Te souviens-tu ?
Started by Candide, Jan 25 2006 11:35 PM
9 replies to this topic
#1
Posted 25 January 2006 - 11:35 PM
TE SOUVIENS-TU ?
Te souviens-tu, mon cœur, quand tu sautais légère
Dans le flot des genêts d'un lumineux matin?
L'étrave de ton corps voguait vers le destin!
De cet amour naissant, tu fus la messagère!
Tu gardais nos baisers toi ma douce bergère
Comme tes blancs moutons, c'était plus que certain.
Les clarines tintaient là-bas vers le lointain,
Quand nos âmes vibraient dans la verte fougère.
C'est dans ce nid douillet, gardien de nos secrets,
Que tous ces jours enfuis chargés de lourds regrets
Sont sertis en nos coeurs, éternels à jamais.
De ces tendres instants, que toujours l'on ressource
Malgré le fil du temps, s'écoule désormais
Nôtre immortel bonheur qui termine sa course.
Candide
Te souviens-tu, mon cœur, quand tu sautais légère
Dans le flot des genêts d'un lumineux matin?
L'étrave de ton corps voguait vers le destin!
De cet amour naissant, tu fus la messagère!
Tu gardais nos baisers toi ma douce bergère
Comme tes blancs moutons, c'était plus que certain.
Les clarines tintaient là-bas vers le lointain,
Quand nos âmes vibraient dans la verte fougère.
C'est dans ce nid douillet, gardien de nos secrets,
Que tous ces jours enfuis chargés de lourds regrets
Sont sertis en nos coeurs, éternels à jamais.
De ces tendres instants, que toujours l'on ressource
Malgré le fil du temps, s'écoule désormais
Nôtre immortel bonheur qui termine sa course.
Candide
#2
Posted 26 January 2006 - 05:15 AM
et se souvenir est déjà demain !
j'ai aimé
Amitiés Valérie
j'ai aimé
Amitiés Valérie
#3
Posted 26 January 2006 - 07:13 AM
un bel amour !
bonne journée !
bonne journée !
#4
Posted 27 January 2006 - 09:14 AM
Fluide, continu. Beaucoup aimé ceci :
<< Tu gardais nos baisers toi ma douce bergère
Comme tes blancs moutons, c'était plus que certain. >>.
<< Tu gardais nos baisers toi ma douce bergère
Comme tes blancs moutons, c'était plus que certain. >>.
#5
Posted 27 January 2006 - 09:36 AM
Un poeme que j'aurais aimé écrire... Merci ! J'ai beaucoup aimé l'image de la bergère et de ses moutons.
François.
François.
#6
Posted 27 January 2006 - 09:12 PM
Que de douceur... C'est comme une ouate qui enveloppe ce qui fut, pour le préserver de ce qu'il est..
Un très joli moment de lecture Candide.
balila
Un très joli moment de lecture Candide.
balila
#7
Posted 27 January 2006 - 11:09 PM
Citation (Merqur @ Jan 27 2006, 09:14 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Fluide, continu. Beaucoup aimé ceci :
<< Tu gardais nos baisers toi ma douce bergère
Comme tes blancs moutons, c'était plus que certain. >>.
<< Tu gardais nos baisers toi ma douce bergère
Comme tes blancs moutons, c'était plus que certain. >>.
Pour toi, Merqur.
Je garde les baisers de ma douce bergère
Dès lors que j'ai glissé l'alliance à son doigt;
L'amour, en ce temps là était pur et sincère
Car depuis soixante ans il vit sous notre toit.
Amitiés, Candide
#8
Posted 28 January 2006 - 01:06 AM
Citation (Candide @ Jan 27 2006, 11:09 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Pour toi, Merqur.
Je garde les baisers de ma douce bergère
Dès lors que j'ai glissé l'alliance à son doigt;
L'amour, en ce temps là était pur et sincère
Car depuis soixante ans il vit sous notre toit.
Amitiés, Candide
Je garde les baisers de ma douce bergère
Dès lors que j'ai glissé l'alliance à son doigt;
L'amour, en ce temps là était pur et sincère
Car depuis soixante ans il vit sous notre toit.
Amitiés, Candide
Oh, mille merci, j'apprécie beaucoup.
Amitiés,
Merqur.
#9
Posted 28 January 2006 - 07:35 AM
Citation (François des Pyrénées @ Jan 27 2006, 09:36 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Un poeme que j'aurais aimé écrire... Merci ! J'ai beaucoup aimé l'image de la bergère et de ses moutons.
François.
François.
Il faut garder espoir, les bergères attendent toujours
l'amour d'un Price charmant.
Amitiés. Candide
#10
Posted 28 January 2006 - 07:53 AM
Citation (balila @ Jan 27 2006, 09:12 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Que de douceur... C'est comme une ouate qui enveloppe ce qui fut, pour le préserver de ce qu'il est..
Un très joli moment de lecture Candide.
balila
Un très joli moment de lecture Candide.
balila
Bonne journée, Balila.
La courbe du jour décline et s'enfuit,
Puis l'horizon encor vient s'unir à la mer
Et en doux baiser, enveloppe la nuit
Dans le coton léger de l'impalpble éther.
Aicales pensées, Candide
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