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[HXBC6]

Les rythmes urbains
Martèlent leur musique
Amplifiant Le stress metropolitain
Sur des ombres schizophréniques.

On klaxon, on cri
Faible pourcentage de patience
Entre les murs gris
De la ville aux folles danses…

De multiples pas
S’enfoncent dans le vide
Cerné d’immeuble en magma
De sociétés rigides….

Un paysage artificiel
Planté sur le bitume
Des tours violant le ciel
S’alignent une à une…

Des crânes aliénés
Suivent la file
Vers des lieux surmenés
Et des terres infertiles.

Des centres commerciaux
Dévorent la foule
Et dans des Mac Do
On se restaure de bouffe super cool

Epoque du vide et du rien
Ere de la connerie indicible
En vous rien de bien
Vous êtes si destructibles…..

[Gaston Kwizera]

Un paysage artificiel
Planté sur le bitume
Des tours violant le ciel
S’alignent une à une…

yeah !

Epoque du vide et du rien
Ere de la connerie indicible
En vous rien de bien
Vous êtes si destructibles…..

par contre ça j'aime moins...
le vide et le rien, c'est pas d'époque, c'est de tout temps
"ere de la connerie indicible" : elle n'a jamais été autant dicible cette connerie,, chacun crie la sienne au coin de la rue
"en vous rien de bien" : j'aurais dit le contraire, "en vous encore trop de bien"

mais j'ai peut être tort,
Kwiz'

[Eden]

globalement d'accord avec Kwiz'

[Henri.]

salutaire de saisir ces thèmes
merci de le faire
j'aime moins la dernière strophe quoique j'aime le dernier vers !
amicalement,
Henri

[Alain31]

La dernière strophe ?
La plus belle, le coup de grâce !

Eh, oui, ça fait mal où on touche.