Dehors Dure
#1
Posted 21 March 2006 - 08:44 PM
le ciel --- penché --- comme une tête
les lézardes savent : nous disons
mais nous ne connaissons pas --- visons
aviation et lignée ferrovière
la marche nous a traversé rails, monts et plaines
les impeccables batiments de la ville
suspendirent --- au-dessus de notre tête
j’aimais ton sourire vivant --- le vent
se levait --- tes lèvres singulières
avaient --- la puissance des rails
la profondeur du sol --- en silence
pauvre le
feu central --- s’éteint
comme un chrétien en peine.
#2
Posted 21 March 2006 - 08:47 PM
#3
Posted 21 March 2006 - 08:52 PM
tu tisses ta toile
t'en as toute une série
comme ça ?
#4
Posted 21 March 2006 - 08:56 PM
Oui. Quand on voit les merdes qui circulent, je connais des dizaines de poètes sérieux qui ne viennent pas et d'autres qui ont été bannis ! C'est le monde à l'envers ! Ce n'est pas un chrétien, le type qui tient ce forum, c'est pas dieu possible.
#5
Posted 21 March 2006 - 08:58 PM
toute mes excuses
je m'ennuyais tout seul au comptoir
voilà tout
#6
Posted 21 March 2006 - 09:00 PM
c'est pour lui les dernières lignes ?
sinon j'ai bien aimé celui là, cette fois je suis assez vieux pour aprécier faut croire !
#7
Posted 21 March 2006 - 09:01 PM
#8
Posted 21 March 2006 - 09:07 PM
Puissance et simplicité.
Dommage ce commentaire et le mépris pour autrui. Il y a quantité de de poèmes qu'on n'apprécie pas, cela n'empêche pas d'avoir du respect pour tous les auteurs.
Humanité. Respect. Revenons please à des valeurs civisilisées.
Amicalement
Christophe
#9
Posted 21 March 2006 - 09:08 PM
#10
Posted 21 March 2006 - 09:31 PM
#11
Posted 21 March 2006 - 09:53 PM
#12
Posted 21 March 2006 - 11:44 PM
JAMAIS!
arrière profane!!!
voile un peu cette incertitude,
dame aglaé va en prendre ombrage!!
aller l'ami on n'a plus qu'à s'payer un coup à boire
histoire de noyer notre honte
devant la poésie véritable
dont nous ignorons les tenants et les aboutissants.
P.S > aglaé, j'aime beaucoup ce poème, sincèrement, peut être un peu moins tes coms...
cloud
#13
Posted 22 March 2006 - 08:50 AM
"tes lèvres singulières
avaient --- la puissance des rails" m'emporte complètement !
"pauvre le
feu central" m'a déroutée, mais à la relecture je suis franchement convaincue.
Le début me paraît moins fort. Je crois que la rime "disons / visons" me gêne, comme un oubli dans un texte par ailleurs maîtrisé. Le poème ne trouve pas tout de suite sa structure, le début est un peu flottant pour moi.
Mais "la marche nous a traversé rails, monts et plaines" : super ! Belle évocation toute simple de mouvement, de voyage...
Bravo aglaé, bienvenue !
#14
Posted 22 March 2006 - 08:55 AM
#15
Posted 18 May 2006 - 09:00 PM
#16
Posted 19 May 2006 - 11:43 AM
Mais la dernière strophe
#17
Posted 19 May 2006 - 11:52 AM
le ciel --- penché --- comme une tête
les lézardes savent : nous disons
mais nous ne connaissons pas --- visons"
oué.
cette strophe emporte tous
la fin j'aime pas
mais cette strophe.
"le ciel --- penché --- comme une tête"
c pur.
#18
Posted 20 May 2006 - 12:02 AM
ils sont ici
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