clameurs,
Où le silence bercerait l’estime et l’amour
Je veillerais pour redécouvrir tes stupeurs.

Mais je n’attacherais aucune mise à l’œil
Qui adjurerait les leçons sur ses feuilles
Et cette nuit, je te l’offrirais silencieuse,
Pou te bercer, en mon cœur, amoureuse.



dorothée et farid khenat.












Enregistré le 30 Mai 2006 à 22:18
par 1807657

Oeuvre Originale

Auteur :
dorothée et farid khenat par moi farid khenat
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les preuves réelles:
La moderatrice affectueuse" <Moderatrice@affectionplus.com> Ajouter au carnet d'adresses
À: farid_khenat@yahoo.fr
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Date: Wed, 17 May 2006 13:36:28 +0200

par moi farid khenat et non télématin ou quelqu'un d'autre.