C'est vraiment beau.
Que dire, si ce n'est que j'y puise une grande lucidité.
J'adore la narration près de l'instant, sans camouflage et avec brio.
Pachane's Content
There have been 368 items by Pachane (Search limited from 28-April 23)
#363063 Lumière
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on 14 December 2006 - 12:35 PM
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Salon de publication principal
#362924 Le Diseur Du Midi
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on 13 December 2006 - 08:40 PM
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Salon de publication principal
Au grand homme aux oreilles de Jade.
Le plus beau et le plus dur métier est sans doute celui de faire rire.
De frire dans l'indolence la pestilence des malentendus fièvreusement tripotés.
Un tel sourire doit figés, féconde, de jeunes femmes bien pétulantes.
Vous aimassiez sans émacié, talent rare et apprécié.
Votre Marseille chante sous l'olivier, de l'ardre verbe qui vous sied.
Bien à vous Mr Ferandel.
Pachane YTTRJN.
Dans ma gratitude, mon amour du jeu , J'ai oublié un N.
Bien entendu il s'agit de Fernandel.
Le plus beau et le plus dur métier est sans doute celui de faire rire.
De frire dans l'indolence la pestilence des malentendus fièvreusement tripotés.
Un tel sourire doit figés, féconde, de jeunes femmes bien pétulantes.
Vous aimassiez sans émacié, talent rare et apprécié.
Votre Marseille chante sous l'olivier, de l'ardre verbe qui vous sied.
Bien à vous Mr Ferandel.
Pachane YTTRJN.
Dans ma gratitude, mon amour du jeu , J'ai oublié un N.
Bien entendu il s'agit de Fernandel.
#362922 Plaisir Animal
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on 13 December 2006 - 08:30 PM
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Je suis d'accord avec le Hindous qui disent que le plaisir charnel est la plus sûre approche du divin.
Evidemment.
Très beau texte, du charme et du corps.
Hum.
Evidemment.
Très beau texte, du charme et du corps.
Hum.
#362920 Toi Paris , Je T'ai Dans La Peau...(i)
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on 13 December 2006 - 08:26 PM
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Salon de publication principal
Paris, ah Paris.
C'est joliemment dis.
C'est une douce ville, et l'histoire et ses sillons bleus ne l'ont pa trop meurtris.
Ah Paris.
Merci Paname.
C'est joliemment dis.
C'est une douce ville, et l'histoire et ses sillons bleus ne l'ont pa trop meurtris.
Ah Paris.
Merci Paname.
#362919 Clos
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on 13 December 2006 - 08:21 PM
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C'est une question imbibé de la reconnaissance de la perte de l'enfance.
On se la pose tous, mais que signifie marcher si ce n'est soulever la poussière du Sol.
Sol pouvant être Soleil, et la poussière un rien moins que le meilleur de cette imagination qui refuse ou accepte le meilleur, puisque finalement elle est très bonne cordonnière et sensible avec ça.
Amitiès.
On se la pose tous, mais que signifie marcher si ce n'est soulever la poussière du Sol.
Sol pouvant être Soleil, et la poussière un rien moins que le meilleur de cette imagination qui refuse ou accepte le meilleur, puisque finalement elle est très bonne cordonnière et sensible avec ça.
Amitiès.
#362914 Cadavre Et Skis
Posted by
on 13 December 2006 - 08:06 PM
in
Salon de publication principal
Le je dans le jeu, c'est comme le miroir un tantinet joueur lui aussi.
Le comble de celui qui dit c'est de dire sans le sentir ce que les autres liront.
Mais en reluisant cela va sans dire.
Le comble de celui qui dit c'est de dire sans le sentir ce que les autres liront.
Mais en reluisant cela va sans dire.
#362824 Cadavre Et Skis
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on 13 December 2006 - 11:14 AM
in
Salon de publication principal
Les cadavres se fichent de l'orthographe voyez vous.
Si un cadavre vous dit qu'il perd les os, phonétiquement on pourrait s'attendre à un futur nourrisson alors que finalement quelques cliquetis pousserait leur premiers cris.
Merci à tous.
Je vais de ce pas me flageller pour ces quelques fautes.
Allez Pénélope sort le martinet.
Pfiou.
Si un cadavre vous dit qu'il perd les os, phonétiquement on pourrait s'attendre à un futur nourrisson alors que finalement quelques cliquetis pousserait leur premiers cris.
Merci à tous.
Je vais de ce pas me flageller pour ces quelques fautes.
Allez Pénélope sort le martinet.
Pfiou.
#362695 Quatrains Grimoiriens
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on 12 December 2006 - 02:14 PM
in
Le petit salon...
Ben, heu.
Et le paradis alors ?
Et le paradis alors ?
#362694 Epaule Nue
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on 12 December 2006 - 02:12 PM
in
Salon de publication principal
Salut.
ça me fait penser à une prise de photos.
Un coin où les couleurs ont le pas sur tout, mais mieux que la couleur, c'est le ton de cette vague innocemment appelé lumière faute de mieux, je dirais que c'est beau.
Oui oui je confirme.
ça me fait penser à une prise de photos.
Un coin où les couleurs ont le pas sur tout, mais mieux que la couleur, c'est le ton de cette vague innocemment appelé lumière faute de mieux, je dirais que c'est beau.
Oui oui je confirme.
#362683 Cadavre Et Skis
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on 12 December 2006 - 01:41 PM
in
Salon de publication principal
Tout schuussss.
Le cadavre sifflle 'A boire...'.
Dans toutes les pentes, il y a un cadavre qui trinque, c'est matter ma trique.
Le vent souffle débonnaire, le cadavre lui il aspire à un vide meilleur.
Encore une fois tout ça, c'est rien que de la logique.
Et puis le soir tombe, comme des us et des coutumes, et les us ça crée des liens.
Un petit chasse neige, tout le grandiloquent pète de toutes parts.
Des bruits incongrue brise le silence, on dirait un accouplement de bonhomme de neige.
Evidemement de là où on est, on voit que-dalle.
Le sifflement des pins fait penser au temps qui passe inexorablement.
Pfiou, fait pas chaud non? trouvé pas?
Et le relent d'alcool qui enflamme les passions, et le foie qui demande une règlementation.
Pioouuu, et dire qu'au Seychelles y a des gens qui sèche au Soleil.
Le cadavre pense, il formule des voeu, la nuit éclabousse le possible de son innénarable prestance.
La nuit tout les chats sont gris, voir verdâtres, evidemment de là où on est.....
Les étoiles apparaissent, c'est Cassiopée là-bas, regardez on voit la voie Lactée, et ça c'est....
Schblum...., ça c'est le rhum qui soigne les refroidissements mais ne peut rien contre les echauffements.
Le cadavre baigne dans le froid du jour.
Il coure après son ski.
Et hop, clopinant comme un loup démangé par l'espoir.
Il s'assied et culmine devant l'Arbre de Sa Vie.
Pachane YTTRJN.
Le cadavre sifflle 'A boire...'.
Dans toutes les pentes, il y a un cadavre qui trinque, c'est matter ma trique.
Le vent souffle débonnaire, le cadavre lui il aspire à un vide meilleur.
Encore une fois tout ça, c'est rien que de la logique.
Et puis le soir tombe, comme des us et des coutumes, et les us ça crée des liens.
Un petit chasse neige, tout le grandiloquent pète de toutes parts.
Des bruits incongrue brise le silence, on dirait un accouplement de bonhomme de neige.
Evidemement de là où on est, on voit que-dalle.
Le sifflement des pins fait penser au temps qui passe inexorablement.
Pfiou, fait pas chaud non? trouvé pas?
Et le relent d'alcool qui enflamme les passions, et le foie qui demande une règlementation.
Pioouuu, et dire qu'au Seychelles y a des gens qui sèche au Soleil.
Le cadavre pense, il formule des voeu, la nuit éclabousse le possible de son innénarable prestance.
La nuit tout les chats sont gris, voir verdâtres, evidemment de là où on est.....
Les étoiles apparaissent, c'est Cassiopée là-bas, regardez on voit la voie Lactée, et ça c'est....
Schblum...., ça c'est le rhum qui soigne les refroidissements mais ne peut rien contre les echauffements.
Le cadavre baigne dans le froid du jour.
Il coure après son ski.
Et hop, clopinant comme un loup démangé par l'espoir.
Il s'assied et culmine devant l'Arbre de Sa Vie.
Pachane YTTRJN.
#362680 Fond Du Ciel
Posted by
on 12 December 2006 - 01:14 PM
in
Salon de publication principal
Nous nous en reviendrons à la saison des flèches.
Parcourir les fleuves, les courants transparents.
Le jeu est un pendule, le long lobe de lumière.
Qu'y peut on esquisser? est ce le devoir de passer brièvement, sans bruit.
Les volets clos, et ces paupières effritante au contact, l'émotion est la Lune.
Tu reverdis, les printemps sont des épées de bois, un coup dans le vide et le tour est joué.
Elle manie le verbe avec la prudence des lucioles, on dirait une neige électrique, à moins qu'ailleurs déjà plus rien ne vole.
Le feu follet cours la plaine, les quartiers du silence sont installés, on immisce le bleu comme le bleu s'immisce en nous, proportionnellement.
Les vérités, au quatre vents, et nous les flutistes, nous jouons comme l'antique saveur, un rien qui est un tout, une merveille de correspondance, l'echec serait de croire à un joueur supposé autre.
Dans la comédie sociale, les strapontins valent les fauteuils.
L'Amour n'est pas simplement le Moyen, il est de toute la frondaison, le jouet du Chaos, celui bien entendu que l'on entend, et tout cela proportionnellement.
Mat.
Pachane YTTRJN.
Parcourir les fleuves, les courants transparents.
Le jeu est un pendule, le long lobe de lumière.
Qu'y peut on esquisser? est ce le devoir de passer brièvement, sans bruit.
Les volets clos, et ces paupières effritante au contact, l'émotion est la Lune.
Tu reverdis, les printemps sont des épées de bois, un coup dans le vide et le tour est joué.
Elle manie le verbe avec la prudence des lucioles, on dirait une neige électrique, à moins qu'ailleurs déjà plus rien ne vole.
Le feu follet cours la plaine, les quartiers du silence sont installés, on immisce le bleu comme le bleu s'immisce en nous, proportionnellement.
Les vérités, au quatre vents, et nous les flutistes, nous jouons comme l'antique saveur, un rien qui est un tout, une merveille de correspondance, l'echec serait de croire à un joueur supposé autre.
Dans la comédie sociale, les strapontins valent les fauteuils.
L'Amour n'est pas simplement le Moyen, il est de toute la frondaison, le jouet du Chaos, celui bien entendu que l'on entend, et tout cela proportionnellement.
Mat.
Pachane YTTRJN.
#362675 Le Soufi
Posted by
on 12 December 2006 - 12:47 PM
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Salon de publication principal
Très beau.
Vraiment - beau.
Des liens et du regard abrupte des sots.
Vraiment - beau.
Des liens et du regard abrupte des sots.
#361308 Cheval Fou
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on 04 December 2006 - 02:15 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Félice @ Dec 2 2006, 02:15 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Voilà... je comprends. Il faut faire sa propre poésie, certes. Cependant, il faut s'attacher à la faire se développer chaque jour.
Je trouve, dans tes réponses, quelque chose qui m'a été révélé par balila sur ce site il y a quelques temps : tes com's portent en eux quelque chose que l'on voudrait retrouver dans ta poésie. Il faut y réfléchir parce que c'est très révélateur.
C'est toute la difficulté de "philo-poétiser" : la raison et l'émotion ont du mal à coexister de manière harmonieuse. Tu peux y arriver, peut-être. Mais c'est à double tranchant, je ne le sais que trop. Il m'a fallu quelques temps loin de tlp, quelques temps au silence de moi-même pour verbaliser tout ça, pour faire avancer le travail.
Et puisque tu sembles sensible à ça : les choses ont une définition. Les choses doivent être reliées pour faire surgir l'harmonie naturelle qui les fait exister. Par contre, il faut bien se dire qu'elles sont distinctes, c'est ce qui fait la magie de la harmoniser.
Jaguar.
Je trouve, dans tes réponses, quelque chose qui m'a été révélé par balila sur ce site il y a quelques temps : tes com's portent en eux quelque chose que l'on voudrait retrouver dans ta poésie. Il faut y réfléchir parce que c'est très révélateur.
C'est toute la difficulté de "philo-poétiser" : la raison et l'émotion ont du mal à coexister de manière harmonieuse. Tu peux y arriver, peut-être. Mais c'est à double tranchant, je ne le sais que trop. Il m'a fallu quelques temps loin de tlp, quelques temps au silence de moi-même pour verbaliser tout ça, pour faire avancer le travail.
Et puisque tu sembles sensible à ça : les choses ont une définition. Les choses doivent être reliées pour faire surgir l'harmonie naturelle qui les fait exister. Par contre, il faut bien se dire qu'elles sont distinctes, c'est ce qui fait la magie de la harmoniser.
Jaguar.
Merci Jaguar pour ces quelques conseils.
L'harmonie naturelle des liens, oui, difficile sans doute.
Les choses et l'harmonie naturelle, un lien.
C'est superficiellement dit, mais le germe du remède doit y être.
Je crois avoir compris.
Citation (Pachane @ Dec 4 2006, 02:08 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Merci Jaguar pour ces quelques conseils.
L'harmonie naturelle des liens, oui, difficile sans doute.
Les choses et l'harmonie naturelle, un lien.
C'est superficiellement dit, mais le germe du remède doit y être.
Je crois avoir compris.
L'harmonie naturelle des liens, oui, difficile sans doute.
Les choses et l'harmonie naturelle, un lien.
C'est superficiellement dit, mais le germe du remède doit y être.
Je crois avoir compris.
Je m'empresse de dissiper toute équivoque quand je dis superficiellement, je veux dire vu de très loin.
Mais ça reste un conseil dont je ferais l'étude sérieusement.
Le brin du passage, le filtre émotionnel, l'échappement sur le grill, et la panacée du relief ajourée à la nuit eclectique du Sens, sensifiée bien entendu.
Bien entendu ce n'est pas parce que deux nuages noirs se rencontrent que le tonnerre éclate mais bien pour que le ciel tonne que deux nuages se rencontrent. R. ABELLIO.
#361292 Fable
Posted by
on 04 December 2006 - 12:43 PM
in
Salon de publication principal
Suffisant à mon goût, mais s'il y a une suite tant mieux.
Il y a une boucle, comme le serpent qui se mord la queue triomphant de l'inconnaissance, le fameux Ourouboros.
C'est vraiment fameux.
Il y a une boucle, comme le serpent qui se mord la queue triomphant de l'inconnaissance, le fameux Ourouboros.
C'est vraiment fameux.
#360735 Emilie
Posted by
on 01 December 2006 - 01:28 PM
in
Salon de publication principal
J'aime beaucoup.
C'est tragique, mais c'est beau.
C'est tragique, mais c'est beau.
#360732 Cheval Fou
Posted by
on 01 December 2006 - 01:23 PM
in
Salon de publication principal
Quand la ville dort.
Le fleuve ebruite des clapotis langoureux.
Des mugissement du vent vibre dans les arbres palabrants.
L'or est de silence, la pierre palpite au feuillage humide.
Et d'un coup le Silence prend sa dimension théatrâle, tout ce qui Est est dialogue incertain.
C'est que je trouve, c'est ce que je me suis dit y être l'Harmonie.
Et quand la ville se réveille, le pli des pas, les fièvres naissantes font luire des lueurs aux coeur de qui s'est tû.
Merci Jaguar.
#360729 L'enfance Abandonnée
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on 01 December 2006 - 01:08 PM
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Salon de publication principal
Hé bé.
ça me fait penser à une barque.
On sent la houle, et en même temps une certaine pression.
C'est vraiment très beau.
ça me fait penser à une barque.
On sent la houle, et en même temps une certaine pression.
C'est vraiment très beau.
#360727 Cheval Fou
Posted by
on 01 December 2006 - 01:01 PM
in
Salon de publication principal
Ben merci de ton com.
Je dirais que la philosophie est le principe même de la vie, l'un des deux, pour moi ce que la science moderne appelle l'adn et l'Inde antique le Purusha ne sont que la lumière sur une vérité, lÊtre se construit de ce qu'il crôit, jusque dans la chair.
Voilà, sacré Jaguar.
Quand je poétise, comme les fleurs dans le square au crépuscule, je cherche à rendre beau ce qui est mes yeux l'est.
Cela n'engage que moi, je fais ça par plaisir.
Je prends la rançon du silence et la donne à ceux qui à mes yeux l'ont mérité.
Je réhabilite avec toute l'effervescence qui me caractérsie ceux dont j'estime la Valeur.
'Le plus beau tombeau des morts est le coeur des vivants'.
Et puis voilà, sinon je suis un chevaucheur de cercle avec tout ce que cela implique, je dirais que ça va de mal en Pi.
Voilà
Je dirais que la philosophie est le principe même de la vie, l'un des deux, pour moi ce que la science moderne appelle l'adn et l'Inde antique le Purusha ne sont que la lumière sur une vérité, lÊtre se construit de ce qu'il crôit, jusque dans la chair.
Voilà, sacré Jaguar.
Quand je poétise, comme les fleurs dans le square au crépuscule, je cherche à rendre beau ce qui est mes yeux l'est.
Cela n'engage que moi, je fais ça par plaisir.
Je prends la rançon du silence et la donne à ceux qui à mes yeux l'ont mérité.
Je réhabilite avec toute l'effervescence qui me caractérsie ceux dont j'estime la Valeur.
'Le plus beau tombeau des morts est le coeur des vivants'.
Et puis voilà, sinon je suis un chevaucheur de cercle avec tout ce que cela implique, je dirais que ça va de mal en Pi.
Voilà
#360590 Cheval Fou
Posted by
on 30 November 2006 - 04:53 PM
in
Salon de publication principal
Le sang coule.
3 étages, une goutte, trois gouttes, dégoutte.
La claque, rhazam , le ciel, rhazma, le kif, argh.
Mon ciel, le sang, la plaie, le silence de l'éther.
Les cocos, jovial marxiste, la vitre, les éclats de rire et les autres.
L'amertume, le fil, le présent et le présent encore.
Tout est noeud comme disait Bruno G., le fier organe que de le dire sans faille.
Contrainte, oui, mais le noeud est dans le lien
.
A moins que cela soit l'inverse.
Les malentendu sont des éclipses, leurs conséquences des durées sans durée, des morts dans la vie.s
Hum.....
3 étages, une goutte, trois gouttes, dégoutte.
La claque, rhazam , le ciel, rhazma, le kif, argh.
Mon ciel, le sang, la plaie, le silence de l'éther.
Les cocos, jovial marxiste, la vitre, les éclats de rire et les autres.
L'amertume, le fil, le présent et le présent encore.
Tout est noeud comme disait Bruno G., le fier organe que de le dire sans faille.
Contrainte, oui, mais le noeud est dans le lien
.
A moins que cela soit l'inverse.
Les malentendu sont des éclipses, leurs conséquences des durées sans durée, des morts dans la vie.s
Hum.....
#360538 Courpe Taille
Posted by
on 30 November 2006 - 01:46 PM
in
Salon de publication principal
Je te tiens, tu me tiens par la barbichette.
Claque, calque rouge sur le profil, des pieds dans le dos.
Ganapati, ô mon étoile.
Hé bien si le diamètre est large, le pas n'est que centrifuge envers dedans.
Pourquoi?
Le miel est imputrescible, et alors? agh.ah.
Elle ficèle ses attitudes dans le carnet de service.
Elle est pas méchante, elle se le répète à chaque fois que la Lune sillone ses reins.
Elle balaie de la main les scru-pull, faut se rechauffer avec les moyens du bord.
Un enfant à l'amer.
Des idiots suivent les traces dans le Ciel.
La science pourvoie, oui c'est scientifiquement pourvu que.
Ah, dis donc louillasse, tu vas bouger ton humanité, t'as quand même pas eu le temps de pas avoir eu le temps, qui te croira, certainement pas toi.
Louillasse et bouille d'étoupe, si cacoflante rigloute, tes nains sauront bouillis et soupe.
Rends ce qui t'appartient, tu le sais qu'il est à moi, d'ailleurs, les conventions conventiculaire elles ont beau do, du moment qu'elle sonne, tu aurais été triangle et moi cornemuse, si je ne m'abuse.
Alpha et tertia, climandre et pendu, fief, grief, relief abattu, risque le dire pour moi.
Rien est acquis, cela est à moi.
Allons chevaucher le cercle, nu est adroit, Rhunnn.
PACHANE YTTRJN.
Claque, calque rouge sur le profil, des pieds dans le dos.
Ganapati, ô mon étoile.
Hé bien si le diamètre est large, le pas n'est que centrifuge envers dedans.
Pourquoi?
Le miel est imputrescible, et alors? agh.ah.
Elle ficèle ses attitudes dans le carnet de service.
Elle est pas méchante, elle se le répète à chaque fois que la Lune sillone ses reins.
Elle balaie de la main les scru-pull, faut se rechauffer avec les moyens du bord.
Un enfant à l'amer.
Des idiots suivent les traces dans le Ciel.
La science pourvoie, oui c'est scientifiquement pourvu que.
Ah, dis donc louillasse, tu vas bouger ton humanité, t'as quand même pas eu le temps de pas avoir eu le temps, qui te croira, certainement pas toi.
Louillasse et bouille d'étoupe, si cacoflante rigloute, tes nains sauront bouillis et soupe.
Rends ce qui t'appartient, tu le sais qu'il est à moi, d'ailleurs, les conventions conventiculaire elles ont beau do, du moment qu'elle sonne, tu aurais été triangle et moi cornemuse, si je ne m'abuse.
Alpha et tertia, climandre et pendu, fief, grief, relief abattu, risque le dire pour moi.
Rien est acquis, cela est à moi.
Allons chevaucher le cercle, nu est adroit, Rhunnn.
PACHANE YTTRJN.
#360535 La Drisse
Posted by
on 30 November 2006 - 01:22 PM
in
Salon de publication principal
Merci.
L'Humour c'est la vérité pas plu bête qu'elle n'est, pas plus intelligente non plus, et vice et vertu.
Comme dirait Nietsche "Humpffff".
J'adore c'gars, mais impossible de me souvenir sans écorner, olé.
Et voilà.
L'Humour c'est la vérité pas plu bête qu'elle n'est, pas plus intelligente non plus, et vice et vertu.
Comme dirait Nietsche "Humpffff".
J'adore c'gars, mais impossible de me souvenir sans écorner, olé.
Et voilà.
#360344 Le RÂ D'égout
Posted by
on 29 November 2006 - 04:51 PM
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Salon de publication principal
J'aime bien la chanson de Brassens, je connaissais pas.
Le poème aussi.
+++
Le poème aussi.
+++
#360339 La Drisse
Posted by
on 29 November 2006 - 04:13 PM
in
Salon de publication principal
Roule, gaine, essuie toi l'étang.
Et puis traine pas les pieds, la langue morte est celle dont use les sels de tout ordre.
Mais quoi, le genre humain est le genre que l'on cotoie, côte contre côte, on se connait mieux quand la pente est rude.
La douche et ses goutellettes qui vous rappellent la loi des séries.
Je tombe, nous tombons, nous sommes humides, ils sont numides, on est nomades, vla la pommade.
Y a un trou dans le coin gauche de la lucarne, des codes qui illumine tout seul en plein jour, la bérézina.
Et puis hop, le caleçon, celui avec mickey heureux, encore une victime de la morale sociale, si c'est pas beau de mourir en souriant, fallait pas avoir ces grandes oreilles qu'entendent rien, lui crâche minie qu'est beaucoup plus velue que la moyenne.
Et puis l'Eros, suivez la flèche, en plein dans le Coeur, ça tombe bien je suis déjà par terre, murmure l'escalier en polimaçon, y a des réverbères qui croisent des Lunes et là l'Amour est pas tiède du tout.
Je prends ma pipe d'opium, j'la bourre avec le caftan du capitaine igloo, et je m'effraie en hullulant des youkoulélé, le temps est aussi facile à apprivoiser que de faire semblant qu'on l'ait apprivoiser, on se dit quelle belle cage et on retourne se balancer au barreau.
Vive la médecine douce.
Hep! Maud, dis moi encore ce mot, là, passe bien le s partout.
Tu souris, je me demande comment tu fais pour lire toutes ces lignes sur ces pages vierges.
Ouais t'es pigiste pour Eros, evidemment, ça simplifie.
Bonne nuit ma rustine.
PACHANE YTTRJN.
Et puis traine pas les pieds, la langue morte est celle dont use les sels de tout ordre.
Mais quoi, le genre humain est le genre que l'on cotoie, côte contre côte, on se connait mieux quand la pente est rude.
La douche et ses goutellettes qui vous rappellent la loi des séries.
Je tombe, nous tombons, nous sommes humides, ils sont numides, on est nomades, vla la pommade.
Y a un trou dans le coin gauche de la lucarne, des codes qui illumine tout seul en plein jour, la bérézina.
Et puis hop, le caleçon, celui avec mickey heureux, encore une victime de la morale sociale, si c'est pas beau de mourir en souriant, fallait pas avoir ces grandes oreilles qu'entendent rien, lui crâche minie qu'est beaucoup plus velue que la moyenne.
Et puis l'Eros, suivez la flèche, en plein dans le Coeur, ça tombe bien je suis déjà par terre, murmure l'escalier en polimaçon, y a des réverbères qui croisent des Lunes et là l'Amour est pas tiède du tout.
Je prends ma pipe d'opium, j'la bourre avec le caftan du capitaine igloo, et je m'effraie en hullulant des youkoulélé, le temps est aussi facile à apprivoiser que de faire semblant qu'on l'ait apprivoiser, on se dit quelle belle cage et on retourne se balancer au barreau.
Vive la médecine douce.
Hep! Maud, dis moi encore ce mot, là, passe bien le s partout.
Tu souris, je me demande comment tu fais pour lire toutes ces lignes sur ces pages vierges.
Ouais t'es pigiste pour Eros, evidemment, ça simplifie.
Bonne nuit ma rustine.
PACHANE YTTRJN.
#358429 Saskatchewan
Posted by
on 21 November 2006 - 12:25 PM
in
Salon de publication principal
Les gens qui se relève, après une longue absence.
C'est bien.
La tempèrance est necéssaire et le calme aussi.
Et si l'Amour était.....
Alors serions nous digne de celui que l'on porte....
Aux enfants de demain un bel avenir.
Amitiés.
De votre Noblesse.
C'est bien.
La tempèrance est necéssaire et le calme aussi.
Et si l'Amour était.....
Alors serions nous digne de celui que l'on porte....
Aux enfants de demain un bel avenir.
Amitiés.
De votre Noblesse.
#358414 Saskatchewan
Posted by
on 21 November 2006 - 11:35 AM
in
Salon de publication principal
Par toutes les Lunes de Jupiter.
Atomic, tout n'est que peit morceau, de bravoure, de votre fierté.
De votre beautée, de votre courage, de votre bonté.
De votre sens bien plus aiguisé que la Lame de fond des perdus de l'Est.
Je me veux rouge, rouge du sang qui vous anime.
Rouge de la colère de l'occupation.
Le Feu ne peut être entrevue que dans votre regard.
Rouge de votre savoir, dont peu à peu vous renaissez.
Bon retour parmi vous.
Amitié.
Ly-O-Lay Ale-Loya.
Pachane YTTRJN
Atomic, tout n'est que peit morceau, de bravoure, de votre fierté.
De votre beautée, de votre courage, de votre bonté.
De votre sens bien plus aiguisé que la Lame de fond des perdus de l'Est.
Je me veux rouge, rouge du sang qui vous anime.
Rouge de la colère de l'occupation.
Le Feu ne peut être entrevue que dans votre regard.
Rouge de votre savoir, dont peu à peu vous renaissez.
Bon retour parmi vous.
Amitié.
Ly-O-Lay Ale-Loya.
Pachane YTTRJN
