43 replies to this topic

[Pachane]

Quand on s'assied et qu'on contemple notre acuité du monde on écope la barque qui malgré tout reste étanche.
Une barque étanche parce qu'au fond, on sait que le plus beau n'est que banalité au regard du pire qui s'est, comme une suite de malentendu, frayé la place royale dans nos yeux trop implorant le voeu de la fin de l'absurde.
Ces monceaux d'événement qui meurtrissent cette même simplicité de l'acuité qui par accointance de l'ignorance s'enfile en perle en oubliant que malentendu pour malentendu, la vie est un secret, et découverte, elle est un trésor.
N'est-il pas?
J'ai eu la chance de cotoyer des Ouvreurs de Ciel, contre un prix rude.
Je ne regrette pas de confier occasionnellement à la perplexité d'autres investigations qui fait qu'elle ne soutient rien d'essentiel mais surtout est soutenu par d'autres pierres qui elle murmure lancinemment des reliefs puisants puissants et inaltérables.
Beau texte, que l'onde vespérale te soit souveraine.

[Félice]

Yazid, Pachane...

je prendrai le temps de lire vos coms dans la soirée. Ce texte étant bien plus philosophique que poétique... et vos coms étant, à première vue... du même bois.

(Yazid... vive les belges qui ont la capacité linguisitique de comprendre la gestalt !).

Félice.

[yazid]

Je me vois parfois comme une féline
Et quand ça m'arrange comme une biche aux abois
Mais aucun chasseur ne m'attrapera

Il ny a pas que des chasseurs,n'oublie pas les ramasseurs-cueilleurs

"je me tais"...fô voir...t'as raison d'êt' perplexe en tout cas...
c'est quoi ce "jaguar" dontqu'tu parles des fois?

C'est la marque de mon car

Yazid, Pachane...

je prendrai le temps de lire vos coms dans la soirée. Ce texte étant bien plus philosophique que poétique... et vos coms étant, à première vue... du même bois.

(Yazid... vive les belges qui ont la capacité linguisitique de comprendre la gestalt !).

Félice.

Ya mein shatz ,shuss

Quand on s'assied et qu'on contemple notre acuité du monde on écope la barque qui malgré tout reste étanche.
Une barque étanche parce qu'au fond, on sait que le plus beau n'est que banalité au regard du pire qui s'est, comme une suite de malentendu, frayé la place royale dans nos yeux trop implorant le voeu de la fin de l'absurde.
Ces monceaux d'événement qui meurtrissent cette même simplicité de l'acuité qui par accointance de l'ignorance s'enfile en perle en oubliant que malentendu pour malentendu, la vie est un secret, et découverte, elle est un trésor.
N'est-il pas?
J'ai eu la chance de cotoyer des Ouvreurs de Ciel, contre un prix rude.
Je ne regrette pas de confier occasionnellement à la perplexité d'autres investigations qui fait qu'elle ne soutient rien d'essentiel mais surtout est soutenu par d'autres pierres qui elle murmure lancinemment des reliefs puisants puissants et inaltérables.
Beau texte, que l'onde vespérale te soit souveraine.

T'a fumé de la moquette ou quoi?

[Carla.]

Un beau dialogue intérieur.

[Sebastian1980]

Un petit coucou au passage, pendant que mon chef termine sa sieste. En lisant ton texte
je pense à cette merveilleuse perle de Lennon (tient en voila un autre de mes disques
fétiches) God. Si tu ne la connais pas encore je te l'envois. Elle ressemble à ce que tu dis dans
ton texte. Je retourne travailler (quel horreur ce mot aussi).
Bluzyseb.

[Félice]

Dis donc... bluzyseb... tu dépasses les bornes des limites !
Est-ce que par hasard tu sousentendrais qu'il existe une chanson de Lennon ou des Beatles que je ne connais pas ?

Je pense que tes doigts ont dû riper sur le clavier et je suis prête à t'accorder le bénéfice du doute. Mais que je ne t'y reprenne pas, hein !

Par contre peut-être as-tu une version qu'il me reste à découvrir... là, je suis preneuse. En tout cas, le parralèle me fait resplendir de bonheur.

Félice.

(il a fait un bon dodo, ton chef ? ... tu sais, le top, c'est de ne pas en avoir... de chef).

[.ds.]

Perplexe. Je me tiens là. Au monde. Accrochée. Un peu.

Et si vivre, c’est croire…

Je ne crois pas à la force du travail, ni au capitalisme myope, ni aux religions.
Je ne crois pas aux obstacles ou aux tribunaux.
Je ne crois pas à la hiérarchie, ni à la propagande.
Je ne crois pas à l’éveil du jour ou au sommeil de la nuit.
Je ne crois pas à la méchanceté. Mais je crois à l’hystérie.

Je crois au goût du chocolat, à l’odeur du bois. Je crois à la gestalt et à la mémoire. Je crois aux beaux paysages, à l’Histoire. Je crois aux beaux visages. Je crois à l’écriture et à la prière.
Je crois aux incroyables banalités et à leur caractère unique. Finalement unique.

Et si vivre, c’est dire…

Je dis que je suis perplexe. Et je me tais.

"Mais je crois à l'hystérie..."
Au goût du chocolat et à l'odeur du bois... Aux paysages aux tous petits riens.

Si dire c'est vivre, alors je reste perplexe, mais pour dire quoi ?

Bisous et à te lire Nouillette !

[Sebastian1980]

Si je te trouve ça je gagne quoi ???
J'ai une démo de cette chanson en accoustique, ça compte pas ? Elle est d'ailleurs
très émouvante. En parlant de l'ami John as-tu été faire un tour à la cité de la musique ?

[Félice]

Bluzyman

ben j'allais pas louper ça. Envoies la chanson ! ! ! !

J'ai déjà des frissons.

Félice.

[.ds.]

Je réitère ces mots en l'absence de réponse de féline :

Mais je crois à l'hystérie
Au goût du chocolat
et à l'odeur du bois
Aux paysages
aux tous petits riens

[Félice]

Sauvage déesse,

Bien sûr je suis là. Félice est toujours là.
Dire, c'est vivre...
Alors si tu vis ce que tu dis ... j'ai déjà remarqué dans tes com's à quelle point l'existence à l'air de te sembler intriguante. Tu es naturellement perplexe.

On peut interpréter ton com de tellement de manière... et moi, enfumée d'un pétard, je... digresse.

Alors dis-moi...

Le fauve.

[Félice]

Eh ben dis donc... il était loin celui-là !

Ca n'est pas précisément le genre de livre que je préfère sur le sujet historique. Mais il raconte des lieux de failles spacio-temporelles... à part du monde.

Merci Elly

Espérément, Félice.

[.ds.]

Sauvage déesse,

Bien sûr je suis là. Félice est toujours là.
Dire, c'est vivre...
Alors si tu vis ce que tu dis ... j'ai déjà remarqué dans tes com's à quelle point l'existence à l'air de te sembler intriguante. Tu es naturellement perplexe.

On peut interpréter ton com de tellement de manière... et moi, enfumée d'un pétard, je... digresse.

Alors dis-moi...

Le fauve.

Tiens, c'est marrant que tu m'appelles ainsi... Mais, je vais pas m'étaler... Je songeais à une phrase de WLP, enfin, Elly "ouvreurs de ciel"...

Enfumée d'un pétard, ben dis-donc !

L'existence m'intrigue pour ce qu'elle sait me titiller au fil des instants, et je porte un regard particulier (toujours différent) à chaque chose de ma route.

Que veux-tu !

Observer tel un félin, mais sage !

Bisous

NB : Merci d'être, car je crains... Mais nous saurons où se retrouver, n'est-ce pas ?

[Félice]

empétardée, je pense si vite et perds le fil. Nécessairement.

Dis-m'en toujours plus sauvage déesse. Je suis perplexe. Mais à me perdre, je te trouverai...

Espérément, Félice.