7 replies to this topic

Un beau matin
Tu m'a annoncé
Qu'avant ce soir
Tu l'auras rejoint
Dans sa maison
J'avais bien espéré
Mais quel imbécile
Toutes ces années
Qu'on a partagées
Ces fleurs oubliées
Ces soirées passées
Sans trop s'écouter
Un beau matin
Tu m'a embrassé
Et puis sans un mot
Tu t'es détournée
La porte s'est refermée
Sur un long silence
En fermant les yeux
Je sens sous mes pieds
Ma barque dériver
Tu m'as crucifié
Ce matin d'automne
Où je t'ai enfin vue

[Deirdre]

Une poignée de mots jetée sur le papier
comme on crache ses quatres vérités
en vérité, tu m'as eue, surtout à la fin, j'avais oublié le titre, petit mystère ou boucle improbable du souvenir, en tout cas, ça marche!

Partir, où à jamais être abandonné.
Qui n'a jamais eu à choisir ?
C'est une douleur, une déchirure, un naufrage à jamais revécu, comme ici.
Merci Pascal.

Partir, où à jamais être abandonné.
Qui n'a jamais eu à choisir ?
C'est une douleur, une déchirure, un naufrage à jamais revécu, comme ici.
Merci Pascal.

Deirdre,


oui, des mots jetés
un à un dans le canal...
les voir flotter est si plaisant
on reste là , immobile
alors qu'ils vont disparaître (en page 2, ...)


Amitié

Pascal

Divaz,


Partir, s’enfuir loin
Alors qu'on aime encore
Et faire confiance à la mort

[Mary14]

Déchirant ....

Bises