8 replies to this topic

[jc-blondel]

FOLLE REALITE

Folle réalité, cruelle déchirure
Quand l'amour est forcé par les feux du tourment
Quand le désir est fou, lorsqu'il devient violent
Il peut vous emporter dans sa triste aventure.

Combien de désarroi, de vaines salissures
Quand le corps est meurtri par un être méchant
La petite qui n'est encore qu'une enfant
Supportera longtemps ces vilaines blessures.

Comment sera-t-il fait demain leur avenir
Errant jour après jour, traînant leur existence
En se forçant à vivre en mettant sous silence
Cet instant détesté, cet affreux souvenir.

Aujourd'hui, malgré tout, voilà ce qui me navre
Ces assassins mesquins sont toujours du voyage
Il laisse derrière eux plus qu'un simple carnage
Il laisse derrière eux quelquefois, un cadavre.

Les passions les plaisirs toujours auront un droit
Le viol en aura pas, c'est l'arme des malades
Il faudra l'obliger à ranger ses salades
Pour que l'amour enfin redevienne une foi.

jc blondel

[Alba]

trop beau ton poème
c'est la réalité sombre où glissent certains individus
merci

[jc-blondel]

oui malheureusement il y en a de plus en plus
dans quel monde vit on

merci detre passe
amities
jean claude

[Salam]

Oui, bien relaté, c'est pas évident sur cette réalité là.
Bien à toi.

[jc-blondel]

merci salam

detre passe

amities
jean claude

[Anne.U]

toujours aussi bien dit même pour parler de choses laides si l'en est...Amitiés Anne

[jc-blondel]

merci anne

faut parfois mettre le doigt je dirai les vers sur certaines choses du temps

merci d'etre passee
amities
jean claude

[had75]

FOLLE REALITE

Folle réalité, cruelle déchirure
Quand l'amour est forcé par les feux du tourment
Quand le désir est fou, lorsqu'il devient violent
Il peut vous emporter dans sa triste aventure.

Combien de désarroi, de vaines salissures
Quand le corps est meurtri par un être méchant
La petite qui n'est encore qu'une enfant
Supportera longtemps ces vilaines blessures.

Comment sera-t-il fait demain leur avenir
Errant jour après jour, traînant leur existence
En se forçant à vivre en mettant sous silence
Cet instant détesté, cet affreux souvenir.

Aujourd'hui, malgré tout, voilà ce qui me navre
Ces assassins mesquins sont toujours du voyage
Il laisse derrière eux plus qu'un simple carnage
Il laisse derrière eux quelquefois, un cadavre.

Les passions les plaisirs toujours auront un droit
Le viol en aura pas, c'est l'arme des malades
Il faudra l'obliger à ranger ses salades
Pour que l'amour enfin redevienne une foi.

jc blondel

Très beau poème, plein d'émotion et de vrai.
Néanmoins il y'a deux points qui me dérangent dans ton poème: "la petite qui n'est encore qu'une enfant".
Je trouve que ce vers est beaucoup moins fluide que le reste du poème, la diction accroche un peu sur le "qui".
Et une autre chose mais qui doit être une erreur d'inattention je pense: Le viol (n')en aura pas ...

Quoi qu'il en soit, mes remarques n'enlève en rien la beautée et le travail du reste.
Amitiés.
Hadrien.

[jc-blondel]

merci had 75
de ces remarques je verrai si je peux changer sans denaturer le texte

amities
jean claude