11 replies to this topic

[bernardo]

Ensevelir ma mémoire, qui s’est enracinée dans ma conscience,
Et verrouillé sur mon coeur.
Et avec tous ses autres gémissements, dont chacune.

Et ce chagrin intense, qui a cherché ma poitrine,
Quand alors les cieux se sont largement ouverts,
Purifiant les champs avec nostalgie.

Qu’étais-je ! Ce garçon de dix-huit ans,
Vous reconnaissez-vous, alors aimant, dans cet amour
Voir et ne pouvoir, caresser votre corps et pleurer.

Lorsque j'avais dix-huit ans je méprisais chaque extase, et les étoiles
Votre sourire, sera à peine voilé, par l’aube,
Et votre soupir si calme, apaisera les champs verts.

Même cet amour si chargé de gloire demeurait silencieux
Dans mon coeur qui s’enflamme
Où votre amour de beauté, vous survivait.

Mon regard ne pourra pas revenir, sur votre sourire figé,
Et avec lequel je pensais avoir conclu,
Et tous mes autres désirs seront vains, avec ces rêves dans mes yeux..

Image fugitive d’un amour qui m’aurait, changé en moi-même,
Comment avoir tant aimé, et pris tout autre sens que moi ?
Dans l’éclat de notre jeunesse, si changeant de ce que nous sommes !

Seulement, voilà, que mon coeur aurait voulu cela,
Comme ce dialogue perpétuel, qui a enterré mon coeur,
Garder cette agonie de tristesse sur mon chagrin.

Et mon regard circulaire, cherchera ce monde, en moi-même,
Et ne m’aura autorisé aucun coup d'oeil éphémère ou perdu
Qui s’allume sur ton visage aux deux diamants noirs


Ne pas craindre, surtout, de déranger ce clair de lune si vierge
Ton image que j'ai tenue dans mes mains, comme des vagues
Qui s’échappe d’une mer houleuse, remuée par la brise océane.

Et ces regrets éperdus, pour n'avoir pas su prendre
Les plaisirs de nos amours fugitifs,
Cela sans doute pèsera perpétuellement sur notre amour,

Changer de vie, pour ne pas empoisonner notre joie passée,
Cela complètement atteindra mon coeur : mortifié par la honte
Avec ses blessures sévères, encore n'avait aucun pouvoir.



Ce feu qui me ronge encore, vit encore en moi,
Amour ta belle image, inspire ma pensée,
Dont je ne tirerais aucune joie qui n'est pas céleste, et qui me satisfait.

[bohemia]

je ne sais pas si tu plagies, qu'importe, tes textes d'amour sont beaux....

[Zapiski id podpolia]

HUM, pourquoi le vouvoiement?

[JSCQE]

Ensevelir ma mémoire, qui s’est enracinée dans ma conscience,
Et verrouillé sur mon coeur.
Et avec tous ses autres gémissements, dont chacune.

Et ce chagrin intense, qui a cherché ma poitrine,
Quand alors les cieux se sont largement ouverts,
Purifiant les champs avec nostalgie.

Qu’étais-je ! Ce garçon de dix-huit ans,
Vous reconnaissez-vous, alors aimant, dans cet amour
Voir et ne pouvoir, caresser votre corps et pleurer.

Lorsque j'avais à dix-huit ans je méprisais chaque extase, et les étoiles
Votre sourire, sera à peine voilé, par l’aube,
Et votre soupir si calme, apaisera les champs verts.

Même cet amour si chargé de gloire demeurait silencieux
Dans mon coeur qui s’enflamme
Où votre amour de beauté, vous survivait.

Mon regard ne pourra pas revenir, sur votre sourire figé,
Et avec lequel je pensais avoir conclu,
Et tous mes autres désirs seront vains, avec ces rêves dans mes yeux..

Image fugitive d’un amour qui m’aurait, changé en moi-même,
Comment avoir tant aimé, et pris tout autre sens que moi ?
Dans l’éclat de notre jeunesse, si changeant de ce que nous sommes !

Seulement, voilà, que mon coeur aurait voulu cela,
Comme ce dialogue perpétuel, qui a enterré mon coeur,
Garder cette agonie de tristesse sur mon chagrin.

Et mon regard circulaire, cherchera ce monde, en moi-même,
Et ne m’aura autorisé aucun coup d'oeil éphémère ou perdu
Qui s’allume sur ton visage aux deux diamants noirs


Ne pas craindre, surtout, de déranger ce clair de lune si vierge
Ton image que j'ai tenue dans mes mains, comme des vagues
Qui s’échappe d’une mer houleuse, remuée par la brise océane.

Et ces regrets éperdus, pour n'avoir pas su prendre
Les plaisirs de nos amours fugitifs,
Cela sans doute pèsera perpétuellement sur notre amour,

Changer de vie, pour ne pas empoisonner notre joie passée,
Cela complètement atteindra mon coeur : mortifié par la honte
Avec ses blessures sévères, encore n'avait aucun pouvoir.

Ce feu qui me ronge encore, vit encore en moi,
Amour ta belle image, inspire ma pensée,
Dont je ne tirerais aucune joie qui n'est pas céleste, et qui me satisfait.

Il n'a rien à ajouter.Qui peux-mieux dire.C'est parfait . LE VIEUX.

[bernardo]

Il n'a rien à ajouter.Qui peux-mieux dire.C'est parfait . LE VIEUX.

Merci à toi, Warnier.
Et que mes amitiés t'accompagnent.
Bernardo

[JSCQE]

Merci à toi, Warnier.
Et que mes amitiés t'accompagnent.
Bernardo

AU REVOIR MON AMI. Et devant tes ECRITS je met mon nom en petit . le vieux.

[Dedalus]

On dirait que les talents se reconnaissent...
Bon, après, vous faites ce que vous voulez, mais si vous avez un peu de respect pour notre langue, vous avez encore les moyens de faire un effort pour arrêter son massacre. Bernardo, ces sites sont surtout pour toi, pour apprendre l'usage de la virgule.

http://www.ccdmd.qc....-1/Virgule.html
http://www.csrs.qc.c...onctuation.html
http://grammaire.rev...es/Fiche191.htm

[bernardo]

On dirait que les talents se reconnaissent...
Bon, après, vous faites ce que vous voulez, mais si vous avez un peu de respect pour notre langue, vous avez encore les moyens de faire un effort pour arrêter son massacre. Bernardo, ces sites sont surtout pour toi, pour apprendre l'usage de la virgule.

http://www.ccdmd.qc....-1/Virgule.html
http://www.csrs.qc.c...onctuation.html
http://grammaire.rev...es/Fiche191.htm

Je vais aller voir, les sites indiqués pour parfaire l'usage de la virgule.
T'en remercies Dedalus .
Amitiés.

[Gaston Kwizera]

ce n'est pas du plagiat, c'est du collage

si tu pouvais répondre bernardo, sur un truc:
je suis assez interessé par la ponctuation dans les textes.
le point virgule (dédicace à zap, leur chevalier), les points de suspension, les points d'exclamation, j'en use et abuse. parfois même on me dit à tort, car cela rend la lecture et la compréhension plus ardue. j'en rougis.

mais par exemple là :

Et mon regard circulaire, cherchera ce monde, en moi-même,

c'est juste pour se foutre de notre gueule, hein ?

le début parle de lui même... tu te relis après avoir posé tes ciseaux et ta colle ?

Ensevelir ma mémoire, qui s’est enracinée dans ma conscience,
Et verrouillé sur mon coeur.
Et avec tous ses autres gémissements, dont chacune.

[Dedalus]

"Je vais aller voir, les sites indiqués pour parfaire l'usage de la virgule."
Pour commencer, il ne doit pas y a avoir de virgule dans cette phrase.
J'espère que tu tireras profit des liens que j'ai indiqué.
Amitiés.

[Remo]

ce n'est pas du plagiat, c'est du collage

si tu pouvais répondre bernardo, sur un truc:
je suis assez interessé par la ponctuation dans les textes.
le point virgule (dédicace à zap, leur chevalier), les points de suspension, les points d'exclamation, j'en use et abuse. parfois même on me dit à tort, car cela rend la lecture et la compréhension plus ardue. j'en rougis.

mais par exemple là :

c'est juste pour se foutre de notre gueule, hein ?

le début parle de lui même... tu te relis après avoir posé tes ciseaux et ta colle ?

c'est là tout le problème du collage, c'est que le Bernardo colle aussi la ponctuation. Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un foutage de gueule, je crois plutôt que c'est de la non compréhension, ou plutôt de la non-assimilation. Il est un peu comme le type qui se dit qu'il doit courrir trois cent mètres , bon, il y a un mur sur le parcours, eh ben il ne va pas le contourner, il foncera dedans jusqu'à ce que mort s'ensuive. (c'est souvent le mur qui gagne dans ces cas là)

[Natacha2006]

c'est là tout le problème du collage, c'est que le Bernardo colle aussi la ponctuation. Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un foutage de gueule, je crois plutôt que c'est de la non compréhension, ou plutôt de la non-assimilation. Il est un peu comme le type qui se dit qu'il doit courrir trois cent mètres , bon, il y a un mur sur le parcours, eh ben il ne va pas le contourner, il foncera dedans jusqu'à ce que mort s'ensuive. (c'est souvent le mur qui gagne dans ces cas là)

Pour Remo, si tu me lis :

Ami critique et lecteur, on est amis si tu veux pas de problème, tes avis d'expert m'aideraient sûrement à perfectionner ma technique, qui n'est pas, je l'avoue, la partie de la poésie qui m'interesse le plus, mais qu'il reste indispensable de maîtriser un minimum, ce qui n'est pas mon cas.
Mais en pensant à tes critiques, qui sont parfois acerbes, et pourraient facilement blesser un poête peu sûr de lui, j'ai pensé à un vieux sketch des chevaliers du fiel, le bar-b-Q avec entre beau-frères pour te situer la scène :

au fait : tu connais la différence entre un bon écrivain et un mauvais écrivain ?

euh non ?

ben c'est simple : le bon écrivain, il écrit, le mauvais écrivain, il est prof de lettres !


lol c'est juste une boutade, je ne sais pas si tu es prof de lettres, je n'ai rien contre toi.

Amitiés,

                             Natacha.


PS : Au fait, Bernardo, moi je l'm bien ton texte, sûrement parce que je ne possède pas toutes les réfèrences de nos amis les plus pointilleux, lol.