Je périrais. Avec ce voile sans valeur,
Tombé en ce bas monde, Et mes pensées, mise à nu voleront vers l'infini,
Abolissant l'erreur cruelle, de mon destin. Dispensateur de ma Destinée.
Et vous, qui viviez comme quelqu'un d'heureux
Comme un être humain, qui n'aurait jamais vécu sur terre,
Qu'à travers un très long amour, non partagé
Votre loyauté , sera toujours vaine
De ce désir implacable, de l'amour de Vénus
Qui n'aura pas répandu, ce bonheur qui me transcende
De mes propres amertumes, et mes illusions mortes
Avec mes rêveries d'enfance.
Et ces jours heureux de notre jeunesse , s'en sont allés.
Et moi dans la maladie de la vieillesse qui suit : l'âge : et mon ombre
Et de cette mort , qui me couvre de glace.
Voyez, l'agonie , d'un Sénèque tranquille
Dans la mort.
Et de tout ce qu'on puisse espérés pour,
Ces illusions si douceâtres : et je voyais une déesse sombre,
Dans la nuit noire de la mort sans visage,
Sur un rivage silencieux ,
Restreignez la conception si fière , de la mort.
Je Périrais. Avec Ce Voile Sans Valeur,
Started by bernardo, Nov 30 2006 10:30 PM
3 replies to this topic
#1
Posted 30 November 2006 - 10:30 PM
#2
Posted 01 December 2006 - 12:56 PM
Citation (bernardo @ Nov 30 2006, 10:30 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Je périrais. Avec ce voile sans valeur,
Tombé en ce bas monde, Et mes pensées, mise à nu voleront vers l'infini,
Abolissant l'erreur cruelle, de mon destin. Dispensateur de ma Destinée.
Et vous, qui viviez comme quelqu'un d'heureux
Comme un être humain, qui n'aurait jamais vécu sur terre,
Qu'à travers un très long amour, non partagé
Votre loyauté , sera toujours vaine
De ce désir implacable, de l'amour de Vénus
Qui n'aura pas répandu, ce bonheur qui me transcende
De mes propres amertumes, et mes illusions mortes
Avec mes rêveries d'enfance.
Et ces jours heureux de notre jeunesse , s'en sont allés.
Et moi dans la maladie de la vieillesse qui suit : l'âge : et mon ombre
Et de cette mort , qui me couvre de glace.
Voyez, l'agonie , d'un Sénèque tranquille
Dans la mort.
Et de tout ce qu'on puisse espérés pour,
Ces illusions si douceâtres : et je voyais une déesse sombre,
Dans la nuit noire de la mort sans visage,
Sur un rivage silencieux ,
Restreignez la conception si fière , de la mort.
Toujours égal à toi même BERNARDO.Du bon et nostalgique comme j'aime.LE VIEUX
Tombé en ce bas monde, Et mes pensées, mise à nu voleront vers l'infini,
Abolissant l'erreur cruelle, de mon destin. Dispensateur de ma Destinée.
Et vous, qui viviez comme quelqu'un d'heureux
Comme un être humain, qui n'aurait jamais vécu sur terre,
Qu'à travers un très long amour, non partagé
Votre loyauté , sera toujours vaine
De ce désir implacable, de l'amour de Vénus
Qui n'aura pas répandu, ce bonheur qui me transcende
De mes propres amertumes, et mes illusions mortes
Avec mes rêveries d'enfance.
Et ces jours heureux de notre jeunesse , s'en sont allés.
Et moi dans la maladie de la vieillesse qui suit : l'âge : et mon ombre
Et de cette mort , qui me couvre de glace.
Voyez, l'agonie , d'un Sénèque tranquille
Dans la mort.
Et de tout ce qu'on puisse espérés pour,
Ces illusions si douceâtres : et je voyais une déesse sombre,
Dans la nuit noire de la mort sans visage,
Sur un rivage silencieux ,
Restreignez la conception si fière , de la mort.
#3
Posted 01 December 2006 - 08:32 PM
Citation (WARGNIER @ Nov 30 2006, 11:56 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Toujours égal à toi même BERNARDO.Du bon et nostalgique comme j'aime.LE VIEUX
Merci à toi, WARGNIER pour tes encouragements.
#4
Posted 02 December 2006 - 12:44 AM
Ceci est un site d'échange, pour progresser ensemble. Ne prenez pas mal mon com :
Je respecte le fond de votre poème, car ce thème est votre choix.
Mais la forme doit servir ce fond, sinon pourquoi prétendre à la littérature, et surtout à la poèsie n'est-ce pas ?
Et c'est là que rien ne va, car vous ne respectez pas la forme.
A commencer par la virgule, que vous jetez où bon vous semble. On ne peut vous lire !
Si la ponctuation vous pose trop de problèmes, eh bien, n'en mettez pas !
Et je suis sérieux !
Bon courage, et amicalement.
Paname
Je respecte le fond de votre poème, car ce thème est votre choix.
Mais la forme doit servir ce fond, sinon pourquoi prétendre à la littérature, et surtout à la poèsie n'est-ce pas ?
Et c'est là que rien ne va, car vous ne respectez pas la forme.
A commencer par la virgule, que vous jetez où bon vous semble. On ne peut vous lire !
Si la ponctuation vous pose trop de problèmes, eh bien, n'en mettez pas !
Et je suis sérieux !
Bon courage, et amicalement.
Paname
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