Et les chattes cauteleuses
Qui circulent, amoureuses,
Appellent le matou, la brute.
Poète, ne prends pas ton luth !
Aujourd'hui, ta muse est gueuse,
Débraillée, chaude, rugueuse.
Ce qu'elle attend, c'est une lutte,
Un catch furieux et torride
Aux relents bestiaux putrides
Qui vous laissera sur le flanc !
La satisfaction charnelle
Donne une paix éternelle,
Mieux que tes idéaux élans.
Edited by socque, 13 September 2006 - 08:25 PM.