quel tragique ! allez, je vous la donne - c'est Noel.
j'y voyais simplement l'illustration - dans la ligne pointillee - d'une immense gourmandise.
Comme quoi...
Allez, bonnes fetes et faites gaffe a vos foies,
M
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#363769 Bon Appétit !
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on 21 December 2006 - 12:23 AM
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Salon de publication principal
#363698 Si Je Devais Dire.....
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on 20 December 2006 - 05:06 PM
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Salon de publication principal
ciao lacape,
je t'ai suivi jusqu'au contrebas, puis je me suis perdu, comme le discours, et je me suis demande si tu n'avais pas fait expres, sacripan !
heureux de te lire,
Mojo (tres avare de commentaires)
je t'ai suivi jusqu'au contrebas, puis je me suis perdu, comme le discours, et je me suis demande si tu n'avais pas fait expres, sacripan !
heureux de te lire,
Mojo (tres avare de commentaires)
#363697 Bon Appétit !
Posted by
on 20 December 2006 - 05:01 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Alba @ Dec 20 2006, 03:35 PM) <{POST_SNAPBACK}>
qquefois ça peut se résumer à ça
en gouffre
----------
en gouffre
----------
je suis ravi, Alba ! J'en attendais une toute autre interpretation !
Mais je ne vous dirai pas laquelle...
amities siamoises,
M
#363645 Bon Appétit !
Posted by
on 20 December 2006 - 10:49 AM
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faim
-----------------------------
fin
-----------------------------
fin
#363604 Chutes Libres
Posted by
on 20 December 2006 - 02:32 AM
in
Salon de publication principal
Salut Laure,
Merci d'être passée !
Amitiés
Hi Mr Lacape !
Oui ça bouge l'Asie, mais c'est l'hiver, le thermomètre a chuté de 10 degrés en deux jours. Il s'est stabilisé à +20, mais la vie est dure, on va sortir les moufles ! (je rigole, mais je ferai moins le malin dans deux jours en débarquant à Roissy...)
Au plaisir !
Carla,
Merci de ton commentaire amusé... A relire ce texte, j'ai un peu l'impression de m'être pris les pieds dans le tapis, mais si ça vous plaît c'est l'essentiel !
Bises
Mojo
Merci d'être passée !
Amitiés
Hi Mr Lacape !
Oui ça bouge l'Asie, mais c'est l'hiver, le thermomètre a chuté de 10 degrés en deux jours. Il s'est stabilisé à +20, mais la vie est dure, on va sortir les moufles ! (je rigole, mais je ferai moins le malin dans deux jours en débarquant à Roissy...)
Au plaisir !
Carla,
Merci de ton commentaire amusé... A relire ce texte, j'ai un peu l'impression de m'être pris les pieds dans le tapis, mais si ça vous plaît c'est l'essentiel !
Bises
Mojo
#363411 Chutes Libres
Posted by
on 19 December 2006 - 05:38 AM
in
Salon de publication principal
Une cataracte
une catastrophe
Une strophe patraque
Right on track.
Un oubli
Un ebouli
Une glissade
Palissade.
Un coquard
Un car
Un hopital
Sur la route la pluie joue avec le soleil.
une catastrophe
Une strophe patraque
Right on track.
Un oubli
Un ebouli
Une glissade
Palissade.
Un coquard
Un car
Un hopital
Sur la route la pluie joue avec le soleil.
#362653 L'automne M'etonne
Posted by
on 12 December 2006 - 10:06 AM
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Salon de publication principal
La carapace bleue
D’un automne abyssal
Passe sous l’ombre horizontale des aulnes silencieux.
Le jardin timide miaule doucement
Le ruisseau balbutie d’antiques métaphores
Et je doute, soudain, de ce monde de craie.
D’un automne abyssal
Passe sous l’ombre horizontale des aulnes silencieux.
Le jardin timide miaule doucement
Le ruisseau balbutie d’antiques métaphores
Et je doute, soudain, de ce monde de craie.
#361701 Nuit Marabou
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on 06 December 2006 - 11:00 AM
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Salon de publication principal
Citation (lacape @ Dec 6 2006, 10:53 AM) <{POST_SNAPBACK}>
HELLO MOJO !
magnifique ton poème, bourré de pudeur !
amitiés
magnifique ton poème, bourré de pudeur !
amitiés
Salut Lacape,
Merci, le comble de ma pudeur, c'est de très peu me manifester ici ces derniers temps. Mais promis, je vais faire un effort. En attendant, pour ceux qui auraient raté des épisodes, ça se passe ici :
http://www.blogg.org/blog-8969.html
A +++
M
#361699 Nuit Marabou
Posted by
on 06 December 2006 - 10:51 AM
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Salon de publication principal
Sous la nuit marabou
Les étoilent bouent
Et débordent de leur bourse noire
Et emplissent l'air d'un parfum ivoire.
Ah ! Respirer leur poussière immobile
Jouer d'un doigt turbulent
Autour de leur âme atrabile
Et partir au fond de la campagne d'un pas chancelant,
Pas un témoin, ce soir, ne m'aura vu t'aimer.
Les étoilent bouent
Et débordent de leur bourse noire
Et emplissent l'air d'un parfum ivoire.
Ah ! Respirer leur poussière immobile
Jouer d'un doigt turbulent
Autour de leur âme atrabile
Et partir au fond de la campagne d'un pas chancelant,
Pas un témoin, ce soir, ne m'aura vu t'aimer.
#360295 Vioque Paradise
Posted by
on 29 November 2006 - 10:42 AM
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Salon de publication principal
Paradis, dis-moi, Paradis,
Pourquoi ce drôle de nom ?
Toi qui n'est qu'un vieux bonhomme fondant,
Toi qui crache par terre comme un paysan chinois
Toi qui jure par les Dieux les plus improbables
Paradis, dis-moi, Paradis,
Pourquoi passes-tu chaque matin
Devant cette vieille maison de pierres,
Abandonnée en bord de route ?
Qu'as tu perdu dans ses couloirs gris ?
Ton enfance ou un grigri de rebouteux ?
Paradis, dis-moi, Paradis,
Pourquoi ai-je le coeur en vrille
Quand j'aperçois titubante
Ta silhouette en cuir abyssin
précédant de peu tes regards indéfinitifs ?
Paradis, vieille branche, serais-tu moi ?
Pourquoi ce drôle de nom ?
Toi qui n'est qu'un vieux bonhomme fondant,
Toi qui crache par terre comme un paysan chinois
Toi qui jure par les Dieux les plus improbables
Paradis, dis-moi, Paradis,
Pourquoi passes-tu chaque matin
Devant cette vieille maison de pierres,
Abandonnée en bord de route ?
Qu'as tu perdu dans ses couloirs gris ?
Ton enfance ou un grigri de rebouteux ?
Paradis, dis-moi, Paradis,
Pourquoi ai-je le coeur en vrille
Quand j'aperçois titubante
Ta silhouette en cuir abyssin
précédant de peu tes regards indéfinitifs ?
Paradis, vieille branche, serais-tu moi ?
#356546 Trou Noir
Posted by
on 10 November 2006 - 07:00 AM
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Salon de publication principal
Citation (Harry @ Nov 9 2006, 10:28 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Du style, assurément !
Merci harry qui me veut du bien !
#356389 Golem.
Posted by
on 09 November 2006 - 10:41 AM
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Salon de publication principal
salut la douce,
je suis juste de passage après de multiples détours très peu poétiques, et avant d'y retourner, dans ce monde sans mots, je voulais te dire que cette lecture m'a touché, juste où il faut !
Amitiés
Mojo
je suis juste de passage après de multiples détours très peu poétiques, et avant d'y retourner, dans ce monde sans mots, je voulais te dire que cette lecture m'a touché, juste où il faut !
Amitiés
Mojo
#356388 Peau D'asphalte
Posted by
on 09 November 2006 - 10:34 AM
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Salon de publication principal
Et oui, dire l'exquise chevauchée...
pour la dire de manière exquise,
on peut compter sur toi, Héloïse
qu'on soit riche ou qu'on soit fauché
Bises
M
pour la dire de manière exquise,
on peut compter sur toi, Héloïse
qu'on soit riche ou qu'on soit fauché
Bises
M
#356385 Trou Noir
Posted by
on 09 November 2006 - 10:30 AM
in
Salon de publication principal
Sempiternelle
Ritournelle
Ronde
Impitoyable
Des souffrances
Rances
Des diables
Magie noire
Et lucide
Laminoir
Translucide
D'un désir
Purulent
D'un vizir
Pur et lent
L'ombre
Encombre
L'air
L'air
Sombre
Sombre
Sombre
Comme le vent passe, lourd, dans le grincement des arbres morts.
Ritournelle
Ronde
Impitoyable
Des souffrances
Rances
Des diables
Magie noire
Et lucide
Laminoir
Translucide
D'un désir
Purulent
D'un vizir
Pur et lent
L'ombre
Encombre
L'air
L'air
Sombre
Sombre
Sombre
Comme le vent passe, lourd, dans le grincement des arbres morts.
#351749 Portrait Du Monde De L'ordre Juste
Posted by
on 17 October 2006 - 07:07 AM
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Merci d'etre passes, les gars, ca fait plaisir.
A+
Mojo
A+
Mojo
#351408 Portrait Du Monde De L'ordre Juste
Posted by
on 16 October 2006 - 10:20 AM
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Salon de publication principal
La mèche en bataille
Le nez en l'air
Le rire en dedans
Comme un vieil écho malheureux
Les fringues sombres
La bague à l'index
L'oeil torve – et seul
Le dos falaise rongée
La bouche pincée
Les oreilles sous la mèche en bataille
Elle s'en allait... demain.
Le nez en l'air
Le rire en dedans
Comme un vieil écho malheureux
Les fringues sombres
La bague à l'index
L'oeil torve – et seul
Le dos falaise rongée
La bouche pincée
Les oreilles sous la mèche en bataille
Elle s'en allait... demain.
#349951 Le Petit Gars
Posted by
on 10 October 2006 - 08:16 AM
in
Salon de publication principal
Un petit gars aux cheveux gras
Gribouillait sur les murs du monde.
A la craie, au crayon, au charbon,
Sur les murs de béton des cités grises,
sur le platre vierge des chambres d’hôtes,
Ou bien du bout d’un doigt sur le sable blond d’une île perdue,
Le petit gars laissait sa trace, comme un défi à l’éternité.
Parfois c’était un gros visage rond, avec des traits pour les yeux,
Parfois un corps de femme, long, en robe flottante.
Souvent tout au dessus un soleil rayonnant.
Et la mer, toujours présente, en vagues ondulantes, tout au dessous.
Jamais de nuages.
Le petit gars n’aimait pas les nuages, ni la pluie.
Il gribouillait, puis signait d’un signe étrange,
Comme un point d’interrogation raplapla.
Et puis il s’enfuyait, presque ventre à terre,
Sans demander son reste, sans dire au-revoir aux passants ni à sa logeuse ni aux crabes qui creusaient des trous dans le sable.
Il prenait un train ou un avion, vers une autre ville, vers une autre île.
Le monde était sa toile.
C’est ainsi que je l’ai croisé, un matin d’octobre 2006,
Dans le hall étouffant d’une gare exotique.
Je ne sais pas son nom.
Et la face joviale qu’il avait dessinée sur la porte en bois craquelé d’un placard à balais
A disparu, d’un coup d’éponge, quelques heures plus tard.
Le petit gars court toujours.
Gribouillait sur les murs du monde.
A la craie, au crayon, au charbon,
Sur les murs de béton des cités grises,
sur le platre vierge des chambres d’hôtes,
Ou bien du bout d’un doigt sur le sable blond d’une île perdue,
Le petit gars laissait sa trace, comme un défi à l’éternité.
Parfois c’était un gros visage rond, avec des traits pour les yeux,
Parfois un corps de femme, long, en robe flottante.
Souvent tout au dessus un soleil rayonnant.
Et la mer, toujours présente, en vagues ondulantes, tout au dessous.
Jamais de nuages.
Le petit gars n’aimait pas les nuages, ni la pluie.
Il gribouillait, puis signait d’un signe étrange,
Comme un point d’interrogation raplapla.
Et puis il s’enfuyait, presque ventre à terre,
Sans demander son reste, sans dire au-revoir aux passants ni à sa logeuse ni aux crabes qui creusaient des trous dans le sable.
Il prenait un train ou un avion, vers une autre ville, vers une autre île.
Le monde était sa toile.
C’est ainsi que je l’ai croisé, un matin d’octobre 2006,
Dans le hall étouffant d’une gare exotique.
Je ne sais pas son nom.
Et la face joviale qu’il avait dessinée sur la porte en bois craquelé d’un placard à balais
A disparu, d’un coup d’éponge, quelques heures plus tard.
Le petit gars court toujours.
#348687 Mauvais Movie
Posted by
on 05 October 2006 - 10:52 AM
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Salon de publication principal
Citation (heloise @ Oct 5 2006, 10:49 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Excellent !
Surtout le chat qui joue très bien
(Il s'est pendu pour de bon ?)
Surtout le chat qui joue très bien
(Il s'est pendu pour de bon ?)
Oui, mais il lui reste encore sept vies (et neuf queues...)
Bises
M
#348683 Mauvais Movie
Posted by
on 05 October 2006 - 10:42 AM
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Salon de publication principal
Quelle salade !
Quelle mayonnaise !
Non mais taisez-vous donc – on ne comprend plus rien.
Déjà que c'est une histoire compliquée.
Théodule qui aime Circé qui aime Jacques qui n'aime rien ni personne.
Et tous ces trains qu'ils prennent, ces livres qu'ils font semblant de lire.
Et les regards, les regards ! Perdus, énamourés, vides, bovins, hallucinés, perçants, jamais francs.
Arrêtez de remuer, bon sang ! On ne voit plus l'écran.
Déjà que c'est une histoire de fous.
Jacques qui cherche ses clés qui dorment chez Circé qui dort chez la voisine de Théodule.
Et tous ces signes sur les bords de la route, ces phares d'auto qui remontent le temps.
Et la pluie, la pluie ! En rafale, en ondées, en goutelettes, en crachin, en bruine lente.
Cessez de rire, bon Dieu ! Ce n'est pas drôle. Pas du tout.
Déjà que c'est une histoire loufoque.
Circé qui pleure son chat qui s'est pendu chez Jacques sans la moindre pensée pour ce pauvre Théodule.
Et toutes ces soucoupes de lait sur les marches de l'escalier, ces toasts à la santé des morts.
Et le silence, le silence ! Impromptu, en pointillés, en sourdine forcément, en cachette aussi.
Et le silence aussi qui vous enveloppe maintenant, quand la bobine de film a tourné jusqu'au bout.
Quand il faut se lever et retourner vivre dans son monde compliqué, de fous, loufoque, sans la possibilité d'une moindre mesure de rétorsion à l'encontre de la réalité.[font=Comic Sans Ms]
Quelle mayonnaise !
Non mais taisez-vous donc – on ne comprend plus rien.
Déjà que c'est une histoire compliquée.
Théodule qui aime Circé qui aime Jacques qui n'aime rien ni personne.
Et tous ces trains qu'ils prennent, ces livres qu'ils font semblant de lire.
Et les regards, les regards ! Perdus, énamourés, vides, bovins, hallucinés, perçants, jamais francs.
Arrêtez de remuer, bon sang ! On ne voit plus l'écran.
Déjà que c'est une histoire de fous.
Jacques qui cherche ses clés qui dorment chez Circé qui dort chez la voisine de Théodule.
Et tous ces signes sur les bords de la route, ces phares d'auto qui remontent le temps.
Et la pluie, la pluie ! En rafale, en ondées, en goutelettes, en crachin, en bruine lente.
Cessez de rire, bon Dieu ! Ce n'est pas drôle. Pas du tout.
Déjà que c'est une histoire loufoque.
Circé qui pleure son chat qui s'est pendu chez Jacques sans la moindre pensée pour ce pauvre Théodule.
Et toutes ces soucoupes de lait sur les marches de l'escalier, ces toasts à la santé des morts.
Et le silence, le silence ! Impromptu, en pointillés, en sourdine forcément, en cachette aussi.
Et le silence aussi qui vous enveloppe maintenant, quand la bobine de film a tourné jusqu'au bout.
Quand il faut se lever et retourner vivre dans son monde compliqué, de fous, loufoque, sans la possibilité d'une moindre mesure de rétorsion à l'encontre de la réalité.[font=Comic Sans Ms]
#348624 Evasion
Posted by
on 05 October 2006 - 12:33 AM
in
Salon de publication principal
Citation (jkounine @ Oct 4 2006, 09:10 PM) <{POST_SNAPBACK}>
je comprends pas
Batard toi-meme
C'est plus clair ?
#348376 Evasion
Posted by
on 04 October 2006 - 10:49 AM
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Salon de publication principal
jkounine
si t'as un blème en France
une clause léonine
sur ton acte de naissance
un doute
sur le nom de ton père
taille la route
et cesse tes commentaires.
Douce S,
L'évidence des mots et des sous-entendus
te tirent le portrait mieux que si tu étais nue !
Bonne nuit !
Hélo,
quelle déclaration, j'en sue, comme Eugène,
sous mes moites tropiques.
Quant à la menthe,
bizarre, Marie Brizard, mais l'odeur s'est enfuie...
Bises d'ici pour ton ailleurs...
Eh, le comte !
Quel plaisir de te relire ! Il m'a fallu bien deux mois pour digérer ma prose vietnamienne et reprendre ma routine de plumitif. Mais je vois, par ici, que tu n'as pas fait halte en route.
A bientôt j'espère, chez le Mojo de Dong Khoi ou ailleurs...
Bonne journée à tous (sauf à l'abruti cité plus haut)
si t'as un blème en France
une clause léonine
sur ton acte de naissance
un doute
sur le nom de ton père
taille la route
et cesse tes commentaires.
Douce S,
L'évidence des mots et des sous-entendus
te tirent le portrait mieux que si tu étais nue !
Bonne nuit !
Hélo,
quelle déclaration, j'en sue, comme Eugène,
sous mes moites tropiques.
Quant à la menthe,
bizarre, Marie Brizard, mais l'odeur s'est enfuie...
Bises d'ici pour ton ailleurs...
Eh, le comte !
Quel plaisir de te relire ! Il m'a fallu bien deux mois pour digérer ma prose vietnamienne et reprendre ma routine de plumitif. Mais je vois, par ici, que tu n'as pas fait halte en route.
A bientôt j'espère, chez le Mojo de Dong Khoi ou ailleurs...
Bonne journée à tous (sauf à l'abruti cité plus haut)
#348280 Evasion
Posted by
on 04 October 2006 - 05:53 AM
in
Salon de publication principal
O, Sarah, magicienne des rêves !
Merci d'inaugurer mon retour de tes flammes.
Je veux bien continuer à jouer, si le jeu est le même, sans trève.
Et laisser sur tes yeux le voile pur d'un curieux reflet d'âme.
Merci d'inaugurer mon retour de tes flammes.
Je veux bien continuer à jouer, si le jeu est le même, sans trève.
Et laisser sur tes yeux le voile pur d'un curieux reflet d'âme.
#348239 Et Devenir Bon Apotre...
Posted by
on 04 October 2006 - 02:32 AM
in
Salon de publication principal
salut J,
J'espère que tout va bien depuis cette heure sublime dans une gargotte de luxe de notre métropole chérie. Je vois que la verve du Comte ne faiblit pas...
A bientôt j'espère,
Mojo
PS . as-tu vu l'imposteur mojo risin ? Non mais quel outrage !
J'espère que tout va bien depuis cette heure sublime dans une gargotte de luxe de notre métropole chérie. Je vois que la verve du Comte ne faiblit pas...
A bientôt j'espère,
Mojo
PS . as-tu vu l'imposteur mojo risin ? Non mais quel outrage !
#348233 Evasion
Posted by
on 04 October 2006 - 02:23 AM
in
Salon de publication principal
L'azur vire au violet et le soleil opale.
Les yeux brisés de peur et le visage pale,
L'homme avance en boîtant vers son proche trépas.
L'immense éternité défile sous ses pas.
Le vent, velours poisseux, caresse les collines.
Une goutte de sueur perle au front du fuyard,
Glisse au puits de son âme et son ombre s'incline.
L'horizon paresseux se perd dans le brouillard.
Nul ne peut échapper à l'effroyable tyrannie de la liberté.
Les yeux brisés de peur et le visage pale,
L'homme avance en boîtant vers son proche trépas.
L'immense éternité défile sous ses pas.
Le vent, velours poisseux, caresse les collines.
Une goutte de sueur perle au front du fuyard,
Glisse au puits de son âme et son ombre s'incline.
L'horizon paresseux se perd dans le brouillard.
Nul ne peut échapper à l'effroyable tyrannie de la liberté.
#322642 Angela
Posted by
on 16 May 2006 - 10:26 AM
in
Salon de publication principal
Salut,
ça sonne tellement juste qu'on en oublie que c'est de la poésie...
Angela, Angela, ces dames qui n'aiment pas les poètes, en vérité en raffolent ; c'est peut-être même un peu de jalousie qu'il faut lire derrière leurs pfffff !
Et puis dieu sait ce qu'elles racontent à leur meilleure amie...
Et puis tu m'énerves parce que j'aurais aimé l'écrire ! na !
A+
Mojo NODKY
ça sonne tellement juste qu'on en oublie que c'est de la poésie...
Angela, Angela, ces dames qui n'aiment pas les poètes, en vérité en raffolent ; c'est peut-être même un peu de jalousie qu'il faut lire derrière leurs pfffff !
Et puis dieu sait ce qu'elles racontent à leur meilleure amie...
Et puis tu m'énerves parce que j'aurais aimé l'écrire ! na !
A+
Mojo NODKY
