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La Legende D'epistogon


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11 replies to this topic

#1 Zapiski id podpolia

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Posted 15 September 2006 - 06:34 PM

-Dedie a mon camarade homere, qui saura apprecier ce chant a sa juste valeur-

La legende d’epistogon;
Une legende glorieuse et poetique.


(Epistogon; seul au fond de son trou a chateau. Il semble parler a un oiseau chauve;
Aux creux de ta main
J’ai verse de la poussiere
Aux creux de tes reins
Je me logerais;
La nuit me rentrera de dedans
Et le jour creusera de dehors ma tete
Je paierai volontiers
De mes centaines et
De mes milliers de trodollars
Pour connaitre le jour ou
Tu mourras salope
Putain d’enfer aux cornes biscornues
Sans cesse je batis
Et sans cesse tu miaules
Que n’y faire que l’eteinte de ta bouche
Que n’y faire que l’etreinte de mon sexe
Que n’y faire que mes claques et mes baffes
Je t’aime comme lorsque je ne respire plus
(Sur cette phrase Epistogon tente de mettre fin a ses jours en se coupant la respiration avec une feuille de papier. La feuille se debat. L’air jaillit abondant et pourpre pour sauver Epistogon. L’air dit;
Que diable que cet Epistogon de malheur
Pompe moi milles fois de ton gland
Je te planterais une fenetre grande
De rideaux jaunes que l’on ouvre en actionnant
Une manivelle en tapant
Des pieds avec les mains
Monte sur mon dos Epistogon
Que je t’envoie te perdre dans mes triangles
Fabulateurs qui sans cesse fariboles
De leurs pointes aigus et bizarres
(Ceci dit, Epistogon monte sur le dos de l’air qui est le vent. Le vent l’emmene aux pays des triangles, dans une contree que l’on refuse de nommer etant lointaine et inaccessible, arrive Epistogon se lamente;
J’ai quitte mon pays triste
Pour un polygone perdu
Pris dans la tourmente
Et ou les chiens pyramidaux
Ne ressemblent en aucun cas aux maux
Qui me procure mes oiseaux chauves;
Que fais-je ici grotesque
Alors que le roi des figures
Dans son carre d’apparat
Se dresse caduque et fier
Comme un leopard tachete
Mauve et gigantesque?
(Le roi des figures, un ami de l’air, lui joue une farce et lui repond;
Epistogon tu es damne
A pourrir aux milieu des figures
L’œil sec et le miroir bas
Il ne te reste plus qu’a te jeter
Du haut du rectangle sacre
Si bien sur tu veux te sauver
Si bien sur le rectangle pleurs
Des larmes bleues de pitie
Alors ami tu seras aime
(Epistogon, ignorant que le roi des figures est le fils de la plus honteuse des putes, se precipite vers le rectangle sacre afin d’etre aime des oiseaux chauves. Helas le rectangle est un monstre endormi depuis l’eternite qui est le reflet d’Epistogon. Le rectangle, lui, est reveille et en colere il dit;
Je te connais toi Epistogon;
Tu es l’homme qui pourrit nos dents
A nous autres rectangles aimables et polies
De notre surface a la surface de notre taille
Epistogon je ne peux pleurer
Pour l’homme responsable de ma rage
Et de mon mal terrible
Qui me brule solairement
Epistogon sauve moi ou je te consume
Avec mes yeux qui ont chacun un revolver
Et qui sont chacun
Aiguise comme une carpe
Sauve moi ou je te consume
(Epistogon saisissant son courage derriere sa nuque s’apprete a arracher la dent conique et puante; lorsque soudain jaillit l’ours brun qui se baigne de la salive du rectangle et qui fait chauffer son cafe avec le cote amere de la langue, l’ours brun dit;
Que fait- tu fou d’Epistogon;
Tu detruis la maison du sage
La maison du sage qui parle et qui sait tout
Des oiseaux chauves et de la maladie
Qui ronge et rouille le cœur central
De notre corps a tous
Son temps n’est pas encore venu
(Epistogon voyant une solution a ses problemes s’engouffre dans la dent pourrie pour parler au sage, il voit un vieil homme barbu assis sur une chaise renverse, a ses cotes gisent trois cles passablement morte, leurs queues etant imbibes de cuivre cuits; Epistogon, empresse, dit au vieil homme;Foutre de bouc vieil outre
Barrique de mathusalem
Dis-moi la reponse
Au maux que provoque
Chez moi cette oiseau chauve
Au plumage excitant
Aux seins gros et vivaces qui vivent
Sous mes mains de joie
Dis-moi donc la solution pour que je connasse
Le secret de leurs cons ou je glisse mes sexes aux odorats allechants
Apres tout je suis peut-etre maigre comme un bilboquet
Mais a travers mes cotes on voit les nuages
(Le vieil homme souri, s’approche d’Epistogon, et brutalementsaisissaunedescleesrouilleespourluienfoncerdanslecoeuretenclencherlem
chanismesecretquetouthommealorsqu’iltombedesnuesd’unoiseauchauve; Epistogon, soulage tomba a genoux, et s’en alla ainsi dans son pays triste ou il vecut triste car ici il n’y a pas besoin de fin car nous avons tout dit;


#2 Sonkal

Sonkal

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  • TLPsien
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Posted 16 September 2006 - 01:45 PM

C'est un peu de la balle, mais serieux c'est trop long ou alors pas assez aéré du tout...mais tu vas me dire que ca gache d'aérer. Comment tu veux qu'un mec lise tout? à part si tu veux seduire ceux qui s'ennuient

#3 serioscal

serioscal

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Posted 17 September 2006 - 11:28 AM

C'est vrai que c'est compact.

#4 Zapiski id podpolia

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Posted 17 September 2006 - 09:49 PM

jai une version audio je c pa lamettre.
Sinon ce texte doit etre long et compact, c important

#5 belvis

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Posted 18 September 2006 - 11:24 AM

Y-a-t-il un début ?...

#6 Zapiski id podpolia

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Posted 18 September 2006 - 05:40 PM

oui, les premieres lignes.

#7 belvis

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Posted 18 September 2006 - 06:22 PM

Merci de le préciser...

Je croyais que c'était un puzzle.

#8 Zapiski id podpolia

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Posted 19 September 2006 - 05:21 PM

en effet, je prepare la suite

#9 belvis

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Posted 19 September 2006 - 10:34 PM

Non...Pas ça...

Aprés la tristesse, y a quoi ?

Le suicide ?...

Alors, bien venu...

#10 Zapiski id podpolia

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Posted 20 September 2006 - 04:45 PM

du tout du tout

#11 Zapiski id podpolia

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Posted 21 September 2006 - 05:26 PM

(Helas;, rien n’est dit et tout reste a construire; Epistogon se rendait donc dans son pays triste et en chemin il rencontra une troupe d’ecoliers la troupe l’apostropha les ecoliers eux se taisent;
Camarade que fais-tu
A remplir des ballons jaunes de peinture verte
Le ciel ne se repeint pas
Camarade rejoins-nous et sache
Que dans cette vie faite de tentacules
Nous ne sommes pas la pour aboyer
Nous sommes la pour s’assoire et penser
Prends une chaise, camarade, et attends la mort avec nous
Regarde-toi tu es affreux comme un candelabre
Aux yeux grands ouverts
Qui regarde le fauteuil monotone et gris
Sous les douze coups de la pluie
(Epistogon leur repondit;
C’est parce que je suis gueri des oiseaux chauves
Que ma joie comme mon malheur
Se sont envoles avec eux
Je me voulais lucide
Me voila fumeux
De mauvaises humeurs de la bile
Qui me tourmentent en hurlant
Tel des furies invisibles
Je ne sais plus
Je n’ai peut-etre jamais sut
(Les ecoliers;
La vie est bruyante
Et cacophonique et chaotique
Tu perds trop de temps a pleurer camarade
Un monde de connaissance t’attend
De formules et d’algebre
Les seaux meurent d’etre trop nourris
Camarade assis-toi
Ne fais pas comme l’aristocrate
Il vit dans le mepris et les poussieres
Orgueilleux et fier
Tiens le voila
(L’aristocrate entre il est couronne d’un chapeau gigantesquement bleu fluo il est enroule dans une tapisserie; il parle;
Ha vous voila
Epistogon je vous cherchasse
Queue je n’anusse putes le plaisir de vous parler plus tot
Vous cher Epistogon connut de travers les cheminees de satin
Ecoutassez moi Epistogon
Ouvrassez vos mains
Pour que j’entrasse mes deux oreilles
Et me soutennasse ainsi de ma tete
Epistogon nous sommasse sur une route sans sens
Nous y marchasse d’un pave a un autre
Epistogon ne vous assasse pas
Vous en perdreraste tes deux jambes
Les ecoliers sont autant des pieges
Comme autant de rasoirs vivants
Allons plutot dansasse au bal
Et vivrasse
Chez mon ami l’archipetasse
(L’aristocrate saisit la main d’Epistogon et tous deux entre dans un carrosse tire par deux chameaux esclaves aveugles; ils arrivent devant une minuscule poubelle; de la musique en sort magiquement; l’aristocrate saisit le sexe d’Epistogon et les voila devant l’archipetasse dans la salle de bal; la salle est vide mais sourit; l’archipetasse aimable suce le sexe d’Epistogon et l’aristocrate essaie de monter la comtesse; Epistogon dit;
Le monde n’est pas venu
Ou je me noierai dans mon plaisir
Je suis fait de planches de fer
Et je me voulais aimer
Les oiseaux chauves
Me voila homme
Et je vois par dela les fontaines
Ou l’eau est enchaine
Au bord precieux de verre
Que chacune de mes diagonales
Me prouvent que je suis un trait droit
Mais le jour
La lache balance
Cassera
Et de mes perceptions
Je saisirais les glissements
Lache donc mon sexe vieille truie
Tu es perdu comme chaque epreuves
Que tu crois vivre
Tu es un fantome trop feint et emplis
D’une joie qui n’existe plus
Depuis que l’homme a fendu chaque pan
Des robes de femme
Qui traverse nos vies en courant
Dans le son des robes dechirees
C'est-à-dire depuis exactement l’eternite et trois minutes
Et vingt-quatres secondes regarde plutot
Mes faux lacets faits qui me donnent rendez-vous
Au cafe du coin;
Je m’en vais donc
(Et Epistogon s’en allait donc; decide comme jamais il se rendait au cafe du coin;

#12 Zapiski id podpolia

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Posted 21 September 2006 - 05:36 PM

pk il monte pas ce con de texte?




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