19 replies to this topic

[.ds.]

C'était comme hurler au temps
De rendre sa liberté aux rêves éteints

Mais sur son ombre
Il reste là
Immobile
Parle respire
Sa lumineuse aventure

Devenu muet
Un espace insuffisant
Les feuilles frêne-ent

Douce-Sarah.
Nath - etc...

[Galy]

Lumineux et fragile ...
Bises ma Douce,
Galy.

[.ds.]

Chère Galy,

Il fait plaisir à te rencontrer.

Merci pour tes lectures ponctuelles.


Amitiés,

Nath

[ATYA.SYRS]

le hasard pour moi n'existe pas, les liens se tissent et se détissent de la toile éphémère de l'humanité, tout retourne au début, un cycle sans fin, ponctué par des textes et des rencontres....
je suis perplexe, zttiré pzr ton texte et je reste sur ma fin et ma faim, c'est comme s'il manqué un morceau
belle écriture en tous cas, je ne suis pas indifférent
amitiés
Thierry

[lacape]

ça m'embête un peu, je suis obligé de dire que c'est bien ! (lol)
amitié.

[djibril]

Originale, étonnante, questionnante... mais vraiment une belle écriture.
J'aime beaucoup lire ces textes qui nous mettent en route (mais où?)

[.ds.]

Franchement, j'suis contente de vous avoir en mots. Par ailleurs ; il est vrai que ce n'est qu'un aléas d'une histoire... Bon ben voilà...

à Bientôt ?

[chacal]

Salut la douce, j'ai aimé te suivre un moment dans ta lumineuse aventure..

[le hamster]

C'est que ce poème nous laisse sur notre faim, aveuglant, criant, cinglant, on le prend comme une boule de neige en plein visage. Et il s'arrête abrupt, nous laissant en suspens, comme en arrêt au bord du précipice.

J'entends hurler les loups, hurler aux temps éteints...

Espace étend, espaces et temps...

Mais il reste une solution à sa faim de loup : se mettre sous la dent d'autres poèmes de Nath...


Amicalement

Christophe

[.ds.]

Merci Chacal et Christophe.
Désolée trop lasse pour répondre quoi que ce soit.
J'ai un petit cerveau coincé.

[Raoul]

une fois de plus,
sais plus où mettre mes pieds maintenant
ave DS
a.

[Carla.]

Une écriture pure, sans fioritures, sans début, sans fin...Juste à savourer.

[strofka]

-

vous ne m'avez toujours pas dit

pk.

-

[Michel]

j'aime beaucoup

Amicalement
Michel

[.ds.]

Sympas vos passages à tous.
Carla
Alzeno
etc...
Strofka ; j'essaie de t'appeler.

Cher Michel,
Vous savoir là, m'est un immense joie.
Je pense souvent à vous.
Amicalement.

[vallée]

bravo DS

tu vois
je préfère sans les 2 premiers vers
ça enlève
le coté histoire
pour juste avoir ton point de vue

on te regrette
sur le chantier

bises

[.ds.]

bravo DS

tu vois
je préfère sans les 2 premiers vers
ça enlève
le coté histoire
pour juste avoir ton point de vue

on te regrette
sur le chantier

bises

Ah non alors, les é premiers vers sont l'élan des mots qui suivent et se succèdent...
Içi n'est que bribes décomposées d'aléas d'illusions...

Je regrette infiniment le chantier ; j'y étais presqu'à l'aise... et j'avais vraiment envie de partager, comme là... Je crois que je vais passer outre... et ....

[Henri.]

oui, et (bon signe) je reste sur ma faim. Frustré (un peu)
Encore...

Henri.

[Ariel]

.
.
.
.
.


Cette perle qui nait de la coquille de la deuxième ligne,
et s'efface, comme une mémoire oublieuse, dans les deux dernières

Elle avait besoin de cette non-perfection avant, et après.

L'image est proche, précise, et derrière, l'horizon, loin, profond, toujours.


Coup de coeur ...

[INFONTE]

Chère Douce,

Le temps a-t-il ainsi passé ?
Vos mots m'ont donc manqué.

A vous