Remerciant le jour de figer son sort
Le géant qui aurait aimé danser
Murmure aux feuilles fatiguées
Ses dernières volontés
Comme un marionnettiste sans fils
Fait valser ses poupées aux veines chlorophylles
Se jettant alors aux vents
Et dans leur chute désirant
l’attention d’un regard absent
Le spectacle silencieux et tragique
D’une incomprise fin poétique
Edited by Tatenka, 02 June 2006 - 03:08 PM.