Quand mon cœur ne sera plus qu’une coque vide,
Et lorsqu’ il suppurera des pleurs acides,
Un épais sang noir désertera mes artères
Se déversant à flots de mes yeux de verre.
Mon être s’ouvrira en une plaie béante
Où l’on apercevra une lueur montante,
Mon âme secouant dans un sillage d’argent
Ses élytres créées en cristal éblouissant.
Les cieux célébreront cet envol de leurs feux
Sacrés ; ces clartés éclairciront sa route,
Creusant un sillon dans la céleste voûte.
Elle transpercera les nuages paresseux,
Pour se vaporiser dans le haut firmament,
Retombant en une pluie de poudre de diamant…
titre indéfini pr le moment!!
Started by Guitoune, Dec 10 2005 01:28 PM
1 reply to this topic
#1
Posted 10 December 2005 - 01:28 PM
#2
Posted 10 December 2005 - 02:29 PM
Bon tu veux un com... constructif
Déjà sur la prosodie : vérifie comment on compte la métrique des alexandrins, ça permettra une fois tes approximations corrigées de donner le bon rythme à tes vers. Ensuite, si tu veux écrire un sonnet, il ne suffit pas d'aligner quatorze vers. Qu'ils soient écrit classiquement ou non, tu peux lire ceux de Condor, au rigorisme classique exacerbé, ou ceux, plus modernes de Callinira.
Sur le fond, ton approche, passe moi l'expression, fait un peu cliché. Tu utilises des tournures de phrases à mon sens trop proches du langage parlé. Ça peut-être un parti pris, mais je ne pense pas que ce soit le cas ici. En plus ce ressenti est encore accentué par la pauvreté des rimes.
Bonne continuation. Éventuellement, écris plus librement.
Amicalement
Trémaouézan
Déjà sur la prosodie : vérifie comment on compte la métrique des alexandrins, ça permettra une fois tes approximations corrigées de donner le bon rythme à tes vers. Ensuite, si tu veux écrire un sonnet, il ne suffit pas d'aligner quatorze vers. Qu'ils soient écrit classiquement ou non, tu peux lire ceux de Condor, au rigorisme classique exacerbé, ou ceux, plus modernes de Callinira.
Sur le fond, ton approche, passe moi l'expression, fait un peu cliché. Tu utilises des tournures de phrases à mon sens trop proches du langage parlé. Ça peut-être un parti pris, mais je ne pense pas que ce soit le cas ici. En plus ce ressenti est encore accentué par la pauvreté des rimes.
Bonne continuation. Éventuellement, écris plus librement.
Amicalement
Trémaouézan
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