Céruléen, dans sa saison sans pareille,
Sur toutes ses squames très attirantes,
Rayonnaient les brillants rais de soleil.
Le vent se dulcifiait sur son parcours;
La chaleur s’émouvait fine à l’horizon,
Et le loess où les fines vagues au retour,
Sommeillaient, se fronçait décousant.
Le ciel faisait pareil avec ses nuages,
Les mouettes picotaient toutes estivantes,
Dans l’allure qui embellissait les plages,
Et dans l’univers diaphane où le teint
Du jour s’atrophiait pour le pli du soir,
Il se maintenait très limpide et azuréen
Jusqu’à l’hâlée qu’il ambrait aléatoire.
Après, il dominait la nuit d'un doux temps
Et d’une lune qui se réveillait attrayante
Sous ses douces lueurs et son attrayant ton.
farid khenat.
la nuit n'a rien avoir ici. désolé !
je ne ssuis pas sudiste et je n'ai rien avoir avec le sahara.
L'univers.
Started by vent, Nov 14 2006 08:45 PM
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