hey, j'ecris sur un clavier qwerty, moi!!!!!!!!!!!!! chuis pas en france, chuis meme pas sur terre!!!!!!!!!!!!!!!!!
38 replies to this topic
#32
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- TLPsien
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Posted 24 August 2004 - 01:39 PM
Bonjour tout le monde...
Je suis arrive depuis peu sur ce site... Je tiens tout d abord a vous signaler que je suis actuellement en Allemagne et qu il n existe malheureusement ni apostrophe , ni accents sur les claviers d outre Rhin. Je vous prie donc d accepter mes plus plates excuses ( Surtout G. qui me semble tres tatillon et parfois meme manque d humilite ).
Je me presente donc , Thomas Blangy , 19 ans , j habite en Picardie... enfin quelques jours par an uniquement car je suis interne en classe preparatoire HEC a Paris ( lycee Stanislas ). Je joue au golf depuis 4 ans , j aime la poésie , plus particulièrement celle du XIX eme , et surtout Baudelaire... Ce n est pas tres rare , je sais , je lui voue une certaine adoration tant sur son style que sur le fond de ses oeuvres.
Je ne suis pas marié , je n ai pas d enfants...
Si j etais un heros d oeuvre , je pense que je ressemblerais plutot a un Rastignac , ou a un Lucien de Rubempre , l avenir me le dira.
J ecris des poemes depuis un peu moins d un an , et je regrette enormement d etre arrive dans une periode de trouble. Ceci dit , je trouve ce concept tres interressant , meme les commentaires sont rares...
Amicalement.
Je suis arrive depuis peu sur ce site... Je tiens tout d abord a vous signaler que je suis actuellement en Allemagne et qu il n existe malheureusement ni apostrophe , ni accents sur les claviers d outre Rhin. Je vous prie donc d accepter mes plus plates excuses ( Surtout G. qui me semble tres tatillon et parfois meme manque d humilite ).
Je me presente donc , Thomas Blangy , 19 ans , j habite en Picardie... enfin quelques jours par an uniquement car je suis interne en classe preparatoire HEC a Paris ( lycee Stanislas ). Je joue au golf depuis 4 ans , j aime la poésie , plus particulièrement celle du XIX eme , et surtout Baudelaire... Ce n est pas tres rare , je sais , je lui voue une certaine adoration tant sur son style que sur le fond de ses oeuvres.
Je ne suis pas marié , je n ai pas d enfants...
Si j etais un heros d oeuvre , je pense que je ressemblerais plutot a un Rastignac , ou a un Lucien de Rubempre , l avenir me le dira.
J ecris des poemes depuis un peu moins d un an , et je regrette enormement d etre arrive dans une periode de trouble. Ceci dit , je trouve ce concept tres interressant , meme les commentaires sont rares...
Amicalement.
#33
-
- TLPsien
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Posted 24 August 2004 - 02:34 PM
QUOTE
Si j etais un heros d oeuvre , je pense que je ressemblerais plutot a un Rastignac , ou a un Lucien de Rubempre
Tu remplaces tes héros par mon pseudo et je te donne d'élogieux commentaires.
QUOTE
je regrette enormement d etre arrive dans une periode de trouble
Il n'y a aucun trouble, je ne vois rien d'extraordinaire.
#34
Caliban
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- TLPsien
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Caliban
- Location:Paris
- Interests:Le grand Hoche-sa-Poire
Posted 24 August 2004 - 02:51 PM
Bonjour, Je suis Caliban, une prémonition du vieux Guillaume Hoche-sa-poire, comme dit quelque part Allais. Le fils de la sorcière Sycorax.
Je n’ai pas toujours été Caliban. Jadis je me croyais Brutus, alors que j’aurais pu au prix de quelque effort être un Coriolan passable.
Un jour les courants de la vie m’ont échoué sur l’île de Boriquén, voisine de celle de Sycorax. La douceur de l’Alizé a dissipé les brumes de mon entendement et découvert un spectacle navrant : Le pseudo Brutus n’avait été qu’un Hamlet lamentable dont la procrastination sans terme l’avait vieilli en un Lear inconséquent.
Hélas, Lear avait recouvert raison trop tard. Ophelie et Cordelia étaient morte toutes deux.
Il n’est de pire douleur que de se savoir la cause de son malheur. Lear ne put y survivre. Lear expira pour renaître Caliban, sous le signe d’une lune d'Uranus.
Au sauvage et lunatique que je suis, il est un débat qui m’échappe.
Certain se demandent si Corneille ne se cache pas sous le masque de Molière ?
D’autre affirment que c'est Bacon qui a écrit Hamlet et qu'en fait, Shakespeare, c'était Bacon!
D’autres encore savent que Suhali fait écrire ses textes par un nègre que l'on ne connait même pas. Il doit s'agir d'une personne obligée à tant de prudence qu'elle ne peut se permettre de publier sous un pseudonyme propre et est contrainte à louer les services de la propriétaire de "Suhali".
J’avoue ne rien y comprendre. D’esprit limité, je ne sais pas imaginer au delà du virtuel.
J’ai trop peur de casser le miroir pour oser aller voir de l’autre côté du miroir.
Je n’ai pas toujours été Caliban. Jadis je me croyais Brutus, alors que j’aurais pu au prix de quelque effort être un Coriolan passable.
Un jour les courants de la vie m’ont échoué sur l’île de Boriquén, voisine de celle de Sycorax. La douceur de l’Alizé a dissipé les brumes de mon entendement et découvert un spectacle navrant : Le pseudo Brutus n’avait été qu’un Hamlet lamentable dont la procrastination sans terme l’avait vieilli en un Lear inconséquent.
Hélas, Lear avait recouvert raison trop tard. Ophelie et Cordelia étaient morte toutes deux.
Il n’est de pire douleur que de se savoir la cause de son malheur. Lear ne put y survivre. Lear expira pour renaître Caliban, sous le signe d’une lune d'Uranus.
Au sauvage et lunatique que je suis, il est un débat qui m’échappe.
Certain se demandent si Corneille ne se cache pas sous le masque de Molière ?
D’autre affirment que c'est Bacon qui a écrit Hamlet et qu'en fait, Shakespeare, c'était Bacon!
D’autres encore savent que Suhali fait écrire ses textes par un nègre que l'on ne connait même pas. Il doit s'agir d'une personne obligée à tant de prudence qu'elle ne peut se permettre de publier sous un pseudonyme propre et est contrainte à louer les services de la propriétaire de "Suhali".
J’avoue ne rien y comprendre. D’esprit limité, je ne sais pas imaginer au delà du virtuel.
J’ai trop peur de casser le miroir pour oser aller voir de l’autre côté du miroir.
#35
ALTAR
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- TLPsien
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Posted 24 August 2004 - 02:54 PM
QUOTE(Caliban)
Un jour les courants de la vie m’ont échoué sur l’île de Boriquén, voisine de celle de Sycorax. La douceur de l’Alizé a dissipé les brumes de mon entendement et découvert un spectacle navrant :
"O, brave new world"....
#37
edgar_allan_fred
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- TLPsien
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- Location:Nullepart ville, Interzone
Posted 21 October 2004 - 01:05 AM
Extraits des mémoires d'Edgar_allan_fred
En 1913 j'eus été grand.
j'ai valsé dans les Porte-bouteilles ! Des travaux d'assemblages d'or en barre d'ordures et d'étoiles en fontaines ont fait dire aux critiques que j'étais un génie incompris 50 ans après ma mort."Du signe en forme d'étoile sur la tête d'une rose : new-yorkais en art français, en amour. un petit nombre chaque année sont choisis par les critiques mais, de ce nombre la postérité n'en a cure .y a du monde qui pisse dans les fontaines toutes fausses d'ailleurs. Quand à moi je pisse du haut d'un tabouret perché sur le lion de la place Denfert Rocherau, c'est de ce point de vue que je veux établir le nouveau siècle remplie de morceaux des morts du passé... Si les morts décidaient de partir en guerre contre les vivants, nous seriont vite dépassés par le nombre.
boutades, pour les uns, coups de génies pour les autres, à vous de voir. Faut-il chier dans un tuperwar pour devenir un génie, Ou rater une toile et l'appeler la Joconde ?
[...]
Quand à Marcel, Il fut executé (en place publique) par un menuisier et son corps découpé en morceaux de 20 cm², emballés dans des toiles cirés, on parle de hapenning pour désigner cette forme de manifestation.
citation du dit menuisier :
"ai tout enlevé, on fait d'New York un feu de cheminée." le mol'obj (simili objet, moulé d'après l'original, dans une texture proche de la guimauve). l'individu (femelle) autour de l'objet, contemplé par le public, devra montrer tout les signes de la jouissance malgré la consistance du dit objet : l'oclappereadthson-made.
[...]
"l'or mou s'écoule lentement entre les doigts même"
Cette phrase-made, avait besoin d'un titre afin d'interpeler le grand public, à tel point que ça ne s'appelait plus "des champs subsiste l'unique richesse de l'humanité" mais : "ma soeur pl'heureuse".
Un jour j'eus idée de fixer une roue de bicyclette sur un tas d'ordures, la roue n'a pas tenue, avec Marcel on a rit et on en a plus parlé."
[...]
Marcel Duchamp : "c'est que le choix de ces ready-mades ne me fut jamais dicté par quelque délectation de cuir ou de latex mais plutôt par un hasard dirigé. C'était un gadget pueril, et c'est devenu marbre éternel"
[...]
La première idée qui m'est venue fut de naitre ensuite toute les autres furent publiées en recueils manufacturés dans une esthétique gothique proche de Jean Pucelle. A nous deux, Marcel et moi, nous constituions presque un mouvement, beaucoup nous emboitère le pas, comme venait de le faire Breton en créant le groupe des surréalistes.
[...]
"C'était une fantaisie, car en soit une 'oeuvre d'art' n'existe pas, c'est juste une fantaisie". A travers ce propos, Marcel Duchamp nous montre qu'il n'est pas subversif pour lui même, mais pour ceux qui le pense comme un artiste subversif, comme l'aurait fait un titre; mais au delà son oeuvre était destinée à emporter l'esprit du spectateur vers d'autres régions. Il est un Je, un Je de 40 mètre de haut en marbre de pharos. C'est à cet instant que les deux compères composent une plaisanterie très osée sur la Joconde, ils décidèrent de dessiner un godemichet entre les mains de la dame, une moustache et une barbiche sur son visage lisse (hommage caché à Don Quichotte), Et ils inscrivirent L.H.O.O.Q sous le tableau (Elle a chaud au cul). Malheureusement le geste artistique fut découvert par un gardien. Les autorités du musée décidèrent de faire croire à un vol, la toile fut repeinte par un faussaire aux doigt de fées. Quelques semaines plus tard, on fit mine d'avoir retrouvé la toile... Vous l'aurez compris, le tableau le plus célèbre du monde, adulé par tout les touristes, est en fait un faux !
[...]
"le Rrose Sélavyst est né de la révolution", ces paroles de Staline, lors du 10e congrès de l'art révolutionnaire à moscow en 1931, montrent combien Duchamp fut récupéré et détourné à travers le monde, même par les pires dictatures de la terre. Rrose sélavyst fut un pseudo mouvement d'avant garde qui recyclait les idées de Duchamp pour servir le parti. Le public russe n'y voyait que du feu puisqu'il ne connaissait pas Marcel.
[...]
Rrose Sélavy altière, surprise par mes Ready made, repris son patronyme de Duchamp et décida d'arrêter de créer : "Je voulais en finir avec l'envie de créer des oeuvres d'art.". . mes ready-mades contre Duchsont (le sosi russe de Marcel Duchamp) furent interdit par les gouvernements américain et européens, des 1920am, afin d'éviter un accident diplomatique. Duchamp devint l'initiale d'un mot : Art. Je m'avisai d'ailleurs volontairement de ne pas lui faire de l'ombre.
[...]
Cette "French Window ready- Bicyclette 1913" et " ma belle, Cette petite cage d'aspect confortable", devinrent des exemples du ready-made, bien que Duchamp n'en fut pas le créateur. C'est à cette époque que je connut mon heure de gloire, celà prouve que le génie est souvent reconnu, qu'il n'a rien d'unique et qu'il est aussi mal compris.
[...] La réplique des chaussures readyie Bazar réalisée par le art museum of philadelphia, me fit comprendre que la rareté engendre la valeur [...] je décidai donc de limiter la production de mes ready mades . Il y avait des répliques de la fontaine de Duchamp partout, à Paris la municipalité avait fait faire une réplique géante, qu'elle avait placé sur le trocadero . J'aimais l'idée d'avoir une roue de bicyclette dans mon atelier. J'aimais la fontaine de Duchamp mais, j'était contre toute ces répliques dans les musées. Aujourd'hui ça me fait penser à ces posters reproduisant les tableaux de maîtres. quand à Duchamp, il signait allègrement les répliques de ses fontaines. En 69 Amstrong, laissa une de ces répliques sur la Lune...
[...]
"les L dans contamination" était le genre d'oeuvre, de ma periode de colaboration avec Picabia. Lui et moi, créâmes le mouvement des nepectateurs ( spectateurs qui nient la réalité accepté par les masses); cette idée de rejet de la réalité imposé par le système, fut détourné par les surrealistes. L'idée que les nepectateurs ne furent qu'un ready made qui servit de base à la création du mouvement surréaliste me fait aujourd'hui sourire plus encore.
à ce jour plus aucun ready-made ne me vint à l'esprit.
[...]
Une dernière fois je rappelle le discours d'égomanique : Il faut voir les nepectateurs comme base importante de tout les mouvements d'avant garde du vingtième siècle, avec le sous-titre : "Poils et coups de pieds" en Citations de Duchamp, avec "ils sont mort et ne peuvent l'assumer", "Je ne l'apppelais pas Dieu mais vieux con", "les muets pourraient en parler et dire quelque chose" tout les ready mades aidés furent détruient par des groupes terroristes, la fontaine du trocaderro et tout ceux entreposés dans les musées, il n'y eut aucun morts. Et des Jeunes Marcels Duchamps de pacotilles voulurent tuer le père à la suite de notre mouvement,ils n'y arrivèrent jamais. Leur but était de passer à la postérité. Les nepectateurs niaient totalement ce genre de but. Ils ont transformé l'histoire à son insu.
[...]
Duchamp du signe (ou la mort de l'artiste ???)
Rrose résidait rue Saint-Duchamp, dans une maison où toutes les portes possédaient un Juda. Elle s'y est assignée à résidance et destinée à prendre la température du marbre.C'est à cette époque qu'elle pronnonça selon les psécialistes la phrase fameuse :"une consonne ne sonne pas sans voyelle" ce dont je ne me souviens pas. Pas évident pour moi en 1915, j'achetai plus de readyes (diminutif de ready made) pour mon plaisir personnel et égoïste. Les remarques verbal des jaloux pleuvaient sur Rros, du genre : Tarlouse! Pédale ! C'est combien ? Pour tous les artistes le dénigrement des hommes pour Rros représentent le dénigrement du public pour l'artiste.Rrose était un ready made. Contre les idées courtes et les attaques sporadiques venue de toute part, en 1940, l'esprit rebel est de prendre un nom juif.C'est ce que je fis en 1939, quand je vivais à Berlin. Je n'ai pas trouvé de sens à la bêtise humaine pourtant elle semble s'accomoder de tout les sens. Et tout fait, avec le temps devient explicable pourtant nous devons conclure que la vérité ne se contente pas d'explications qui ne sont que des analyses superficielles et subjectives.
[...] À Voir cette roue tourner dans une quincaillerie, très clairement, j'ai vu mon avenir se dérouler devant mes yeux, le sens de mon existence devenais clair.Quand j'ai déménagé de la cuisine, Oiseau de sucre, pour partir aux États-Unisen, celui ci me demanda de le laisser s'envoler, ce que je fis. Ce fut la dernière fois que je vis le phénix que m'avait offert mon père ... Mais, cet oiseau français est mort "En prévision du bras cassé". (Marcel LLoyds : "les oeuvres ne sont que visuelles, assortient au même moment à une absence totale de comprehension, elles concrétisent l'aboutissement de la pensée humaine qui débouche sur le néant " ). Il a mis une robe pour ça, pour le terminer, Belle Haleine.
[...]
Fresh Widow, Pprononcée de tout son poids fut très apaisante, très réconfortante; pour Baptismon premier c'était une ouverture.
[...]
Il n'est rien d'existant aujourd'hui qui ne me plaise ou qui ne me tente, sauf complestement une drogu-mLe qui provoque une thermaccoutumance et une jeapparition. Je voulais protéger les junkies de New york dès 1921, malheureuseument, ils disparurent du paysage jusqu'aux années 50, moment où je conseillais à Burroughs d'écrire un livre dont j'avais échafaudé la trame : junky.
[...]Une caractéristique, une pelle à neige sur laquelle j'écrivis: (In advance of : Tristan). là probablement tout les musées du monde l'aurait acceptée contre les toiles les plus chères de leur collection. A la rédaction d'un grand journal il a été dit que c'était à Paris qu'est né l'art conceptuel, hors l'art conceptuel est né avec l'homme.[...] même avions déjà manifesté en Amérique notre sympathie pour les français comme Sade. "original 001" est un chromo portant fontaine, regardez 10 secondes et seulement plus tard, beaucoup plus tard(une demi heure), l'image s'affiche devant vos yeux. Quand des gens épileptiques regardent ce chromo Ils ont une image déceptive qui apparait, l'instantané du moment de leur naissance.
[...] et je remplace la notion de visuel par la notion de conceptuel qui [...]
Une autre forme de ready made c'est la minijupe et quand on la soulève, on H.O.O.Q (19198 x 5 pouces)
Il était écrit bon marché au dos de "Ce modèle réduit d'une fenêtre à la française Why not sneeze .[...] Je trouvais très curieux de voir les critiques s'époumoner en criant que le XXIe siècle serait iconoclaste ou ne serait pas. L'original sneezy Rrose Ontego made/dadaïsme , bêcheuse par une désappointante hilarité : Rrose Sélavy ça ne sonne pas juif.
"J'ai voulu changer d'identité et j'ai eu même pas un ready-made.
[...]
une inscription sur le porte-bouteilles "is où le mouvemeninattendu.." dont j'exigeai qu'Hippolyte s'en fasse un credo pour de futurs Entretiens.
[...]
" En 1919, j'étai qui ? "
De nouveau artiste que toutes routines quotidiennes tuent. une Pardouble : comme un ready-made transmet l'image première de son existence et l'image voulu par l'artiste; Nomau en fait à ce moment était un nom plaisant suffisament exotique pour passer pour un étranger - et de la regarder simplement dans les yeux - et de joindre à la joie de cet instant le mouvement de la roue, comme un antidote au non sens de la vie. lais de mouvement sensuel plus vrai que les habituels ready-mades commerciaux .
[...]
Duchamp, vers 1920, Marcel , s'était joint au groupe no futur autour d'André Broken . leur credo était :
"Cette Joconde comme moustache et bouc est une combinaison morceaux de sucre sont faits de Dadas, je veux dire le d', au lieu de d ".
Faut-il pour autant en conclurécrire que pour l'artiste, le génie se doit d'être subverssif ? La création ne peut elle pas s'établir sur autre chose que la mort des anciens ? j'aime chaque artiste pour la par d'originalité qu'il apporte à l'art; j'adore William s. Burroughs pour l'invention de son coupomètre que tout le monde connait.
[...]
La petite quinquaillerie de la rue cit-git-le-mort à Paris, où le mouvement de la roue de bicyclette avait débuté en 1916, existe toujours et si vous vous y rendez vous verrez que la roue tourne encore.
La Roue de Bicyclette est sur son contoir, elle tourne depuis lontemps, pourtant pas une réaction de la part des habitués, juste des non-reactions d'indifférence; ici vous trouverez les pissotières à caisson Resplà (du nom du grand inventeur des assiettes sans fond ); tous les tubes ready-fussen, tourner, utilisés par soeur Emanuelle ne sont que des pâles copies des Ready Mades Duchampiens. Ainsi Pelipe starkos, que tout le monde adulle comme étant le plus grand designer grec (voir du monde) n'est qu'un sous produit Duchampien.(Marcel Duchamp : "les artistes sont des produits de consommation de masse" ).
[...]
"J'ai pensé : ont est pas bien là à la fraiche, détendu du gland", ces parôles atribuées à Tristan Tzara pendant l'entre deux guerre sont en fait l'oeuvre de Duchamp. Ce choix de la parôle tournée en slogan peut être atribué historiquement à Marcel Duchamp, bien que j'ai été le premier à dire lors de la première réunion des nepectateurs : "j'ai avalé un fameux demi sourire pour rectifier le monde". L'osigne (l'organisation des singes généreux) était fondée. "Fresh Widow" (Veuve impudente), calembourt Dada, faisait référence à Rrose Selavy et à la mort symbolique de Marcel Duchamp. Tout d'un coup le verbe justifiait un acte créateur spontané, et lui donnait un sens superieur qui dégage l'oeuvre de la mystique habituelle qui l'entoure. Les spécialistes appellent celà une roduction. L'idée essentiel qui permet la création des ready-mades est une inscription qui confirme le détournement de l'objet de son usage habituel. Lors des evenements que j'ai lancé en mai 68 avec quelques amis et qui n'était à l'origine qu'une blague estudiantine, notre but etait de détourner l'Hôtel-de-Ville pour en faire une oeuvre d'art. L'idée entrée dans l'exécution d'une phrase que nous éllaborâmes en 1 mois, et la j'inscrivais sur le pas de l'hotel de ville de Paris : "la république n'est pas une marchandise, ceci n'est pas un hotel de ville". Malheureusement pendant la confusion des évenements, des employés du museum of art de Philadelphie ont découpé la marche où était inscrite la fameuse phrase, le marbre est aujourd'hui encore visible au musée. Et de nos jour la phrase a été recyclée maintes et maintes fois. Des copies en polystyrène compensées furent réalisées par l'artiste espagnol Vassez dès 1969, qui abandonna ses activités de peinture après cet acte.
[...]
"Why not idée: pourquoi ne pas changer de sexe!"; Peutre une simple phrase lancée en l'air comme ça. A ce moment là je n'avait pas la prétention de créer. Mais Duchamp m'a regardé avec ce fameux sourire en coin qui le caractérisait, alors de là est venu le nom de Rrose Sélavy... En fait Duchamp eut même l'idée d'une operation avec anesthésie ect... Mais les progrès de la science n'étaiens pas encore suffisant à l'époque. Le corps de l'artiste était devenu Ready made, créant ainsi le body art. Regarder le mouvement de la roue de bicyclette a, à cette époque, déclanché bon nombre de mouvement qui se prétendent originaux, comme le mouvement des horlogers Suisses, qui ont utilisé le mouvement de la roue pour créer les mécaniques de leurs montres.
[...]
Porte-Bouteilles 1914, est plutôt un sechoir à bouteilles qui permet de secher les bouteilles vides avant de les réutiliser, on l'appelait également la tour de Babel.
[...]
Reste la grande question : Sélavy?
[...]
1921 : "Duchamp du signe", avont remplacé les vitres de Notre Dame par des carreaux de diamant purs sur lesquels j'écrivis quatre vers : - l'art c'est le bluff, alors le bluff c'est la vérité
- les vrais artistes sont contre l'art
- le plus grand mensonge de ce monde est la vérité
- j'ai avalé un fameux demi sourire pour rectifier le monde
[...]
Début d'une lettre adressée à Duchamp :
"Marcel, j'enarme les petits jeunes. Ho oui ils nous tirerons dessus des boulets d'incompréhensions, mais c'est comme ça. Il faut être incompris, pour esperer être compris un jour"[...]
C'est à cette époque que débuta la réalisation d'objets aussi déconcertants que Fresh Widow, de bon ou mauvais goûts. Quand à l'europe elle inventa1939 .
[...]
Rrose ils l'ont découverte morte et enterrée à la va vite dans la fosse commune du père Lachaise.
[...]
"En 1914, tristan créa sa prore roue appellée "Roue de Tzara",
[...]
En 1913 j'eus été grand.
j'ai valsé dans les Porte-bouteilles ! Des travaux d'assemblages d'or en barre d'ordures et d'étoiles en fontaines ont fait dire aux critiques que j'étais un génie incompris 50 ans après ma mort."Du signe en forme d'étoile sur la tête d'une rose : new-yorkais en art français, en amour. un petit nombre chaque année sont choisis par les critiques mais, de ce nombre la postérité n'en a cure .y a du monde qui pisse dans les fontaines toutes fausses d'ailleurs. Quand à moi je pisse du haut d'un tabouret perché sur le lion de la place Denfert Rocherau, c'est de ce point de vue que je veux établir le nouveau siècle remplie de morceaux des morts du passé... Si les morts décidaient de partir en guerre contre les vivants, nous seriont vite dépassés par le nombre.
boutades, pour les uns, coups de génies pour les autres, à vous de voir. Faut-il chier dans un tuperwar pour devenir un génie, Ou rater une toile et l'appeler la Joconde ?
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Quand à Marcel, Il fut executé (en place publique) par un menuisier et son corps découpé en morceaux de 20 cm², emballés dans des toiles cirés, on parle de hapenning pour désigner cette forme de manifestation.
citation du dit menuisier :
"ai tout enlevé, on fait d'New York un feu de cheminée." le mol'obj (simili objet, moulé d'après l'original, dans une texture proche de la guimauve). l'individu (femelle) autour de l'objet, contemplé par le public, devra montrer tout les signes de la jouissance malgré la consistance du dit objet : l'oclappereadthson-made.
[...]
"l'or mou s'écoule lentement entre les doigts même"
Cette phrase-made, avait besoin d'un titre afin d'interpeler le grand public, à tel point que ça ne s'appelait plus "des champs subsiste l'unique richesse de l'humanité" mais : "ma soeur pl'heureuse".
Un jour j'eus idée de fixer une roue de bicyclette sur un tas d'ordures, la roue n'a pas tenue, avec Marcel on a rit et on en a plus parlé."
[...]
Marcel Duchamp : "c'est que le choix de ces ready-mades ne me fut jamais dicté par quelque délectation de cuir ou de latex mais plutôt par un hasard dirigé. C'était un gadget pueril, et c'est devenu marbre éternel"
[...]
La première idée qui m'est venue fut de naitre ensuite toute les autres furent publiées en recueils manufacturés dans une esthétique gothique proche de Jean Pucelle. A nous deux, Marcel et moi, nous constituions presque un mouvement, beaucoup nous emboitère le pas, comme venait de le faire Breton en créant le groupe des surréalistes.
[...]
"C'était une fantaisie, car en soit une 'oeuvre d'art' n'existe pas, c'est juste une fantaisie". A travers ce propos, Marcel Duchamp nous montre qu'il n'est pas subversif pour lui même, mais pour ceux qui le pense comme un artiste subversif, comme l'aurait fait un titre; mais au delà son oeuvre était destinée à emporter l'esprit du spectateur vers d'autres régions. Il est un Je, un Je de 40 mètre de haut en marbre de pharos. C'est à cet instant que les deux compères composent une plaisanterie très osée sur la Joconde, ils décidèrent de dessiner un godemichet entre les mains de la dame, une moustache et une barbiche sur son visage lisse (hommage caché à Don Quichotte), Et ils inscrivirent L.H.O.O.Q sous le tableau (Elle a chaud au cul). Malheureusement le geste artistique fut découvert par un gardien. Les autorités du musée décidèrent de faire croire à un vol, la toile fut repeinte par un faussaire aux doigt de fées. Quelques semaines plus tard, on fit mine d'avoir retrouvé la toile... Vous l'aurez compris, le tableau le plus célèbre du monde, adulé par tout les touristes, est en fait un faux !
[...]
"le Rrose Sélavyst est né de la révolution", ces paroles de Staline, lors du 10e congrès de l'art révolutionnaire à moscow en 1931, montrent combien Duchamp fut récupéré et détourné à travers le monde, même par les pires dictatures de la terre. Rrose sélavyst fut un pseudo mouvement d'avant garde qui recyclait les idées de Duchamp pour servir le parti. Le public russe n'y voyait que du feu puisqu'il ne connaissait pas Marcel.
[...]
Rrose Sélavy altière, surprise par mes Ready made, repris son patronyme de Duchamp et décida d'arrêter de créer : "Je voulais en finir avec l'envie de créer des oeuvres d'art.". . mes ready-mades contre Duchsont (le sosi russe de Marcel Duchamp) furent interdit par les gouvernements américain et européens, des 1920am, afin d'éviter un accident diplomatique. Duchamp devint l'initiale d'un mot : Art. Je m'avisai d'ailleurs volontairement de ne pas lui faire de l'ombre.
[...]
Cette "French Window ready- Bicyclette 1913" et " ma belle, Cette petite cage d'aspect confortable", devinrent des exemples du ready-made, bien que Duchamp n'en fut pas le créateur. C'est à cette époque que je connut mon heure de gloire, celà prouve que le génie est souvent reconnu, qu'il n'a rien d'unique et qu'il est aussi mal compris.
[...] La réplique des chaussures readyie Bazar réalisée par le art museum of philadelphia, me fit comprendre que la rareté engendre la valeur [...] je décidai donc de limiter la production de mes ready mades . Il y avait des répliques de la fontaine de Duchamp partout, à Paris la municipalité avait fait faire une réplique géante, qu'elle avait placé sur le trocadero . J'aimais l'idée d'avoir une roue de bicyclette dans mon atelier. J'aimais la fontaine de Duchamp mais, j'était contre toute ces répliques dans les musées. Aujourd'hui ça me fait penser à ces posters reproduisant les tableaux de maîtres. quand à Duchamp, il signait allègrement les répliques de ses fontaines. En 69 Amstrong, laissa une de ces répliques sur la Lune...
[...]
"les L dans contamination" était le genre d'oeuvre, de ma periode de colaboration avec Picabia. Lui et moi, créâmes le mouvement des nepectateurs ( spectateurs qui nient la réalité accepté par les masses); cette idée de rejet de la réalité imposé par le système, fut détourné par les surrealistes. L'idée que les nepectateurs ne furent qu'un ready made qui servit de base à la création du mouvement surréaliste me fait aujourd'hui sourire plus encore.
à ce jour plus aucun ready-made ne me vint à l'esprit.
[...]
Une dernière fois je rappelle le discours d'égomanique : Il faut voir les nepectateurs comme base importante de tout les mouvements d'avant garde du vingtième siècle, avec le sous-titre : "Poils et coups de pieds" en Citations de Duchamp, avec "ils sont mort et ne peuvent l'assumer", "Je ne l'apppelais pas Dieu mais vieux con", "les muets pourraient en parler et dire quelque chose" tout les ready mades aidés furent détruient par des groupes terroristes, la fontaine du trocaderro et tout ceux entreposés dans les musées, il n'y eut aucun morts. Et des Jeunes Marcels Duchamps de pacotilles voulurent tuer le père à la suite de notre mouvement,ils n'y arrivèrent jamais. Leur but était de passer à la postérité. Les nepectateurs niaient totalement ce genre de but. Ils ont transformé l'histoire à son insu.
[...]
Duchamp du signe (ou la mort de l'artiste ???)
Rrose résidait rue Saint-Duchamp, dans une maison où toutes les portes possédaient un Juda. Elle s'y est assignée à résidance et destinée à prendre la température du marbre.C'est à cette époque qu'elle pronnonça selon les psécialistes la phrase fameuse :"une consonne ne sonne pas sans voyelle" ce dont je ne me souviens pas. Pas évident pour moi en 1915, j'achetai plus de readyes (diminutif de ready made) pour mon plaisir personnel et égoïste. Les remarques verbal des jaloux pleuvaient sur Rros, du genre : Tarlouse! Pédale ! C'est combien ? Pour tous les artistes le dénigrement des hommes pour Rros représentent le dénigrement du public pour l'artiste.Rrose était un ready made. Contre les idées courtes et les attaques sporadiques venue de toute part, en 1940, l'esprit rebel est de prendre un nom juif.C'est ce que je fis en 1939, quand je vivais à Berlin. Je n'ai pas trouvé de sens à la bêtise humaine pourtant elle semble s'accomoder de tout les sens. Et tout fait, avec le temps devient explicable pourtant nous devons conclure que la vérité ne se contente pas d'explications qui ne sont que des analyses superficielles et subjectives.
[...] À Voir cette roue tourner dans une quincaillerie, très clairement, j'ai vu mon avenir se dérouler devant mes yeux, le sens de mon existence devenais clair.Quand j'ai déménagé de la cuisine, Oiseau de sucre, pour partir aux États-Unisen, celui ci me demanda de le laisser s'envoler, ce que je fis. Ce fut la dernière fois que je vis le phénix que m'avait offert mon père ... Mais, cet oiseau français est mort "En prévision du bras cassé". (Marcel LLoyds : "les oeuvres ne sont que visuelles, assortient au même moment à une absence totale de comprehension, elles concrétisent l'aboutissement de la pensée humaine qui débouche sur le néant " ). Il a mis une robe pour ça, pour le terminer, Belle Haleine.
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Fresh Widow, Pprononcée de tout son poids fut très apaisante, très réconfortante; pour Baptismon premier c'était une ouverture.
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Il n'est rien d'existant aujourd'hui qui ne me plaise ou qui ne me tente, sauf complestement une drogu-mLe qui provoque une thermaccoutumance et une jeapparition. Je voulais protéger les junkies de New york dès 1921, malheureuseument, ils disparurent du paysage jusqu'aux années 50, moment où je conseillais à Burroughs d'écrire un livre dont j'avais échafaudé la trame : junky.
[...]Une caractéristique, une pelle à neige sur laquelle j'écrivis: (In advance of : Tristan). là probablement tout les musées du monde l'aurait acceptée contre les toiles les plus chères de leur collection. A la rédaction d'un grand journal il a été dit que c'était à Paris qu'est né l'art conceptuel, hors l'art conceptuel est né avec l'homme.[...] même avions déjà manifesté en Amérique notre sympathie pour les français comme Sade. "original 001" est un chromo portant fontaine, regardez 10 secondes et seulement plus tard, beaucoup plus tard(une demi heure), l'image s'affiche devant vos yeux. Quand des gens épileptiques regardent ce chromo Ils ont une image déceptive qui apparait, l'instantané du moment de leur naissance.
[...] et je remplace la notion de visuel par la notion de conceptuel qui [...]
Une autre forme de ready made c'est la minijupe et quand on la soulève, on H.O.O.Q (19198 x 5 pouces)
Il était écrit bon marché au dos de "Ce modèle réduit d'une fenêtre à la française Why not sneeze .[...] Je trouvais très curieux de voir les critiques s'époumoner en criant que le XXIe siècle serait iconoclaste ou ne serait pas. L'original sneezy Rrose Ontego made/dadaïsme , bêcheuse par une désappointante hilarité : Rrose Sélavy ça ne sonne pas juif.
"J'ai voulu changer d'identité et j'ai eu même pas un ready-made.
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une inscription sur le porte-bouteilles "is où le mouvemeninattendu.." dont j'exigeai qu'Hippolyte s'en fasse un credo pour de futurs Entretiens.
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" En 1919, j'étai qui ? "
De nouveau artiste que toutes routines quotidiennes tuent. une Pardouble : comme un ready-made transmet l'image première de son existence et l'image voulu par l'artiste; Nomau en fait à ce moment était un nom plaisant suffisament exotique pour passer pour un étranger - et de la regarder simplement dans les yeux - et de joindre à la joie de cet instant le mouvement de la roue, comme un antidote au non sens de la vie. lais de mouvement sensuel plus vrai que les habituels ready-mades commerciaux .
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Duchamp, vers 1920, Marcel , s'était joint au groupe no futur autour d'André Broken . leur credo était :
"Cette Joconde comme moustache et bouc est une combinaison morceaux de sucre sont faits de Dadas, je veux dire le d', au lieu de d ".
Faut-il pour autant en conclurécrire que pour l'artiste, le génie se doit d'être subverssif ? La création ne peut elle pas s'établir sur autre chose que la mort des anciens ? j'aime chaque artiste pour la par d'originalité qu'il apporte à l'art; j'adore William s. Burroughs pour l'invention de son coupomètre que tout le monde connait.
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La petite quinquaillerie de la rue cit-git-le-mort à Paris, où le mouvement de la roue de bicyclette avait débuté en 1916, existe toujours et si vous vous y rendez vous verrez que la roue tourne encore.
La Roue de Bicyclette est sur son contoir, elle tourne depuis lontemps, pourtant pas une réaction de la part des habitués, juste des non-reactions d'indifférence; ici vous trouverez les pissotières à caisson Resplà (du nom du grand inventeur des assiettes sans fond ); tous les tubes ready-fussen, tourner, utilisés par soeur Emanuelle ne sont que des pâles copies des Ready Mades Duchampiens. Ainsi Pelipe starkos, que tout le monde adulle comme étant le plus grand designer grec (voir du monde) n'est qu'un sous produit Duchampien.(Marcel Duchamp : "les artistes sont des produits de consommation de masse" ).
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"J'ai pensé : ont est pas bien là à la fraiche, détendu du gland", ces parôles atribuées à Tristan Tzara pendant l'entre deux guerre sont en fait l'oeuvre de Duchamp. Ce choix de la parôle tournée en slogan peut être atribué historiquement à Marcel Duchamp, bien que j'ai été le premier à dire lors de la première réunion des nepectateurs : "j'ai avalé un fameux demi sourire pour rectifier le monde". L'osigne (l'organisation des singes généreux) était fondée. "Fresh Widow" (Veuve impudente), calembourt Dada, faisait référence à Rrose Selavy et à la mort symbolique de Marcel Duchamp. Tout d'un coup le verbe justifiait un acte créateur spontané, et lui donnait un sens superieur qui dégage l'oeuvre de la mystique habituelle qui l'entoure. Les spécialistes appellent celà une roduction. L'idée essentiel qui permet la création des ready-mades est une inscription qui confirme le détournement de l'objet de son usage habituel. Lors des evenements que j'ai lancé en mai 68 avec quelques amis et qui n'était à l'origine qu'une blague estudiantine, notre but etait de détourner l'Hôtel-de-Ville pour en faire une oeuvre d'art. L'idée entrée dans l'exécution d'une phrase que nous éllaborâmes en 1 mois, et la j'inscrivais sur le pas de l'hotel de ville de Paris : "la république n'est pas une marchandise, ceci n'est pas un hotel de ville". Malheureusement pendant la confusion des évenements, des employés du museum of art de Philadelphie ont découpé la marche où était inscrite la fameuse phrase, le marbre est aujourd'hui encore visible au musée. Et de nos jour la phrase a été recyclée maintes et maintes fois. Des copies en polystyrène compensées furent réalisées par l'artiste espagnol Vassez dès 1969, qui abandonna ses activités de peinture après cet acte.
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"Why not idée: pourquoi ne pas changer de sexe!"; Peutre une simple phrase lancée en l'air comme ça. A ce moment là je n'avait pas la prétention de créer. Mais Duchamp m'a regardé avec ce fameux sourire en coin qui le caractérisait, alors de là est venu le nom de Rrose Sélavy... En fait Duchamp eut même l'idée d'une operation avec anesthésie ect... Mais les progrès de la science n'étaiens pas encore suffisant à l'époque. Le corps de l'artiste était devenu Ready made, créant ainsi le body art. Regarder le mouvement de la roue de bicyclette a, à cette époque, déclanché bon nombre de mouvement qui se prétendent originaux, comme le mouvement des horlogers Suisses, qui ont utilisé le mouvement de la roue pour créer les mécaniques de leurs montres.
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Porte-Bouteilles 1914, est plutôt un sechoir à bouteilles qui permet de secher les bouteilles vides avant de les réutiliser, on l'appelait également la tour de Babel.
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Reste la grande question : Sélavy?
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1921 : "Duchamp du signe", avont remplacé les vitres de Notre Dame par des carreaux de diamant purs sur lesquels j'écrivis quatre vers : - l'art c'est le bluff, alors le bluff c'est la vérité
- les vrais artistes sont contre l'art
- le plus grand mensonge de ce monde est la vérité
- j'ai avalé un fameux demi sourire pour rectifier le monde
[...]
Début d'une lettre adressée à Duchamp :
"Marcel, j'enarme les petits jeunes. Ho oui ils nous tirerons dessus des boulets d'incompréhensions, mais c'est comme ça. Il faut être incompris, pour esperer être compris un jour"[...]
C'est à cette époque que débuta la réalisation d'objets aussi déconcertants que Fresh Widow, de bon ou mauvais goûts. Quand à l'europe elle inventa1939 .
[...]
Rrose ils l'ont découverte morte et enterrée à la va vite dans la fosse commune du père Lachaise.
[...]
"En 1914, tristan créa sa prore roue appellée "Roue de Tzara",
[...]
#39
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- TLPsien
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Posted 17 August 2005 - 11:54 PM
Bonjour (ou plutôt bonsoir), je suis un petit gars de 28 ans d'origine asiatique. Je suis arrivé en France à l'âge de 3 ans.
Mon pseudonyme est en fait la traduction en français de mon vrai prénom, en gros avec mon nom de famille, ça donne 'Lumière Royale'... Ça peut paraître un peu pompeux, mais j'aime bien la signification.
Mon grand-père a été la première personne à me faire aimer la langue française, j'adore lire et écrire. Je trouve que c'est une langue fascinante, pleine de subtilités. Mon premier poème, j'ai dû l'écrire à l'âge de 16 ans je pense. Ce serait plutôt un poème demandé par mon professeur d'espagnol (donc écrit en espagnol). Mon premier vrai poème, je l'ai écrit à 19 ans quand je suis tombé amoureux pour la première fois. Ces sentiments n'étant pas partagés de la même manière, je me suis résolu à brûler mon cahier de poèmes et à oublier l'écriture.
Un événement récent (heureux puis douloureux) m'a redonné envie d'exprimer mes sentiments par des mots. Je me suis aussi décidé à faire partager avec d'autres personnes qui peuvent se trouver dans le même esprit que le mien et qu'ainsi, les expériences des uns peuvent profiter aux autres.
J'espère qu'on s'entendra bien et que vous êtes arrivés jusqu'à la fin de ce post sans vous être ennuyé
Mon pseudonyme est en fait la traduction en français de mon vrai prénom, en gros avec mon nom de famille, ça donne 'Lumière Royale'... Ça peut paraître un peu pompeux, mais j'aime bien la signification.
Mon grand-père a été la première personne à me faire aimer la langue française, j'adore lire et écrire. Je trouve que c'est une langue fascinante, pleine de subtilités. Mon premier poème, j'ai dû l'écrire à l'âge de 16 ans je pense. Ce serait plutôt un poème demandé par mon professeur d'espagnol (donc écrit en espagnol). Mon premier vrai poème, je l'ai écrit à 19 ans quand je suis tombé amoureux pour la première fois. Ces sentiments n'étant pas partagés de la même manière, je me suis résolu à brûler mon cahier de poèmes et à oublier l'écriture.
Un événement récent (heureux puis douloureux) m'a redonné envie d'exprimer mes sentiments par des mots. Je me suis aussi décidé à faire partager avec d'autres personnes qui peuvent se trouver dans le même esprit que le mien et qu'ainsi, les expériences des uns peuvent profiter aux autres.
J'espère qu'on s'entendra bien et que vous êtes arrivés jusqu'à la fin de ce post sans vous être ennuyé
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