J’aime quand elle est contre moi
Que mon cœur bat sur sa poitrine
Que je la serre entre mes bras
Comme la plus belle des Marilyn,
Oh j’aime
J’aime
J’aime
J’aime
J’aime
J’aime
Je l’aime.
J’aime quand avec ses grimaces
Elle veut me dire des mots d’amour
Au goût sucré du temps qui passe
Et nous unit jour après jour,
Oh j’aime
J’aime
J’aime
J’aime
J’aime
J’aime
Je l’aime.
J’aime quand elle est en colère
Que ses yeux me lancent au hasard
Des flèches en plein cœur, des éclairs
Que je crois je suis seul à voir,
Oh j’aime
J’aime
J’aime
J’aime
J’aime
J’aime
Je l’aime.
J’aime quand dessus ses silences
Elle met des musiques endiablées
Pour qu’on s’enlace et que s’élancent
Nos jolis corps entremêlés,
Oh j’aime
J’aime
J’aime
J’aime
J’aime
J’aime
Je l’aime.
J’aime ou plutôt j’aimerais
Que cette fille dans mes refrains
Soit celle qui m’écoute en secret
Quand elle s’endort toute en chagrin,
Oh j’aime
J’aime
J’aime
J’aime
J’aime
J’aime
Je l’aime.
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#364053 J'aime
Posted by
on 22 December 2006 - 07:17 PM
in
Salon de publication principal
#363757 Sombre Histoire
Posted by
on 20 December 2006 - 10:57 PM
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Salon de publication principal
De nos cœurs lourds s’échappent
Des couleurs d’autrefois
Que la nuit seule attrape
Pour les porter sans joie
Des couleurs de pénombre
Plus qu’à peine étoilées
Qui projettent leurs ombres
Sous nos yeux fatigués.
De nos plumes trop sèches
Quelques phrases trop vides
Qui dessinent des brèches
A nos front quelques rides
Quelques phrases trop sombres
Plus qu’à peine effacées
Qui projettent leurs ombres
Sous nos yeux délavés.
Et de nous mon amour
Qu’y a-t-il donc à voir
Au-delà des contours
Combien d’autres histoires
Oh combien d’histoires sombres
Plus qu’à peine oubliées
Qui projettent leurs ombres
Sous nos yeux délaissés.
Des couleurs d’autrefois
Que la nuit seule attrape
Pour les porter sans joie
Des couleurs de pénombre
Plus qu’à peine étoilées
Qui projettent leurs ombres
Sous nos yeux fatigués.
De nos plumes trop sèches
Quelques phrases trop vides
Qui dessinent des brèches
A nos front quelques rides
Quelques phrases trop sombres
Plus qu’à peine effacées
Qui projettent leurs ombres
Sous nos yeux délavés.
Et de nous mon amour
Qu’y a-t-il donc à voir
Au-delà des contours
Combien d’autres histoires
Oh combien d’histoires sombres
Plus qu’à peine oubliées
Qui projettent leurs ombres
Sous nos yeux délaissés.
#363756 Autour De Nous
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on 20 December 2006 - 10:56 PM
in
Salon de publication principal
Autour de nous les gens se hâtent
Et tournent en rond à la manière
De pantins ou pire d’automates
Si bien qu’ils en tournent à l’envers
Et n’être plus rien au matin
Qu’un corps perdu et solitaire
Echoué sans doute ailleurs, au loin
Dans les doux relents d’eau de mer.
Autour de nous le temps se gatte
Et les saisons se foutent en l’air
Sans que personne ne s’écarte
De leur trajectoire suicidaire
De n’être plus rien au matin
Qu’un corps perdu et solitaire
Echoué sans doute ailleurs, au loin
Dans les doux relents d’odes amères.
Autour de nous souvent se battent
Sous l’horizon les maux, les vers
De nos petits cœurs carton pâte
Fragiles comme parfois l’est le verre
A n’être plus rien au matin
Qu’un corps perdu et solitaire
Echoué sans doute ailleurs, au loin
Dans les doux relents d’eau de mer.
Et tournent en rond à la manière
De pantins ou pire d’automates
Si bien qu’ils en tournent à l’envers
Et n’être plus rien au matin
Qu’un corps perdu et solitaire
Echoué sans doute ailleurs, au loin
Dans les doux relents d’eau de mer.
Autour de nous le temps se gatte
Et les saisons se foutent en l’air
Sans que personne ne s’écarte
De leur trajectoire suicidaire
De n’être plus rien au matin
Qu’un corps perdu et solitaire
Echoué sans doute ailleurs, au loin
Dans les doux relents d’odes amères.
Autour de nous souvent se battent
Sous l’horizon les maux, les vers
De nos petits cœurs carton pâte
Fragiles comme parfois l’est le verre
A n’être plus rien au matin
Qu’un corps perdu et solitaire
Echoué sans doute ailleurs, au loin
Dans les doux relents d’eau de mer.
#362744 Vision Partagée
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on 12 December 2006 - 07:01 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Félice @ Dec 11 2006, 11:55 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Bluzy,
J'espère que le son que tu vas coller dessus sera un peu plus fouillé que les paroles, hein. Bon... les Beatles ont bien marché avec "Love me do" et "I want to hold your hand", tu me diras.
Et puis... moi aussi, j'aime les filles.
Kurbis.
J'espère que le son que tu vas coller dessus sera un peu plus fouillé que les paroles, hein. Bon... les Beatles ont bien marché avec "Love me do" et "I want to hold your hand", tu me diras.
Et puis... moi aussi, j'aime les filles.
Kurbis.
Et les Beatles ont même fait "Obladi Oblada" !!!
Je voulais juste dire que j'aime les filles qu'on peut toucher (tient je pourrais en faire
un truc de cette phrase). Aimer les Beatles et les filles en voila une belle chose.
Je t'ai envoyé une petite vidéo, je ne sais pas si tu l'as eu, mon dernier petit travail
guitaristique (depuis que Love est sorti, je passe mon temps à jouer while my guitar
gently weeps en accoustique en souvenir du Quiet Beatles...).
Bisous ma citrouille,
Bluzy.
#362668 Accroché à Elle
Posted by
on 12 December 2006 - 11:47 AM
in
Salon de publication principal
Je me suis accroché à elle
Comme un alpiniste à la roche
Et comme aussi parfois s’accrochent
Les mouches au verre d’un pot de miel,
Je me suis accroché à elle.
Je me suis accroché à elle
Comme un caillou quand il ricoche
Qu’il vire au vent, qu’il se raccroche
Au fil reliant l’eau et le ciel,
Je me suis accroché à elle.
Je me suis accroché à elle
Comme autrefois le fit Gavroche
Envers Cosette, trois sous en poche
Mais le cœur plein d’odes à sa belle,
Je me suis accroché à elle.
Je me suis accroche à elle
Comme au printemps quand elles s’approchent
De nos maisons au glas des cloches
Sur l’horizon les hirondelles,
Je me suis accroché à elle.
Comme un alpiniste à la roche
Et comme aussi parfois s’accrochent
Les mouches au verre d’un pot de miel,
Je me suis accroché à elle.
Je me suis accroché à elle
Comme un caillou quand il ricoche
Qu’il vire au vent, qu’il se raccroche
Au fil reliant l’eau et le ciel,
Je me suis accroché à elle.
Je me suis accroché à elle
Comme autrefois le fit Gavroche
Envers Cosette, trois sous en poche
Mais le cœur plein d’odes à sa belle,
Je me suis accroché à elle.
Je me suis accroche à elle
Comme au printemps quand elles s’approchent
De nos maisons au glas des cloches
Sur l’horizon les hirondelles,
Je me suis accroché à elle.
#362599 Rêverie D’une Oraison Funèbre
Posted by
on 11 December 2006 - 10:28 PM
in
Salon de publication principal
J’avais rêvé le beau soleil
Et ses rayons sur les hauteurs
Qui vous réchauffe et qui vous veille
Quand au matin le corps se meurt.
Et pas la mort triste et sans âme
Ou femme, enfants, quelques amis
S’en vont pleurer leurs sèches larmes
Sur la dépouille d’un homme sans vie.
J’avais rêvé moi l’océan
Pour quand viendra l’heure dernière
Où corps et cœur foutent le camp
Pour le paradis, pour l’enfer.
Et pas la mort triste et sans âme
Ou femme, enfants, quelques amis
S’en vont pleurer leurs sèches larmes
Sur la dépouille d’un homme sans vie.
J’avais rêvé mais il est tard
Et le soleil s’est fait la male
Sur l’océan du désespoir
Au beau milieu d’une mer opale.
J’avais rêvé mais il est tard
Et le soleil s’est fait la male
Sur l’océan du désespoir
Au beau milieu d’une mer trop pâle.
Et ses rayons sur les hauteurs
Qui vous réchauffe et qui vous veille
Quand au matin le corps se meurt.
Et pas la mort triste et sans âme
Ou femme, enfants, quelques amis
S’en vont pleurer leurs sèches larmes
Sur la dépouille d’un homme sans vie.
J’avais rêvé moi l’océan
Pour quand viendra l’heure dernière
Où corps et cœur foutent le camp
Pour le paradis, pour l’enfer.
Et pas la mort triste et sans âme
Ou femme, enfants, quelques amis
S’en vont pleurer leurs sèches larmes
Sur la dépouille d’un homme sans vie.
J’avais rêvé mais il est tard
Et le soleil s’est fait la male
Sur l’océan du désespoir
Au beau milieu d’une mer opale.
J’avais rêvé mais il est tard
Et le soleil s’est fait la male
Sur l’océan du désespoir
Au beau milieu d’une mer trop pâle.
#362598 Bzzzz
Posted by
on 11 December 2006 - 10:26 PM
in
Salon de publication principal
Moi j'adore et je dis vive les mouches !!!
Je te mettrais bien ça en musique, ça sonne bien je trouve.
Amitiés,
Sébastien
Je te mettrais bien ça en musique, ça sonne bien je trouve.
Amitiés,
Sébastien
#362596 Vision Partagée
Posted by
on 11 December 2006 - 10:18 PM
in
Salon de publication principal
J’aime les filles du net
Ce côté à la fois
Femme forte et midinette
Dans leur web caméra.
Mais j’aime les filles aussi
Qu’on croise dans les bistrots
Les filles de la vraie vie
A qui j’offre ces mots.
J’aime les filles du net
Qui disent du bout des doigts
Des choses, soyons honnêtes
Plutôt osées parfois.
Mais j’aime les filles aussi
Qu’on croise dans les métros
Et les sens interdits
Du touché de leur peau.
J’aime les filles du net
Sur ces beaux écrans plats
Avec leurs sourires bêtes
Leurs histoires à la noix.
Mais j’aime les filles aussi
Qu’on croise tard ou bien tôt
Quand elles passent éblouies
En taxi rue Charcot.
J’aime les filles du net
Rêveuses et quelques fois
Je me dis dans ma tête
Qu’elles ne rêvent qu’à ça.
Mais j’aime les filles qu’on suit
La nuit dans les bistrots
Les filles de la vraie vie
A qui j’offre ces mots.
Ce côté à la fois
Femme forte et midinette
Dans leur web caméra.
Mais j’aime les filles aussi
Qu’on croise dans les bistrots
Les filles de la vraie vie
A qui j’offre ces mots.
J’aime les filles du net
Qui disent du bout des doigts
Des choses, soyons honnêtes
Plutôt osées parfois.
Mais j’aime les filles aussi
Qu’on croise dans les métros
Et les sens interdits
Du touché de leur peau.
J’aime les filles du net
Sur ces beaux écrans plats
Avec leurs sourires bêtes
Leurs histoires à la noix.
Mais j’aime les filles aussi
Qu’on croise tard ou bien tôt
Quand elles passent éblouies
En taxi rue Charcot.
J’aime les filles du net
Rêveuses et quelques fois
Je me dis dans ma tête
Qu’elles ne rêvent qu’à ça.
Mais j’aime les filles qu’on suit
La nuit dans les bistrots
Les filles de la vraie vie
A qui j’offre ces mots.
#362350 Dis Moi Décembre
Posted by
on 10 December 2006 - 11:29 AM
in
Salon de publication principal
Dis moi décembre
Ces mots perdus dans la nuit noire
Qui m’attend là dans cette chambre
Puis qui repart
Oh dis moi décembre.
Je sais des rives et des rivages
Où l’amour porte des drapeaux
Et vient s’échouer le long des plages
Et vient s’échouer contre ta peau.
Dis moi décembre
Ces mélodies sur ma guitare
Que je croyais ne plus entendre
Même au hasard
Oh dis moi décembre.
Je sais des villes et des villages
Où l’amour porte des flambeaux
Et vient s’échouer au loin, au large
Et viens s’échouer contre ta peau.
Dis moi décembre
Ce cœur qui cogne tous les soirs
Ce cœur velours et couleur ambre
Dis puis-je y croire
Oh dis moi décembre.
Je sais des îles, des paysages
Où l’amour porté par ces mots
Viendra s’échouer sur ton visage
Viendra s’échouer contre ta peau.
Dis moi décembre
Ces maux perdus dans la nuit noire
Qui m’attend là dans cette chambre
Puis qui repart
Oh dis moi décembre.
Ces mots perdus dans la nuit noire
Qui m’attend là dans cette chambre
Puis qui repart
Oh dis moi décembre.
Je sais des rives et des rivages
Où l’amour porte des drapeaux
Et vient s’échouer le long des plages
Et vient s’échouer contre ta peau.
Dis moi décembre
Ces mélodies sur ma guitare
Que je croyais ne plus entendre
Même au hasard
Oh dis moi décembre.
Je sais des villes et des villages
Où l’amour porte des flambeaux
Et vient s’échouer au loin, au large
Et viens s’échouer contre ta peau.
Dis moi décembre
Ce cœur qui cogne tous les soirs
Ce cœur velours et couleur ambre
Dis puis-je y croire
Oh dis moi décembre.
Je sais des îles, des paysages
Où l’amour porté par ces mots
Viendra s’échouer sur ton visage
Viendra s’échouer contre ta peau.
Dis moi décembre
Ces maux perdus dans la nuit noire
Qui m’attend là dans cette chambre
Puis qui repart
Oh dis moi décembre.
#361630 Petit Homme
Posted by
on 05 December 2006 - 08:58 PM
in
Salon de publication principal
Je serais plutôt de l'avis de Paname (Paname Paname ça me fait soudain penser
aux pavés et aux titis parisiens tout ça). Allons essayons d'écrire quelque chose
pour ces gens de la politique. Même un texte à plusieurs mais puisque nous sommes
supposés être des "poètes" essayons de mettre le peu de talent que nous avons
au service d'une chose juste...
aux pavés et aux titis parisiens tout ça). Allons essayons d'écrire quelque chose
pour ces gens de la politique. Même un texte à plusieurs mais puisque nous sommes
supposés être des "poètes" essayons de mettre le peu de talent que nous avons
au service d'une chose juste...
#361628 En Amour Pas Besoin
Posted by
on 05 December 2006 - 08:53 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Paname @ Dec 5 2006, 06:28 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Vrai que c'est joliment dit...mais ça témoigne pas un peu d'une jalousie maladive plus ou moins consciente, tout ça ?
Juste à peine, mais comme Lennon a déjà fait une superbe chanson sur la jalousie maladive
et que je respecte énormément ce Monsieur, je voulais faire un peu autre chose... Merci
d'avoir aimé cette petite chanson écrite un peu à la va vite mais avec tout ce que j'avais
sur le coeur.
Citation (Derek @ Dec 4 2006, 04:12 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Cette question mille fois posée sur le passé troublant de l'être aimé...
Joliment tournée dans ce poème,
Amicalement
Derek
Joliment tournée dans ce poème,
Amicalement
Derek
Merci Derek, j'aime écrire sur l'être aimé, l'inspiration est très facile, il suffit de
fermer les yeux et d'y penser très fort. Et puis la plume fait le reste.
Amitiés,
Sébastien
#361162 Je M’appelle...
Posted by
on 03 December 2006 - 06:22 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Paname @ Dec 3 2006, 04:17 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Désabusé ? Fatigué ? Blasé ? Aigri ? Lucide ? Dégoûté ? Echaudé ? Réaliste ? Supérieur ? Cocufié ? Trop donné ? Anti-républicain ? Royaliste ? Résigné ? Nihiliste ? Anar ? Défaitiste ? Maximaliste ? Au-dessus-de-çahiste ? Adautrehiste ? On-m'la-f'ra-pas-cent-foishiste ?...et j'en passe...
Allons, poète ! BATS-TOI !!! donc : ECRIS !!!
...Pour l'égalité, en solidarité, puisque le poète est absolument libre !!!
Amitiés d'un sexagénaire optimiste.
Paname
Allons, poète ! BATS-TOI !!! donc : ECRIS !!!
...Pour l'égalité, en solidarité, puisque le poète est absolument libre !!!
Amitiés d'un sexagénaire optimiste.
Paname
Ils forment une jolie ronde tous ces adjectifs
(je vois que tu n'es pas non plus poète pour rien !!!).
Pour la qualification je dirais multi-facette... Et je te rassure (ou pas)
je suis moi aussi optimiste (notamment de voir que mes textes sont repris par des
sexagénaires optimistes eux aussi...).
J'écris justement, un peu moins de chansons car je travail sur mon premier roman
mais j'ai toujours ma guitare sous la main au cas ou...
Amitiés,
Sébastien
#361103 En Amour Pas Besoin
Posted by
on 03 December 2006 - 11:05 AM
in
Salon de publication principal
Oh Caroline dis moi combien
Combien d’autres hommes avant nous deux
Entre tes bras, contre tes seins
Dans le bleu profond de tes yeux.
Tu dis qu’en amour pas besoin
Pour le sentir, le vivre heureux
De dire comment, de dire combien
Et sans un mot se prendre au jeu.
Oh Caroline dis moi combien
Combien d’amants avant nous deux
Sous tes grands draps froids de satin
T’ont emmené aux septièmes cieux
Tu dis qu’en amour pas besoin
Pour le sentir, le vivre heureux
De dire comment, de dire combien
Et sans un mot se prendre au jeu.
Oh Caroline dis moi combien
Combien de cœurs en proies au feu
As-tu blotti contre le tient
Avant ce soir, avant nous deux.
Tu dis qu’en amour pas besoin
Pour le sentir, le vivre heureux
De dire comment, de dire combien
Et sans un mot se prendre au jeu.
Combien d’autres hommes avant nous deux
Entre tes bras, contre tes seins
Dans le bleu profond de tes yeux.
Tu dis qu’en amour pas besoin
Pour le sentir, le vivre heureux
De dire comment, de dire combien
Et sans un mot se prendre au jeu.
Oh Caroline dis moi combien
Combien d’amants avant nous deux
Sous tes grands draps froids de satin
T’ont emmené aux septièmes cieux
Tu dis qu’en amour pas besoin
Pour le sentir, le vivre heureux
De dire comment, de dire combien
Et sans un mot se prendre au jeu.
Oh Caroline dis moi combien
Combien de cœurs en proies au feu
As-tu blotti contre le tient
Avant ce soir, avant nous deux.
Tu dis qu’en amour pas besoin
Pour le sentir, le vivre heureux
De dire comment, de dire combien
Et sans un mot se prendre au jeu.
#361099 Je M’appelle...
Posted by
on 03 December 2006 - 10:45 AM
in
Salon de publication principal
Je m’appelle Liberté
Je suis née au printemps
Ou peut-être en été
Il y a bien longtemps
Je m’appelle Liberté
Et ma sœur par alliance
La belle Egalité
A le feu ou je pense
Je suis l’Egalité
Petite sœur incestueuse
Et petite traînée
En habits de pisseuse
Je suis l’Egalité
Et ma sœur trop pudique
La jolie Liberté
Vend ma vie au public
Je m’appelle Liberté
Je suis née d’un vieux rêve
Que les hommes avaient fait
Bien avant qu’ils en crèvent
Je m’appelle Liberté
Et ma sœur par alliance
L’aura Fraternité
Se blottit sur ma panse
Je suis Fraternité
Petite sœur savez vous
D’une certaine Liberté
Dont au fond je me fou
Je suis Fraternité
Moi mon rêve est qu’un jour
Tous les hommes beaux et laids
Viennent me faire la cour
Je m’appelle Utopie
Je m’appelle Utopie
Je suis née loin d’ici.
Je suis née au printemps
Ou peut-être en été
Il y a bien longtemps
Je m’appelle Liberté
Et ma sœur par alliance
La belle Egalité
A le feu ou je pense
Je suis l’Egalité
Petite sœur incestueuse
Et petite traînée
En habits de pisseuse
Je suis l’Egalité
Et ma sœur trop pudique
La jolie Liberté
Vend ma vie au public
Je m’appelle Liberté
Je suis née d’un vieux rêve
Que les hommes avaient fait
Bien avant qu’ils en crèvent
Je m’appelle Liberté
Et ma sœur par alliance
L’aura Fraternité
Se blottit sur ma panse
Je suis Fraternité
Petite sœur savez vous
D’une certaine Liberté
Dont au fond je me fou
Je suis Fraternité
Moi mon rêve est qu’un jour
Tous les hommes beaux et laids
Viennent me faire la cour
Je m’appelle Utopie
Je m’appelle Utopie
Je suis née loin d’ici.
#361059 Sebastian 1980 (revisited)
Posted by
on 02 December 2006 - 11:03 PM
in
Salon de publication principal
moi ?
#361056 Petit Homme
Posted by
on 02 December 2006 - 11:01 PM
in
Salon de publication principal
Citation (margolagoe @ Dec 2 2006, 10:47 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Sarko?!
Mdr! J'adore ce texte!! Beaucoup d'hommes politiques, petits, rêvent ,helas, de devenir presidents!! lol
Grosses bises,
Margot.
Mdr! J'adore ce texte!! Beaucoup d'hommes politiques, petits, rêvent ,helas, de devenir presidents!! lol
Grosses bises,
Margot.
Tu es forte dis donc... Je pense qu'ils sont tous petits ces gens là (tient c'est drôle
ça me fait penser à une autre chanson ça...). Moi en tout cas ça m'amuse de me
moquer d'eux de cette façon là.
Bisous à toi,
Sébastien
Citation (Harry @ Dec 2 2006, 10:54 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ah et qu'est-ce qu'on peut pour toi ?
Pour moi pas grand chose, je ne suis pas à plaindre et il y a bien longtemps
que j'ai arrêté de croire à toutes ces salades...
#361054 Petit Homme
Posted by
on 02 December 2006 - 10:54 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Paname @ Dec 2 2006, 12:10 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Merci pour l'idée...!
Mais je me suis servi sans demander la permission...
C'est grave ?
Mais je me suis servi sans demander la permission...
C'est grave ?
Non du tout je trouve ça marrant même !!!
J'avais écris un petit texte sur l'héroine de ta petite chanson d'ailleurs et
puisque les politiques semblent ne pas s'occuper de nous, occupons nous d'eux.
On peut faire une compil si tu veux...
Citation (Félice @ Dec 2 2006, 08:44 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Hihi... coucou bluzy
sympathique petit texte. Je pense qu'il devrait figurer dans une autre rubrique... mais ici ou ailleurs, c'est marrant de le lire.
Et paname (coucouc paname) en a fait un tout aussi symathique.
Après... c'est un question de goût et de légèreté.
Kurbis.
sympathique petit texte. Je pense qu'il devrait figurer dans une autre rubrique... mais ici ou ailleurs, c'est marrant de le lire.
Et paname (coucouc paname) en a fait un tout aussi symathique.
Après... c'est un question de goût et de légèreté.
Kurbis.
Coucou Citrouille,
Oui un petit texte de saison, je n'ai rien contre les gens de petite taille au contraire
mais je sais pas les petits qui veulent jouer aux grands ça m'agasse. Je me suis même
demandé si sur du papier à lettre je pourrais me permettre d'adresser ma petite
chanson du côté du faubourg saint honoré. On sait jamais on pourrait peut-être
faire campagne nous aussi... Après tout ça peut être marrant.
Je sors de 10 heures de psycho je vais vite rejoindre le pays des bluesman moi.
Bisous, Bluzy
#360863 Petit Homme
Posted by
on 01 December 2006 - 10:31 PM
in
Salon de publication principal
On pourrait effectivement y penser...
#360861 Petit Homme
Posted by
on 01 December 2006 - 10:24 PM
in
Salon de publication principal
Ca ne vous fais pas penser à quelqu'un...
C’est un petit bonhomme
Qui voulait, mécréant
Du haut de ses trois pommes
Devenir président.
Il avait pour cela
Un secret sans saveur
Que de dire à tout va
De ne pas avoir peur.
Mais ce tout petit homme
Qu’était surtout méchant
Aimait les uniformes
Haïssait les brigands.
Il avait je sais ça
Des échasses en couleur
Pour que l’on ne voit pas
Sa petite hauteur.
Un petit, petit homme
Qui voulait, mécréant
Du haut de ses trois pommes
Devenir président.
C’est un petit bonhomme
Qui voulait, mécréant
Du haut de ses trois pommes
Devenir président.
Il avait pour cela
Un secret sans saveur
Que de dire à tout va
De ne pas avoir peur.
Mais ce tout petit homme
Qu’était surtout méchant
Aimait les uniformes
Haïssait les brigands.
Il avait je sais ça
Des échasses en couleur
Pour que l’on ne voit pas
Sa petite hauteur.
Un petit, petit homme
Qui voulait, mécréant
Du haut de ses trois pommes
Devenir président.
#360236 Il A Plu
Posted by
on 28 November 2006 - 10:41 PM
in
Salon de publication principal
Citation (bohemia @ Nov 27 2006, 11:01 PM) <{POST_SNAPBACK}>
j'ai pensé à Philippe Noiret en te lisant
Je l'ai pensé pour lui à dire vrai... C'est triste mais au Montparnasse reposent
désormais Gainsbourg et Noiret, deux grands, deux très grands.
#360233 Les Amours Sans Age
Posted by
on 28 November 2006 - 10:35 PM
in
Salon de publication principal
On va s’asseoir là sur not’banc
Et se raconter cette histoire
D’nous deux quand on était enfants
Maintenant qu’on est des vieillards.
Avec nos canes on pousse les feuilles
On fait des cœurs sur le gravier
Pour celle dont on a fait le deuil
Qui est morte et bien enterrée.
Et on s’assoit là sur not’banc
A se raconter cette histoire
D’nous deux quand on était enfants
Maintenant qu’on est des vieillards.
Sur qu’elle nous manque et qu’on en crève
Vu qu’à nos ages c’est plus permis
De dire tout haut à quoi l’on rêve
Alors sur le sol on l’écrit.
Et on s’assoit là sur not’banc
A se raconter cette histoire
D’nous deux quand on était enfants
Maintenant qu’on est des vieillards.
Elle doit nous voir depuis là-haut
Assis comme ça là tous les jours
Et trouver ça sans doute idiot
De nous entendre parler d’amour.
Et assit là sur not’banc
De se raconter cette histoire
D’nous deux quand on était enfants
Maintenant qu’on est des vieillards.
Mais puisqu’un jour on va mourir
El les rejoindre près du bon dieu
C’est not’luxe à nous de nous dire
Qu’on s’ra plus jamais malheureux
Plus assit là sur not’banc
A se raconter cette histoire
D’nous deux quand on était enfants
Maintenant qu’on est des vieillards.
Et se raconter cette histoire
D’nous deux quand on était enfants
Maintenant qu’on est des vieillards.
Avec nos canes on pousse les feuilles
On fait des cœurs sur le gravier
Pour celle dont on a fait le deuil
Qui est morte et bien enterrée.
Et on s’assoit là sur not’banc
A se raconter cette histoire
D’nous deux quand on était enfants
Maintenant qu’on est des vieillards.
Sur qu’elle nous manque et qu’on en crève
Vu qu’à nos ages c’est plus permis
De dire tout haut à quoi l’on rêve
Alors sur le sol on l’écrit.
Et on s’assoit là sur not’banc
A se raconter cette histoire
D’nous deux quand on était enfants
Maintenant qu’on est des vieillards.
Elle doit nous voir depuis là-haut
Assis comme ça là tous les jours
Et trouver ça sans doute idiot
De nous entendre parler d’amour.
Et assit là sur not’banc
De se raconter cette histoire
D’nous deux quand on était enfants
Maintenant qu’on est des vieillards.
Mais puisqu’un jour on va mourir
El les rejoindre près du bon dieu
C’est not’luxe à nous de nous dire
Qu’on s’ra plus jamais malheureux
Plus assit là sur not’banc
A se raconter cette histoire
D’nous deux quand on était enfants
Maintenant qu’on est des vieillards.
#359872 Il A Plu
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on 27 November 2006 - 10:56 PM
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Salon de publication principal
Il a plu ce matin
Sur la longue avenue
Qui menait jusqu’au coin
Retranché de ta rue.
Et j’ai vu ce matin
Quelques larmes sans doute
Se mêlant l’air chagrin
A la pluie goutte à goutte.
Il a plu ce matin
Derrière ton corbillard
Qu’on menait vers plus loin
A l’abris des regards.
Et j’ai vu ce matin
Quelques larmes sans doute
Se mêlant l’air chagrin
A la pluie goutte à goutte.
Il a plu ce matin
Sur les tombes d’en face
De la tienne et soudain
Sur les allées du Montparnasse.
Et j’ai vu ce matin
Quelques larmes sans doute
Se mêlant l’air chagrin
A la pluie goutte à goutte.
Il a plu ce matin
Sur mes joues, sous mes yeux
Mais je sais que demain
Reviendra le ciel bleu.
Sur la longue avenue
Qui menait jusqu’au coin
Retranché de ta rue.
Et j’ai vu ce matin
Quelques larmes sans doute
Se mêlant l’air chagrin
A la pluie goutte à goutte.
Il a plu ce matin
Derrière ton corbillard
Qu’on menait vers plus loin
A l’abris des regards.
Et j’ai vu ce matin
Quelques larmes sans doute
Se mêlant l’air chagrin
A la pluie goutte à goutte.
Il a plu ce matin
Sur les tombes d’en face
De la tienne et soudain
Sur les allées du Montparnasse.
Et j’ai vu ce matin
Quelques larmes sans doute
Se mêlant l’air chagrin
A la pluie goutte à goutte.
Il a plu ce matin
Sur mes joues, sous mes yeux
Mais je sais que demain
Reviendra le ciel bleu.
#358057 La Rivière
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on 19 November 2006 - 10:51 PM
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Ecoutez c’est l’histoire
D’une très vieille rivière
Qui par tristesse un soir
S’est jetée dans la mer.
D’amour fou elle aimait
Un ruisseau plus vieux qu’elle
Asséché, gros et laid
Mais la vie, si cruelle
Elle voulu se noyer
Dans ses bras, dans ses veines
Comme les plages en été
Sur les bords de la Seine.
Et de peur d’être veuve
Avant l’heure des prières
Se prenant pour un fleuve
Se jeta dans la mer.
D’une très vieille rivière
Qui par tristesse un soir
S’est jetée dans la mer.
D’amour fou elle aimait
Un ruisseau plus vieux qu’elle
Asséché, gros et laid
Mais la vie, si cruelle
Elle voulu se noyer
Dans ses bras, dans ses veines
Comme les plages en été
Sur les bords de la Seine.
Et de peur d’être veuve
Avant l’heure des prières
Se prenant pour un fleuve
Se jeta dans la mer.
#357917 L’horizon Sur L’eau
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on 19 November 2006 - 10:23 AM
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Se réveille l’ho
L’horizon soudain
Sur les traits marins
Des reflets de l’eau.
Et remonte l’ho
L’horizon sans fin
Aux cieux aériens
Qu’on voit tout là haut.
Et doucement l’ho
L’horizon rejoint
Ces estuaires au loin
En ne disant mot.
Puis se couche l’ho
L’horizon enfin
Sur les traits éteints
Des reflets de l’eau.
Mais reviendra l’ho
L’horizon demain
Sur les traits marins
Des reflets de l’eau.
Oui reviendra l’ho
L’horizon demain
Sur les traits marins
Des reflets de l’eau.
L’horizon soudain
Sur les traits marins
Des reflets de l’eau.
Et remonte l’ho
L’horizon sans fin
Aux cieux aériens
Qu’on voit tout là haut.
Et doucement l’ho
L’horizon rejoint
Ces estuaires au loin
En ne disant mot.
Puis se couche l’ho
L’horizon enfin
Sur les traits éteints
Des reflets de l’eau.
Mais reviendra l’ho
L’horizon demain
Sur les traits marins
Des reflets de l’eau.
Oui reviendra l’ho
L’horizon demain
Sur les traits marins
Des reflets de l’eau.
#357618 Des Blessures
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on 16 November 2006 - 11:00 PM
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Citation (DJ-b. @ Nov 16 2006, 10:38 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Bonsoir Sébastien
Tu nous reviens en belle borme!
Le musicien que je suis, malgré
Tout te soutiendra.
dj
Tu nous reviens en belle borme!
Le musicien que je suis, malgré
Tout te soutiendra.
dj
En belle borme, le rhube t'aurait-il emporté ?
Merci en tout cas, même si je délaisse un peu guitare et piano pour l'écriture
de mon roman, il m'arrive de gratouiller encore un peu mes petites chansons.
Amitiés,
Sébastien
