Grand vertige que celui de se faire foutre dans ses seins, et dans le trou du Père et de la Mère! Béatitude, suplice, incomparable chasteté de la vierge! une petite lèvre frissonnante à l'horizon, et qui par sa sensualité et son innacessibilité limite ma risible existence, mélodie concubine de ta bouche, toutes ces choses seignent par moi, ou je les cruxifie en elles (car dans la connerie de l'egocentrisme, le moi se perd vite!); elles me singe, que dis-je, chanson d'inceste, cacophoniquement et nudistement, sans habits, sans culotte, avec séductions.
Toutefois, ces désirs, qu'ils acouchent de moi ou violent des femmes, deviennent bientôt trop intenses. L'énergie dans la transe crée un malaise et une monté nirvanesque. Mes nerfs si tendus me donnent, et poilus, des vibrations criardes et sataniques.
Et maintenant la profondeur de sa chatte me consterne; sa limpidité m'exite. Le charme de la mère, l'attrayant spectacle, m'embrase... Ah! faut-il éternellement jouir, ou désirer éternellement le beau? Mère Nature, enchanteresse si délicieuse, muse toujours soumise, caresse-moi! Tirgresse vante mes désirs et mon orgueil! L'étude du sein est un orgasme où l'artiste crie de bonheur sans dêtre déçu.
Edited by emy_magique, 26 August 2006 - 07:45 PM.