J’ entends le son du bois qui doucement craquelle
Mordu par des flammèches ondulantes et rebelles
Leurs ombres sur les murs insolentes elles pavanent
Dans cette simple maison où les murs se fanent
Ce feu qui se réveille, il me promet l’enfer
Son brasier m’ensorcelle, j’y vois rire Lucifer
Au brûlant, à l’ardent, à l’enivrante chaleur
Il me faut préférer l’apaisante douceur
De cette simple maison où les murs se fanent
Mais où chaque recoin témoigne de mon âme.
2 replies to this topic
#1
Posted 23 March 2004 - 07:33 PM
#2
Posted 15 April 2004 - 08:00 PM
*
je l'imagine cette maison au feu qui crépite
quelque part au fond d'une prairie
ou dans quelque forêt montagnarde,
apaisante, livrant à la lueur des flammes ses secrets d'antan......
L'atmosphère y est, .......Rose ne change rien !
LeSlovène
*
je l'imagine cette maison au feu qui crépite
quelque part au fond d'une prairie
ou dans quelque forêt montagnarde,
apaisante, livrant à la lueur des flammes ses secrets d'antan......
L'atmosphère y est, .......Rose ne change rien !
LeSlovène
*
#3
Posted 16 April 2004 - 08:31 PM
Je pense pareil que Le Slovène, n'y change rien à l'ordre et le confort de ta maison... Très joli poème, Rose :wink:
Amitiés,
Béa
Amitiés,
Béa
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