Onde orange et verticale,
Vague de bleu et de vert, alternée,
Dégradés pastels en spirale,
Bague de lapis et saphir ornée,
Batistes légères et pâles,
Fard ocre au lourd mortier tourné,
Peau d'en duvet, escale
Des pêches aux saveurs carnées,
Soie d'un bas mygale
Au noir filet sous mains mâles,
Perles de rire, en balles
Qu'amour de soi ici déballe,
Je suis
L'éternelle,
L'écrin de peu, du joyau le tout,
L'immense et la limite pour vous,
Dit-elle,
Je suis
Celle qui là vient pour être aimée.
Inclinez-vous et protégez-moi,
Car rien ne vaut,
Sauf moi.
Sphinx
Started by INFONTE, Mar 27 2006 08:32 AM
2 replies to this topic
#1
Posted 27 March 2006 - 08:32 AM
#2
Posted 27 March 2006 - 12:56 PM
En ne cherchant pas la signification, parce-que je crois que qqchose m'echappe quand même, il est pas mal, par contre, si je reste dessus, je devrais trouver l'envers de ce texte, comme un mot qui ne vient pas, qqchose, qu'on touche du doigt, mais dont on ne sait plus le nom. Voici ce que ce texte me laisse comme impression.
#3
Posted 27 March 2006 - 01:21 PM
Je suis ...
Dit-elle ...
Sauf moi.
Oui, Elysa, dit le Sphinx, qui est-elle ?
A texte verrouillé, il doit être une clé.
Qui est-elle ?
Bonne chance, Elysa.
Dit-elle ...
Sauf moi.
Oui, Elysa, dit le Sphinx, qui est-elle ?
A texte verrouillé, il doit être une clé.
Qui est-elle ?
Bonne chance, Elysa.
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