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[vent]

" ce qu'on aime ne changerait rien en celui qui nous aime "





Oblongue nuit pendue à l’œil de mon ange !
J’avais veillé sous mes paupières soyeuses
Pour en assouvir mes vœux et mes songes,
Mais je les avais cédées au somme, peureuse,

Et le brun rai que j’avais dessus mes flammes
Qui se tissaient brunâtres au creux du cœur
Que faisait mon feu, pour rallonger mes rames
Et godiller mon rêve, avait blêmi de frayeur.

Oblongue nuit pendue à l’œil du cauchemar !
Le jour que j’oubliais souvent en mon somme
Et sa guise, avait aussi ses rais et son encensoir
Mais, je l’avais laissé en mon somme de gnome.

Toutes mes nuits se commutaient effroyables
Et les jours qu’elles pourchassaient sobrement
Je les recouvrais d’un sommeil impénétrable
Pour les déduire de mes temps implicitement,

Mais je finissais souvent dans la cape de la nuit
Qui me privait de ce qui faisait l’ardeur du jour
Et feinte dans mes translations, mon âme inassouvie,
Où elle se réveillait, elle se cherchait par amour.



farid hamid khenat et dorothée.



et non sammuel, phorest, kamel, lemuel, akli, kahina, ali, salim, rabah, mouh, le blond piégeur, amar fatima,laurent mat et le docteur love, et les autres.




Enregistré le 21 Mai 2006 à 21:16
par 1807657

Oeuvre Originale

Auteur :
farid hamid khenat et dorothée.

" je n'ai rien avoir avec le desert et le sud. désolé !"

" la version est féminine pour ne pas avoir encore la critique du genre masculin et féminin" feint et feinte."

[aZoRth]

Quel cauchemar!