le courant d'air
Started by jc-blondel, Jan 25 2006 11:42 PM
10 replies to this topic
#1
Posted 25 January 2006 - 11:42 PM
LE COURANT D’AIR
Au-delà de minuit dans la douceur du soir
Je deviens courant d’air pour poser la caresse
Sur ton corps engourdi d’un sommeil qui s’empresse
De te garder pour lui dans son beau manteau noir.
Je laisse aller mes doigts sur ta peau qui paresse
Sous la blancheur d’un drap qui cache mon espoir
De te voir t’éveiller nue devant le miroir
Où se reflète un corps offert à la tendresse.
Je suis ce courant d’air qui vient et qui se glisse
Profiteur de l’instant et de ta nudité
Pour réveiller un peu ce désir oublié
Qui vient se nicher prés, tout prés de ta cuisse.
Je suis ce vent secret porteur de ce plaisir
Qui s’endors chaque soir dans de sombres abysses
Emportant tout ton corps sans que tu réagisses
Dans la froideur des nuits où tu t’en va dormir.
Je serai l’ouragan pour te sortir duchesse
Des heures sans amours des printemps inassouvis
Je te ferais bondir, bravant les interdits.
Pour qu’au petit matin tu sois belle princesse.
Je viendrais dévaster les bordures d’un lit
Pour abreuvez ton corps de toutes mes caresses
Et dès l’aube ta peau, gavée de ces ivresses,
Encore rougira de ce désir enfuit.
jc-blondel
Au-delà de minuit dans la douceur du soir
Je deviens courant d’air pour poser la caresse
Sur ton corps engourdi d’un sommeil qui s’empresse
De te garder pour lui dans son beau manteau noir.
Je laisse aller mes doigts sur ta peau qui paresse
Sous la blancheur d’un drap qui cache mon espoir
De te voir t’éveiller nue devant le miroir
Où se reflète un corps offert à la tendresse.
Je suis ce courant d’air qui vient et qui se glisse
Profiteur de l’instant et de ta nudité
Pour réveiller un peu ce désir oublié
Qui vient se nicher prés, tout prés de ta cuisse.
Je suis ce vent secret porteur de ce plaisir
Qui s’endors chaque soir dans de sombres abysses
Emportant tout ton corps sans que tu réagisses
Dans la froideur des nuits où tu t’en va dormir.
Je serai l’ouragan pour te sortir duchesse
Des heures sans amours des printemps inassouvis
Je te ferais bondir, bravant les interdits.
Pour qu’au petit matin tu sois belle princesse.
Je viendrais dévaster les bordures d’un lit
Pour abreuvez ton corps de toutes mes caresses
Et dès l’aube ta peau, gavée de ces ivresses,
Encore rougira de ce désir enfuit.
jc-blondel
#2
Posted 26 January 2006 - 08:16 AM
Citation (jc-blondel @ Jan 25 2006, 11:42 PM) <{POST_SNAPBACK}>
LE COURANT D’AIR
Au-delà de minuit dans la douceur du soir
Je deviens courant d’air pour poser la caresse
Sur ton corps engourdi d’un sommeil qui s’empresse
De te garder pour lui dans son beau manteau noir.
Je laisse aller mes doigts sur ta peau qui paresse
Sous la blancheur d’un drap qui cache mon espoir
De te voir t’éveiller nue devant le miroir
Où se reflète un corps offert à la tendresse.
Je suis ce courant d’air qui vient et qui se glisse
Profiteur de l’instant et de ta nudité
Pour réveiller un peu ce désir oublié
Qui vient se nicher prés, tout prés de ta cuisse.
Je suis ce vent secret porteur de ce plaisir
Qui s’endors chaque soir dans de sombres abysses
Emportant tout ton corps sans que tu réagisses
Dans la froideur des nuits où tu t’en va dormir.
Je serai l’ouragan pour te sortir duchesse
Des heures sans amours des printemps inassouvis
Je te ferais bondir, bravant les interdits.
Pour qu’au petit matin tu sois belle princesse.
Je viendrais dévaster les bordures d’un lit
Pour abreuvez ton corps de toutes mes caresses
Et dès l’aube ta peau, gavée de ces ivresses,
Encore rougira de ce désir enfuit.
jc-blondel
Au-delà de minuit dans la douceur du soir
Je deviens courant d’air pour poser la caresse
Sur ton corps engourdi d’un sommeil qui s’empresse
De te garder pour lui dans son beau manteau noir.
Je laisse aller mes doigts sur ta peau qui paresse
Sous la blancheur d’un drap qui cache mon espoir
De te voir t’éveiller nue devant le miroir
Où se reflète un corps offert à la tendresse.
Je suis ce courant d’air qui vient et qui se glisse
Profiteur de l’instant et de ta nudité
Pour réveiller un peu ce désir oublié
Qui vient se nicher prés, tout prés de ta cuisse.
Je suis ce vent secret porteur de ce plaisir
Qui s’endors chaque soir dans de sombres abysses
Emportant tout ton corps sans que tu réagisses
Dans la froideur des nuits où tu t’en va dormir.
Je serai l’ouragan pour te sortir duchesse
Des heures sans amours des printemps inassouvis
Je te ferais bondir, bravant les interdits.
Pour qu’au petit matin tu sois belle princesse.
Je viendrais dévaster les bordures d’un lit
Pour abreuvez ton corps de toutes mes caresses
Et dès l’aube ta peau, gavée de ces ivresses,
Encore rougira de ce désir enfuit.
jc-blondel
De la recherche, l'idée est bonne et c'est bien construit pas mal écrit
un peu trop délayé il y a le sens du frisson
en tous les cas cela change du bavardage ambiant
A+
Alain
#3
Posted 26 January 2006 - 02:00 PM
merci Alain
pour ce commentaire
c'est simplement
un courant d'air
coquin pour rechauffer l'atmosphere
par les temps qui courent
amicalement
jean claude
pour ce commentaire
c'est simplement
un courant d'air
coquin pour rechauffer l'atmosphere
par les temps qui courent
amicalement
jean claude
#4
Posted 26 January 2006 - 02:06 PM
courant d'air courant d'air courant d'air....
où te faufiles-tu donc petit courant d'air?
souffle
sur l'ange.
où te faufiles-tu donc petit courant d'air?
souffle
sur l'ange.
#5
Posted 26 January 2006 - 03:52 PM
J'aime beaucoup ce jeu de rimes 1 et 4 qui deviennent 2 et 3 au quatrain suivant. Un très joli poème, un courant d'air doucement soufflé
Amicalement !
Feuille_octobre
Amicalement !
Feuille_octobre
#6
Posted 26 January 2006 - 04:06 PM
en esperant que ce petit courant
permettra a la feuille d'octobre
d'aller danser dans les vent d'automne
pour y retrouver l'ange
qui plane a l'aide de ce courant d'air coquin
amicalement
jean claude
permettra a la feuille d'octobre
d'aller danser dans les vent d'automne
pour y retrouver l'ange
qui plane a l'aide de ce courant d'air coquin
amicalement
jean claude
#7
Posted 27 January 2006 - 09:21 AM
Très beau. Délicieux. Et bien écrit, ce qui ne gâche rien...
#8
Posted 27 January 2006 - 11:38 AM
hu..quel joli courant d'air..
quelques coquilles d'ortho à corriger, dommage
et quelques pieds qui ne font pas le compte
mais c'est d'une telle douceur qu'on ne saurait s'y arrêter.
Amitiés
quelques coquilles d'ortho à corriger, dommage
et quelques pieds qui ne font pas le compte
mais c'est d'une telle douceur qu'on ne saurait s'y arrêter.
Amitiés
#9
Posted 27 January 2006 - 02:19 PM
merci deirdre
de t'etre arrete sur sur mon courant d'air
avec ton tapis volant
je vais remedie aux coquilles
merci pour le coup de main
amities
jean claude
merci mergur d'etre passe
amicalement
jean claude
de t'etre arrete sur sur mon courant d'air
avec ton tapis volant
je vais remedie aux coquilles
merci pour le coup de main
amities
jean claude
merci mergur d'etre passe
amicalement
jean claude
#10
Posted 27 January 2006 - 05:53 PM
Un petit courant d'Erre, pour te dire que, je suis toujours sensible à ton romantisme...
#11
Posted 27 January 2006 - 06:19 PM
LE COURANT D’AIR
Au-delà de minuit dans la douceur du soir
Je deviens courant d’air pour poser la caresse
Sur ton corps engourdi d’un sommeil qui s’empresse
De te garder pour lui dans son beau manteau noir.
Je laisse aller mes doigts sur ta peau qui paresse
Sous la blancheur d’un drap qui cache mon espoir
De te voir t’éveiller nue devant le miroir
Où se reflète un corps offert à la tendresse.
Je suis ce courant d’air qui vient et qui se glisse
Profiteur de l’instant et de ta nudité
Pour réveiller un peu ce désir oublié
Qui s'en vient se nicher prés, tout prés de ta cuisse.
Je suis ce vent secret porteur de ce plaisir
Qui s’endors chaque soir dans de sombres abysses
Emportant tout ton corps sans que tu réagisses
Dans la froideur des nuits où tu t’en va dormir.
Je serai l’ouragan pour te sortir duchesse
Des heures sans amours des jours inassouvis
Je te ferai bondir, bravant les interdits.
Pour qu’au petit matin tu sois belle princesse.
Je viendrais dévaster les bordures d’un lit
Pour abreuvez ton corps de toutes mes caresses
Et dès l’aube ta peau, gavée de ces ivresses,
Encore rougira de ce désir enfuit.
jc-blondel
voilà deirdre la version corrigée
j'espere que je ne rien loupe
amicalement
jean claude
voila un courant d'Erre qui me fait bien plaisir
est il aussi malicieux et coquin
que mon petit courant d'air.......
amities
jean claude
Au-delà de minuit dans la douceur du soir
Je deviens courant d’air pour poser la caresse
Sur ton corps engourdi d’un sommeil qui s’empresse
De te garder pour lui dans son beau manteau noir.
Je laisse aller mes doigts sur ta peau qui paresse
Sous la blancheur d’un drap qui cache mon espoir
De te voir t’éveiller nue devant le miroir
Où se reflète un corps offert à la tendresse.
Je suis ce courant d’air qui vient et qui se glisse
Profiteur de l’instant et de ta nudité
Pour réveiller un peu ce désir oublié
Qui s'en vient se nicher prés, tout prés de ta cuisse.
Je suis ce vent secret porteur de ce plaisir
Qui s’endors chaque soir dans de sombres abysses
Emportant tout ton corps sans que tu réagisses
Dans la froideur des nuits où tu t’en va dormir.
Je serai l’ouragan pour te sortir duchesse
Des heures sans amours des jours inassouvis
Je te ferai bondir, bravant les interdits.
Pour qu’au petit matin tu sois belle princesse.
Je viendrais dévaster les bordures d’un lit
Pour abreuvez ton corps de toutes mes caresses
Et dès l’aube ta peau, gavée de ces ivresses,
Encore rougira de ce désir enfuit.
jc-blondel
voilà deirdre la version corrigée
j'espere que je ne rien loupe
amicalement
jean claude
voila un courant d'Erre qui me fait bien plaisir
est il aussi malicieux et coquin
que mon petit courant d'air.......
amities
jean claude
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