7 replies to this topic

[DJ-b.]

Balbutiement



Des effluves suaves m’étourdissent et m’enlacent
M’incendient d’une lave rougeoyante mais hélas
Je ne traverse qu’un rêve, une valse une ivresse
Dans la nuit je me lève, je déambule et me blesse


Les cris nocturnes ambiants, et toujours plus oppressants
Se conjuguent à l’enivrant groove quasiment obsédant
D’une musique vaudou, symbole de sacrifices
Où le hurlement des loups se mêle aux immondices


Je balbutie je dérive, une expérimentation
Quelque peu maladive, pareil à une ablation
Le sentiment jamais mort du révolutionnaire
Si souvent en désaccord avec l’ordre millénaire


Mais qu’y a t’il ? elle est là ! Je l’aime toujours ma douce
On s’est enfuit ici-bas, nos déraisons éclaboussent
Parfois l’impossible lien, cet incroyable élastique
Qui relie à chaque bout deux cœurs fragiles et uniques

[lacape]

j'ai aimé l'ensemble, mais la dernière strophe est sublime !
amitié a+++++++++++++++++++++++++++

[Galy]

Je comprends Jojo ...
Avec mon amitié
et une bise à ta Doudou,
Galy.

[Serge L]

y a de l'idee, quelques jolies trouvailles,
meme si rythme coupe, facilites de rime (?), un peu trop bazar.
et si tu etais trop indulgent avec toi-meme?
Serge

[strofka]

-



( sans indulgence )
c'est plus que de l'indulgence là.






-

[Erre]

Une détresse, une hallucination, un songe ? Je me suis laissée emporter dans l'étrange...Très belle écriture !
Amitiés
Erre

[DJ-b.]

-
( sans indulgence )
c'est plus que de l'indulgence là.

-

Merci strof
de ton com

alors tu veux me faire bosser

tu veux être sans indulgence avec moi
tu veux le top du top le sublime le détail
je vais commencer à chipoter avec
l'auteur (là je lui fait de la pub) d'un
recueil de poésie "le rameau d'offertoire"
paru aux éditions l'harmattan

[sangreal]

Balbutiement



Des effluves suaves m’étourdissent et m’enlacent
M’incendient d’une lave rougeoyante mais hélas
Je ne traverse qu’un rêve, une valse une ivresse
Dans la nuit je me lève, je déambule et me blesse
Les cris nocturnes ambiants, et toujours plus oppressants
Se conjuguent à l’enivrant groove quasiment obsédant
D’une musique vaudou, symbole de sacrifices
Où le hurlement des loups se mêle aux immondices
Je balbutie je dérive, une expérimentation
Quelque peu maladive, pareil à une ablation
Le sentiment jamais mort du révolutionnaire
Si souvent en désaccord avec l’ordre millénaire
Mais qu’y a t’il ? elle est là ! Je l’aime toujours ma douce
On s’est enfuit ici-bas, nos déraisons éclaboussent
Parfois l’impossible lien, cet incroyable élastique
Qui relie à chaque bout deux cœurs fragiles et uniques

poème qui sent le fabriqué, l'emphase des faux sentiments