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#278086 Brumes inquiétantes

Posted by P.Yk on 14 December 2005 - 09:30 PM in Salon de publication principal

La poésie n'est pas une succétion de rime mais une succétion de sentiments qui veulent dire une chose venu du coeur du vrai poète mais rappelle toi que nous ne sommes que des cendres, les gens qui comme peut-être toi par exemple sont considérés comme des poètes. Sache que tu as une longue route à faire pour passer d'Apprentis Poète à Maître poète tout comme moi. tongue.gif
Je t'en courage à progresser. rolleyes.gif



#278078 Buvais du bleu...

Posted by P.Yk on 14 December 2005 - 09:21 PM in Salon de publication principal

Ce n'est pas bien de se noter soit même ! tongue.gif
Tu n'as aucun véritable talent tout comme moi, un poète ne triche pas dans la vie.



#278074 RUPTURE

Posted by P.Yk on 14 December 2005 - 09:17 PM in Salon de publication principal

Une poésie sans majuscule au début de tout les vers n'est pas une poésie comme le poète qui n'est pas amoureux et surtout s'il écrit une poésie de rupture, à ne jamais faire ou si tu l'a fait il faut seulement prévenir que tu vas rompre, que cela c'est passé il y a longtemps. Conseil d'un inconnu sans vrai talent.
Amour rime avec poésie, rupture rime avec ignorance et naïveté. Pourquoi rompre ?
Jamais tu ne seras poète tout comme moi si tu continus ainsi.

Ma fleur ? Et l'une de mes poésies.



#278063 Envie de partir

Posted by P.Yk on 14 December 2005 - 08:52 PM in Salon de publication principal

Je n'ai pas fini de lire ta poésie que je me suis dit déjà que le registre soutenu t'étais inconnu. Certaines fautes à corriger. N'écris pas ce que tu penses mais ce que tu serais en mesure de découvrir, ton style serait compatible.
Conseil d'ami.

P.Yk, le non poète

P.S: Ne t'en fais pas, mes poésies ne sont pas de la poésie. ohmy.gif



#278055 Lueure

Posted by P.Yk on 14 December 2005 - 08:09 PM in Salon de publication principal

Sais-tu ce qu'est un alexandrin, un décasyllabe, un octosyllabe...
Une poésie, c'est comme une chanson, ce n'est pas des mots alignés mais tes sentiments retranscris, il faut que tu le sache. Par contre, je donne des conseils aux autres mais si tu lis mes poésies tu ferais de même.
Tu as des idées mais il faut que tu les fredonnes et pas les cracher de tes pensées.
Continu tu es dans la bonne voie.

P.Yk, le non poète.



#278050 LES MOTS FILENT...

Posted by P.Yk on 14 December 2005 - 07:52 PM in Salon de publication principal

Ton style fait trop contemporain, ce n'est pas pour te critiquer car si tu lisais mes poésies tu ferais de même.
Ce-ci dit, tu es bien partis pour être considéré comme un poète !



#278046 Ce qu'est un poète !

Posted by P.Yk on 14 December 2005 - 07:46 PM in Salon de publication principal

Ce qu’est un poète !

Quel est ce grand, profond mystère ?
De celui nommé le poète,
Celui qui n’est que de la chair
Et qui créa la nouvelle ère.

Est-il un homme tout d’abord ?
Aurait-il égaré sa tête ?
Le vaut-il le prix fort de l’or ?
Connaît-il l’avenir, son sort ?

Ah ! Que de stupides questions
Un poète est certes distinct
Des gens fermés dans des pensions
Libre de toutes notations.

Libre de son corps et d’esprit
Il n’est sûrement pas un saint
Il connaît bien la poésie
Mais il a beaucoup de soucis.

C’est une personne damnée,
Son cœur est souvent délaissé,
Le grand amour, il le connaît,
C’est ce qui l’a abandonné.

On n’est pas un poète sans,
(Il y a des facteurs différents)
Mais celui-ci est important:
Connaître l’amour dans son temps.

N’essayez pas de le comprendre,
Il vous semble peut-être tendre,
Mais il n’est que parfaite cendre
Et c’est à vous de les répandre.



#278042 Ma fleur ?

Posted by P.Yk on 14 December 2005 - 07:30 PM in Salon de publication principal

Ma fleur ?

Est-ce que ce jour date de quelques années ?
Ce beau jour qui m’avait fait tellement rêver,
Où j’ai cueillit ma très belle fleur colorée
Et que ma simple existence avait basculé.

Je me rappelle très bien de cette journée,
Cette matinée n’est pas si tant éloigné,
Tout seul, sans rien, perdu dans un immense pré,
Par hasard, sans le vouloir, je l’avais trouvé.

Curieux de nature, je me suis avancé,
La plus belle fleur que je n’avais rencontré
Demeurait sur le sol en train de fredonner
Et moi je n’avais pas cessé de l’admirer.

Ses pétales aux couleurs des saisons d’été,
Fixèrent mon regard sans même le bouger.
Son corps verdâtre flottait au vent qui soufflait
En la faisant danser sur le chant qu’elle chantait.

Je me pencha vers elle et je ne pus noyer
L’envie de la cueillir et de la dérober
A ce grand pâturage qui l’avait créée
Ainsi faisant ce que l’on appelle: un péché.

Pas beaucoup de jours et nuits se sont écoulés
Que la belle fleur avait déjà fané
Et que mon amour pour elle s’est effacé.
Le temps me l’avait emportée à tout jamais.

Je mets en garde les malheureux imprudents
Que le grand amour s’envole à l'égard du temps
Qu’il faut y réfléchir avant de s’engager.
Telle était la fleur et sa grande beauté.


P.Y