Il n'y avait qu'un pas
Refermer tes paupières,
Je n'y songeais pas.
La mort est un blasphème
Et sur ton visage blême
Les prières furent vaines.
Quand la nuit fut tombée
Sur ton teint si doré
Les Dieux t'ont rappelée
Mon visage s'est fermé
puis mon coeur a saigné
Et maintenant je n'ai
Que pour intime mémoire
Tous tes baisers ivoire
me donnant tant d'espoir.......
A ma grand mère adorée qui avaient des joues à croquer.....