47 replies to this topic

[Félice]

Ben ça c'est du com, confraternel !

[Hauteur]

Felice,

Interpréter, comprendre, on est tous dressés pour. Je dois être un paria, je n’en ai pas besoin…
J’entends de la musique en lisant un poème, quelque chose d’esthétique qui ne se définit pas.

Et dans vos vers, j’ai trouvé ça.

Alors je suis séduit, ça suffit à créer un instant de plaisir.


Amitié
Hauteur

[Félice]

Hauteur,

Tellement merci pour ce com libre et dénué de toute influence (me semble-t-il) : c'est une question de hauteur, n'est-ce pas ?

Vous l'ai-je dis ? Jaguar a toujours eu un faible pour les parias.

Au plaisir de vous lire.

Félice.

[Hauteur]

Hauteur,

Tellement merci pour ce com libre et dénué de toute influence (me semble-t-il) : c'est une question de hauteur, n'est-ce pas ?

Vous l'ai-je dis ? Jaguar a toujours eu un faible pour les parias.

Au plaisir de vous lire.

Félice.

Le bonheur a un prix pour les gens compliqués.

Pour moi il n'est pas cher.

Allez savoir pourquoi votre texte me plaît, et puis quelle importance, c'est l'instant de bonheur qui reste juste après qui compte dans la vie.
Sans doute une question de hauteur...

Mes hommages.



Hauteur

[Félice]

Hauteur, je vous kiffe, si je puis.

Mes hommages également.

Félice.

[.ds.]

Voilà, me voilà sur cet humain au regard perdu dans les airs à un coeur de jeune-fille, et que puis-je répondre à un tel effondrement ?

Et ta joie de vivre sacré de non ?

Bon, je sais, ce n'est que de la poésie et je m'emporte ainsi.


Très belle poésie, et je ne triche jamais !

Au plaisir donc ma féline au coeur tendre et emballé.
Bisous


NB : rien à dire, les sonorités me vont, tout y est en fait... allons courir ailleurs.

[Félice]

Quel com !

Ma joie de vivre... y est. Même si je préfère l'énergie à la joie de vivre. Et sur ce point, je me sens proche d'Heloise : mon énergie à moi, ne se trouve ni dans le bien être, ni dans la lumière.

Ce qu'il y a, c'est que je l'aime, cette vieille femme dont je suis le reste.

Félice.

(elle est pas au bouillon, la déesse ?)

[.ds.]

Personne n'est au bouillon, nous avons décidé de faire grève !
Sinon, je ne suis pas d'accord avec vous, en plus pour ne pas vouloir employer ce mot, mais que j'emploierais quand même vous me faîtes chier, c'est quoi ces histoires de na pas vivre en joie mais d'être très en forme ?


Grrrrrr... toute façon, j'suis vieille dans un aspect humain où la vie n'a pas d'âge... Mais çà tu le sais coquine !
Bisous

[Hauteur]

Hauteur, je vous kiffe, si je puis.

Mes hommages également.

Félice.

Grave ???

Empourpré..
Hauteur

[Félice]

Déesse,

je te l'ai déjà dit, déesse, quant dire ce que je sais, je ne saurais le dire.

par ailleurs, je suis si confuse de participer à ton agacement... la joie est une chose cruciale pour moi. Mais je ne la sens pas venir de la lumière. Je la sens venir d'endoits plus douloureux. Simple question géographique.

Hauteur,

Alors puisque vous me le permettez, c'est dit. Je vous kiffe. Et grave qui plus est.

Félice.

[Joa]

vieille femme
dont je suis le reste
je mendie tes miettes
aux passants automates

au temple, ensouffrée,
celle de l'inconnu
qui connaît
et dissimule

au rocher, passionnée
celle des morsures
qui s'affole...
il faut ça !

au heures de chaque jour
celle de la vie
qui pousse
et porte l'existence

au ruines, oubliée
celle de nos hontes
au corps à corps
de l'amnésie exprès

vieille femme
dont je suis le reste
tu t'effrites
sous mon regard courroucé.

C'est magnifique...

On peut se le mordre de différentes émotions...

Des mots qui voyagent...qui font miroir...aux étincelles...

Bises
Joane

[.ds.]

Moi, j'y reviens.

[Félice]

eh ben, c'est la fête ce soir !

DS, même si tu vois pas de lumière par le carreau, tu peux passer... c'est toujours ouvert.

Joane, dans les restes qui flottent à trvaers nous, il n'y a que des miroirs. C'est chouette que tu le mordes comme ça.

Félice.

[belvis]

Felice,
Celle-là reste au coté d'une vieillesse qui raconte un parcours de vie. Et toutes ces histoires d'avant témoignent du déclin assuré de nos propres existences. Ne laisser que le souvenir de la poussière, ou la poussière du souvenir, fin derisoire en somme, mais vouloir quand meme respirer ce remugle-là... Et demander les miettes avant. Voilà comme je ressens cette belle poésie dans sa contradiction...

[.ds.]

Eh ho, si je passe c'est qu'il y a de la lumière, et puis combien même !
Que cela peut-il bien faire hein ?

Aucune ambiance, je suis là ce soir, et lis avec plaisir, partage, comme je peux.... Ne pas dire que mon existence n'est pas facile, non.... Mais, j'écris beaucoup plus que ne peut supporter ce site... 2 poèmes par jour, des règles etc...

Bon, Féline, sinon, lorsque je passerai, je ferai un saut par chez toi ma soeur !:
Bisous

[Félice]

Belvis,

he bien grand merci de ces précisions instructives.
Que ces histoire témoigent pas d'un parcours de vie ou qu'elle se taisent ou... bref... elles sont ce que j'en fais. Ce que je cherche à en faire.

Le lien est là. Ce qui compte ne sont pas les miettes. Ce qui compte est de les mendier aux passants. A eux. A fouiller dans leurs poches, il arrêteront bien deux minutes leur course folle.

Alors peut-être... la poussière peut devenir matière.

Ton com me fait bien réfléchir.

Félice.

Ma maison est ta maison, ma soeur. En vrai.

On s'écoutera le Golden Gate Quartet... à en faire tomber les murs de Géronimo.

Grrrrrr !

[.ds.]

J'écoute Cat steven's, qu'est-il devenu quelqu'un le sait ?


Salut ma soeur et mes bisous habituels !

[Félice]

he bien à notre grand desespoir il a sombré dans quelques travers guerriers...

en nous laissant rêveurs face à son Tea for Tillerman. Soupir.