Les flammes qui se consumaient insatiables
Dans leurs tresses incarnates étaient ténues,
Et le feu les tissant en ses braises délectables
Avait ma rougeur, mes sensations, et ma tenue.
Ineffable moment pendu à l'appétence du feu !
Je ne terrerais de l'ire que ma concupiscence,
Et ce qui l'affermirait, je l'offrirais aux voeux
Des flammes qui peignaient leur persévérance.
Indubitable moment rougissant en leur lenteur !
Je n'aurais d'égal que mon ton et l'habitude
Qui faisait son ton au coeur des vraies rougeurs,
Mais je les céderais vieille à l'ire des latitudes,
Et les flammes qui suffoqueraient toutes pâles
Sur les timides braises de ma lente vieillesse,
Je les éteindrais quand l'apparence vespérale
Se pendrait où j'avais cédé ma belle jeunesse.
Vous en auriez que mes cendres, toutes noires,
Où les vents souffleraient leurs longs regrets,
Vous en auriez que vos souvenances au soir,
Quand l'hiver vous surprendrait d'un noir trait,
Mais je revivrais entre vos flammes, si un jour
Vous évoqueriez l'exaltation d'antan où l'ire
Couronnait sa persévérance d'un feu d'amour
Que nulle ne pourrait affermir demain d'un sourire.
Dorothée cochard.
Non à phorest, akli, rabah, kamel, ali, samuel, rosa, yaùina, kahina, mohamed, et le blond piegeur,
le docteur love et leurs complices.
tout simplement moi dorothée cochard par farid khenat et non télématin et mohamed.et si vous voulez les preuves de l'annonce je les publierai
Enregistré le 24 Mai 2006 à 22:09
par 1807657
Oeuvre Originale
Auteur :
Dorothée cochard par farid khenat.
Dans Mes Douces Flammes.
Started by vent, Nov 11 2006 06:23 PM
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