monsieur farid
pour avoir des amis il faut savoir se les faire
on en trouve souvent des faux quand on ne fait rien pour les connaitre
ton commentaire sur la reponse d'alba est insipide pour ne pas dire indecent
garde ton espace bien a toi
tu ne fais pas partie des etoiles que je contemple le soir
tu m'as plutot l'air de ressembler à un trou noir
garde tes commentaires et fait comme l'etoile filante
PASSE TON CHEMIN
tu n'as rien a voir sur notre planete
au plaisir
jean claude
jc-blondel's Content
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#363357 Alfred L'epouvantail
Posted by
on 18 December 2006 - 09:47 PM
in
Salon de publication principal
#363115 Muses
Posted by
on 14 December 2006 - 05:12 PM
in
A corriger
bonsoir jahhel
le rondeau est un poeme qui s'écrei normalement en 8 pieds sur deux rmies
sous la forme
AABBA-AAB+REF-AABB+REF
le refrain est les premier mots du premier vers
pour t'aider ronsard marot et du bellat voir d'aubigny en ont écrit plusieurs
pour ma part je prefere le rondeau redouble
sinon pour ce genre de poeme il faut eviter les alexandrins car il sonnent mal dans ce genre de poeme
je n'ai pas d'exemple sous la main mais je vais en chercher
si ca peut t'aider
amicalement
jean claude
le rondeau est un poeme qui s'écrei normalement en 8 pieds sur deux rmies
sous la forme
AABBA-AAB+REF-AABB+REF
le refrain est les premier mots du premier vers
pour t'aider ronsard marot et du bellat voir d'aubigny en ont écrit plusieurs
pour ma part je prefere le rondeau redouble
sinon pour ce genre de poeme il faut eviter les alexandrins car il sonnent mal dans ce genre de poeme
je n'ai pas d'exemple sous la main mais je vais en chercher
si ca peut t'aider
amicalement
jean claude
#363089 Alfred L'epouvantail
Posted by
on 14 December 2006 - 03:01 PM
in
Salon de publication principal
alba c'est vrai que son compagnon n'est pas non plus
tu pourrai le mettre sous ton sur le site
il en vaut la peine
amities
tu pourrai le mettre sous ton sur le site
il en vaut la peine
amities
#363088 Je Serai Le Pemier Madame
Posted by
on 14 December 2006 - 02:59 PM
in
Salon de publication principal
merci michel
de tes coups de main
et d'avoir apprecié ce texte
amicalement
jean claude
merci paname
tu sais l'écriture marche bien quand la tete va bien, les coups durs de la vie ebranle souvent plus qu'il n'y parait
mais le l'ecriture pour moi est un jeu et quand on joue on essaye de bien jouer comme une partie de belote
en tous cas merci pour ce commentaire
ne t'inquiete pas j'ai de nouveau taillé mon crayon et ca repart de plus belle
a bientot pour une nouvelle partie
amicalement
jean claude
de tes coups de main
et d'avoir apprecié ce texte
amicalement
jean claude
merci paname
tu sais l'écriture marche bien quand la tete va bien, les coups durs de la vie ebranle souvent plus qu'il n'y parait
mais le l'ecriture pour moi est un jeu et quand on joue on essaye de bien jouer comme une partie de belote
en tous cas merci pour ce commentaire
ne t'inquiete pas j'ai de nouveau taillé mon crayon et ca repart de plus belle
a bientot pour une nouvelle partie
amicalement
jean claude
#363075 Alfred L'epouvantail
Posted by
on 14 December 2006 - 01:41 PM
in
Salon de publication principal
merci alba
tu as raison je vais revenir à la troisieme personne
c'est pas plus mal
quand au lecture alfred est un bonhomme en paille met chez elle
pour garder sa porte
amities
jean claude
tu as raison je vais revenir à la troisieme personne
c'est pas plus mal
quand au lecture alfred est un bonhomme en paille met chez elle
pour garder sa porte
amities
jean claude
#362991 Je Serai Le Pemier Madame
Posted by
on 14 December 2006 - 12:51 AM
in
Salon de publication principal
tiens c'est bizarre
moi aussi j'ai toujours Aimee ma muse depuis longtemps
amities
jean claude
moi aussi j'ai toujours Aimee ma muse depuis longtemps
amities
jean claude
#362956 Je Serai Le Pemier Madame
Posted by
on 13 December 2006 - 10:36 PM
in
Salon de publication principal
merci felicie
d'etre passee et je suis content que tu as aimee
amities
jean claude
d'etre passee et je suis content que tu as aimee
amities
jean claude
#362944 Je Serai Le Pemier Madame
Posted by
on 13 December 2006 - 09:51 PM
in
Salon de publication principal
JE SERAI LE PREMIER MA DAME
Je viendrai bousculer l’ennui
Qui remplit ce cœur de femme
Pour chahuter vos interdits
Je serai le premier Ma dame.
Sans regret et sans amalgame
Dans ma course vers l’infini
Dans vos nuits je le proclame
Je viendrai bousculer l’ennui.
En vous caressant l’envie
Sans goûter a ces mélodrames
Je chasserai tout ce souci
Qui rempli ce cœur de femme.
Je ne prierai pas Notre Dame
Pour les assouvir mes envies
J’approcherai de vous ma dame
Pour chahuter vos interdits.
Jamais nous connaîtrons l’oubli
Sur les chemins jusqu'à Bergame
Je serai là mais chaque nuit
Je serai le premier, Madame.
De nos amours en filigrane
Sur des lignes papier jauni
Je t’enverrai un télégramme
Avec la passion tout est permis
Je viendrai bousculer l’ennui.
jc blondel
Je viendrai bousculer l’ennui
Qui remplit ce cœur de femme
Pour chahuter vos interdits
Je serai le premier Ma dame.
Sans regret et sans amalgame
Dans ma course vers l’infini
Dans vos nuits je le proclame
Je viendrai bousculer l’ennui.
En vous caressant l’envie
Sans goûter a ces mélodrames
Je chasserai tout ce souci
Qui rempli ce cœur de femme.
Je ne prierai pas Notre Dame
Pour les assouvir mes envies
J’approcherai de vous ma dame
Pour chahuter vos interdits.
Jamais nous connaîtrons l’oubli
Sur les chemins jusqu'à Bergame
Je serai là mais chaque nuit
Je serai le premier, Madame.
De nos amours en filigrane
Sur des lignes papier jauni
Je t’enverrai un télégramme
Avec la passion tout est permis
Je viendrai bousculer l’ennui.
jc blondel
#362943 Alfred L'epouvantail
Posted by
on 13 December 2006 - 09:46 PM
in
Salon de publication principal
ALFRED L’EPOUVANTAIL
Il passe Ses printemps dans le milieu des prés
Solide dans le vent imposant sa stature
Repoussant les oiseaux tentés par l’aventure
De venir picorer quelques graines de blé.
Il reste là l’été protégeant de son ombre
Les épis ballottés par tous les vents marins
Qui venaient de la mer par un autre chemin
Lorsque l’horizon gris dépêche sa pénombre.
Mais l’automne déjà s’avance dans le noir
Les moissons l’ont enfin relevé de sa garde
Et dès le soir venu dans le soleil qui tarde
Il envie les saisons qui distillent l’espoir.
La neige a recouvert de son triste éventail
Tous les arides prés qui faisaient sa mission
Sous l’arbre de noël il trouve une maison
Un endroit pour Alfred, Alfred l’épouvantail.
jc blondel
Il passe Ses printemps dans le milieu des prés
Solide dans le vent imposant sa stature
Repoussant les oiseaux tentés par l’aventure
De venir picorer quelques graines de blé.
Il reste là l’été protégeant de son ombre
Les épis ballottés par tous les vents marins
Qui venaient de la mer par un autre chemin
Lorsque l’horizon gris dépêche sa pénombre.
Mais l’automne déjà s’avance dans le noir
Les moissons l’ont enfin relevé de sa garde
Et dès le soir venu dans le soleil qui tarde
Il envie les saisons qui distillent l’espoir.
La neige a recouvert de son triste éventail
Tous les arides prés qui faisaient sa mission
Sous l’arbre de noël il trouve une maison
Un endroit pour Alfred, Alfred l’épouvantail.
jc blondel
#362307 Quelque Part
Posted by
on 09 December 2006 - 02:48 PM
in
Salon de publication principal
merci du passage
amicalement
jean claude
amicalement
jean claude
#362221 Vielles Blessures
Posted by
on 08 December 2006 - 10:09 PM
in
Salon de publication principal
merci
amities
jean claude
amities
jean claude
#362199 Quelque Part
Posted by
on 08 December 2006 - 07:38 PM
in
Salon de publication principal
merci alba
pour ce gentil commentaires
amities
jean claude
pour ce gentil commentaires
amities
jean claude
#362195 Vielles Blessures
Posted by
on 08 December 2006 - 07:24 PM
in
Salon de publication principal
VIEILLES BLESSURES
L’amour fait quelquefois de vilaines blessures
Il marque à tout jamais nos petits cœurs meurtris
A braver les humeurs de tristes interdits
Qui laissent sur nos corps de sordides morsures.
L’âme ne retient pas les anciennes cassures
Qui cicatriseront dans le noir de nos nuits
Nos rêves désormais s’estomperont sans bruit
En espérant déjà, qu’au jour, ils nous rassurent.
Amours des temps anciens ne venez pas ouvrir
Le livre du malheur, des mornes souvenirs,
Pour cacher le soleil par de sombres nuages.
Fissures calfeutrées d’un songe éparpillé
Ne venez pas ternir le plus beau des présages
Car l’amour reviendra dans mon cœur délaissé.
jc-blondel
L’amour fait quelquefois de vilaines blessures
Il marque à tout jamais nos petits cœurs meurtris
A braver les humeurs de tristes interdits
Qui laissent sur nos corps de sordides morsures.
L’âme ne retient pas les anciennes cassures
Qui cicatriseront dans le noir de nos nuits
Nos rêves désormais s’estomperont sans bruit
En espérant déjà, qu’au jour, ils nous rassurent.
Amours des temps anciens ne venez pas ouvrir
Le livre du malheur, des mornes souvenirs,
Pour cacher le soleil par de sombres nuages.
Fissures calfeutrées d’un songe éparpillé
Ne venez pas ternir le plus beau des présages
Car l’amour reviendra dans mon cœur délaissé.
jc-blondel
#362192 Quelque Part
Posted by
on 08 December 2006 - 07:19 PM
in
Salon de publication principal
QUELQUE PART
Quelque part il existe au fond de ma mémoire
Un jardinet secret, drôle de territoire
Où vont se chamailler dans la langueur des nuits
Mes rêves d’autrefois et mes vieilles amours.
Restera-t-il debout au fil de mon histoire
Ce vieux château branlant futile et dérisoire
Où ces belles venaient à la tombée du jour
Ecoutez mes chansons de triste troubadour.
La brune aux yeux marrons, la blonde au regard vert
Resteront à jamais dans mes songes d’hier
Occupant sans regret dans un coin de ma tête
L’espace réservé des rendez-vous de fête.
Amour d’un seul matin, colère d’un jour noir
Dans mon âme il y a toujours un peu l’espoir
De trouver le chemin qui mène à la tendresse
La maison du bonheur où se niche ma princesse.
Quelque part il existe au fond de ma mémoire
Un jardinet secret, drôle de territoire
Où se sont réunis lorsque la nuit chancelle
Mes amours d’autrefois et ma reine si belle.
jc-blondel
Quelque part il existe au fond de ma mémoire
Un jardinet secret, drôle de territoire
Où vont se chamailler dans la langueur des nuits
Mes rêves d’autrefois et mes vieilles amours.
Restera-t-il debout au fil de mon histoire
Ce vieux château branlant futile et dérisoire
Où ces belles venaient à la tombée du jour
Ecoutez mes chansons de triste troubadour.
La brune aux yeux marrons, la blonde au regard vert
Resteront à jamais dans mes songes d’hier
Occupant sans regret dans un coin de ma tête
L’espace réservé des rendez-vous de fête.
Amour d’un seul matin, colère d’un jour noir
Dans mon âme il y a toujours un peu l’espoir
De trouver le chemin qui mène à la tendresse
La maison du bonheur où se niche ma princesse.
Quelque part il existe au fond de ma mémoire
Un jardinet secret, drôle de territoire
Où se sont réunis lorsque la nuit chancelle
Mes amours d’autrefois et ma reine si belle.
jc-blondel
#361301 Amertume
Posted by
on 04 December 2006 - 01:37 PM
in
Salon de publication principal
merci pour ce bonsoir anne
amities
jean claude
amities
jean claude
#361299 Par Un Coup De Crayon
Posted by
on 04 December 2006 - 01:35 PM
in
Salon de publication principal
merci anne d'etre passee
amities
jean claude
amities
jean claude
#361197 Amertume
Posted by
on 03 December 2006 - 09:39 PM
in
Salon de publication principal
AMERTUME
Dans l'espace incongru quand trône le naufrage
Le plaisir est parfois le risque que l'on prend
Dans l'ombre de ces soirs où personne n'attend
De vivre dans un lit cet unique voyage.
Ô belle sans amour, ô belle sans image
Qu'il est bon de jouer sur vos rivage doux
Votre corps, vos appas nous seront les plus fous
Quand apparaît la nuit votre charmant visage.
Ô soleil ravagé des espoirs trop volages
Vous faîtes des printemps ce sordide terrain
Où le plaisir se perdra dans d'horribles destins
Quand le désir se meurt pour faute de partage.
Silences camouflés revenus d'un autre âge
Ces sublimes passions, ces bonheurs sans répit
Que l'amour délaissa dans le gouffre à soucis
Car il ne saura plus vous rendre cet hommage.
Tendresses d'autrefois, ô caresses d'hier
Vous semblez désertées notre douce aventure
Princesse vous avez dans votre chevelure
Le pavillon trop noir de nos rêves d'enfer.
jc blondel
Dans l'espace incongru quand trône le naufrage
Le plaisir est parfois le risque que l'on prend
Dans l'ombre de ces soirs où personne n'attend
De vivre dans un lit cet unique voyage.
Ô belle sans amour, ô belle sans image
Qu'il est bon de jouer sur vos rivage doux
Votre corps, vos appas nous seront les plus fous
Quand apparaît la nuit votre charmant visage.
Ô soleil ravagé des espoirs trop volages
Vous faîtes des printemps ce sordide terrain
Où le plaisir se perdra dans d'horribles destins
Quand le désir se meurt pour faute de partage.
Silences camouflés revenus d'un autre âge
Ces sublimes passions, ces bonheurs sans répit
Que l'amour délaissa dans le gouffre à soucis
Car il ne saura plus vous rendre cet hommage.
Tendresses d'autrefois, ô caresses d'hier
Vous semblez désertées notre douce aventure
Princesse vous avez dans votre chevelure
Le pavillon trop noir de nos rêves d'enfer.
jc blondel
#361195 Par Un Coup De Crayon
Posted by
on 03 December 2006 - 09:36 PM
in
Salon de publication principal
PAR UN COUP DE CRAYON
Par un coup de crayon il fait naître une esquisse
Façonnant sur la toile un monde bien à lui
Il y met ses couleurs, tous ses rêves enfuis
Ses souvenirs d'antan et, seul, son pinceau glisse.
Il use d'un dessin pour charmer le regard.
Il se sert d'un tableau pour colorer son ciel.
Il décide des traits qui seront éternels
Car ils seront poser sur sa toile, sans fard.
Il crée comme il le veut, se joue de mille teintes,
Il y met ses bonheurs, il étale ses plaintes,
Sa palette lui sert pour donner sa lumière
Qui seule éclairera ceux qui vivent derrière.
Chez lui, voici ses mots, ils ne sont que dessins
Qui vous raconteront son espace, son temps,
Ils nous diront plus tard je vous le disais bien
Que s'écoule le temps printemps après printemps.
Dans cent ans qui le sait son superbe message
Ira vers nos enfants attestant son passage.
Il nous aura laisser, à nous monde qui passe
Sur son joli dessin sa marque à lui, sa trace.
jc blondel
Par un coup de crayon il fait naître une esquisse
Façonnant sur la toile un monde bien à lui
Il y met ses couleurs, tous ses rêves enfuis
Ses souvenirs d'antan et, seul, son pinceau glisse.
Il use d'un dessin pour charmer le regard.
Il se sert d'un tableau pour colorer son ciel.
Il décide des traits qui seront éternels
Car ils seront poser sur sa toile, sans fard.
Il crée comme il le veut, se joue de mille teintes,
Il y met ses bonheurs, il étale ses plaintes,
Sa palette lui sert pour donner sa lumière
Qui seule éclairera ceux qui vivent derrière.
Chez lui, voici ses mots, ils ne sont que dessins
Qui vous raconteront son espace, son temps,
Ils nous diront plus tard je vous le disais bien
Que s'écoule le temps printemps après printemps.
Dans cent ans qui le sait son superbe message
Ira vers nos enfants attestant son passage.
Il nous aura laisser, à nous monde qui passe
Sur son joli dessin sa marque à lui, sa trace.
jc blondel
#358905 Un Jour Qui Part
Posted by
on 23 November 2006 - 02:58 PM
in
Salon de publication principal
merci deirdre
pour ce coup de main
je prends tes correctiona a mon comptes
amities
jean claude
pour ce coup de main
je prends tes correctiona a mon comptes
amities
jean claude
#358817 Un Jour Qui Part
Posted by
on 22 November 2006 - 10:17 PM
in
Salon de publication principal
merci anne
amities
jean claude
amities
jean claude
#358816 Dernier Tour De Piste
Posted by
on 22 November 2006 - 10:16 PM
in
Salon de publication principal
merci alba, dolce, bohemia,melancolique,anne et missix
d'avoir fait avec moi ce tour de piste
dans un monde ou l'illusion
comme chez nous les poetes
fait partie du voyage
amities à tous et toutes
jean claude
d'avoir fait avec moi ce tour de piste
dans un monde ou l'illusion
comme chez nous les poetes
fait partie du voyage
amities à tous et toutes
jean claude
#358682 Un Jour Qui Part
Posted by
on 22 November 2006 - 05:11 PM
in
Salon de publication principal
UN JOUR QUI PART
Lorsque mes yeux le soir, fouillent le crépuscule
Je me mets à rêver à un autre univers
Un fil imaginaire où je marche à l’envers
Faisant des petits pas comme un vieux somnambule.
Dans les mauves couleurs des ombres ridicules
Se disputent le feu de ce soleil d’enfer
En s’amusant du flou de tous ces jeux pervers
Qui flirtent quand la nuit revient en majuscule.
Fantôme du moment tu te moques du temps
Tu le mets aux rancards de tes anciens printemps
Tu clos le jour enfui, simplement tu l’effaces.
L’éternelle lenteur des heures qui s’en vont
Qui laisseront demain récupérer la place
Désertée par l’instant qui part sous l’horizon.
jc blondel
Lorsque mes yeux le soir, fouillent le crépuscule
Je me mets à rêver à un autre univers
Un fil imaginaire où je marche à l’envers
Faisant des petits pas comme un vieux somnambule.
Dans les mauves couleurs des ombres ridicules
Se disputent le feu de ce soleil d’enfer
En s’amusant du flou de tous ces jeux pervers
Qui flirtent quand la nuit revient en majuscule.
Fantôme du moment tu te moques du temps
Tu le mets aux rancards de tes anciens printemps
Tu clos le jour enfui, simplement tu l’effaces.
L’éternelle lenteur des heures qui s’en vont
Qui laisseront demain récupérer la place
Désertée par l’instant qui part sous l’horizon.
jc blondel
#358674 Dernier Tour De Piste
Posted by
on 22 November 2006 - 05:05 PM
in
Salon de publication principal
DERNIER TOUR DE PISTE
Derrière les créneaux d’un vieux château sans age
Le cirque ce matin a sorti ses tréteaux,
Planté quelques piquets, monté son chapiteau,
Remplaçant le marché sur la place au village.
Sous la toile du toit un homme au balancier
A tendu son filin préparant son passage
Tandis que le jongleur dépose son bagage
Pour les faire voler ses quilles en acier.
Voilà l’animalier le chien et sa baballe
Répétant sans souci leur joyeux numéro
Alors que le dompteur astique ses cerceaux
Pour promener ses lions, ses fauves en balade.
Le trapèze lancé la belle trapéziste
Voyage dans les bras de ses beaux voltigeurs
Au dessus d’un filet peut être salvateur
Dans le pire des cas, la chute de l’artiste.
Ensuite les lapins du vieil illusionniste
S’évadent du chapeau débordant de foulards
Alors qu’un bel oiseau s’envole par hasard
Pour aller se poser dans la main d’un touriste.
Les doigts énervés de l’accordéoniste
Annonce l’arrivée sur le sable et la chaux
De trois chevaux lancés dans un fougueux galop
Avec leurs cavaliers et leurs équilibristes.
Voici venir le clown le dernier de la liste
Il est là simplement pour faire rigoler
Les enfants les parents sur les gradins tassés
Avant de refermer le livre de la piste.
Le spectacle est fini le rideau va tomber
Le cirque dès demain sera seul sur la route
Pour amuser qui sait d’autres enfant sans doute
Au hasard d’un chemin dans sa folle tournée.
jc blondel
Derrière les créneaux d’un vieux château sans age
Le cirque ce matin a sorti ses tréteaux,
Planté quelques piquets, monté son chapiteau,
Remplaçant le marché sur la place au village.
Sous la toile du toit un homme au balancier
A tendu son filin préparant son passage
Tandis que le jongleur dépose son bagage
Pour les faire voler ses quilles en acier.
Voilà l’animalier le chien et sa baballe
Répétant sans souci leur joyeux numéro
Alors que le dompteur astique ses cerceaux
Pour promener ses lions, ses fauves en balade.
Le trapèze lancé la belle trapéziste
Voyage dans les bras de ses beaux voltigeurs
Au dessus d’un filet peut être salvateur
Dans le pire des cas, la chute de l’artiste.
Ensuite les lapins du vieil illusionniste
S’évadent du chapeau débordant de foulards
Alors qu’un bel oiseau s’envole par hasard
Pour aller se poser dans la main d’un touriste.
Les doigts énervés de l’accordéoniste
Annonce l’arrivée sur le sable et la chaux
De trois chevaux lancés dans un fougueux galop
Avec leurs cavaliers et leurs équilibristes.
Voici venir le clown le dernier de la liste
Il est là simplement pour faire rigoler
Les enfants les parents sur les gradins tassés
Avant de refermer le livre de la piste.
Le spectacle est fini le rideau va tomber
Le cirque dès demain sera seul sur la route
Pour amuser qui sait d’autres enfant sans doute
Au hasard d’un chemin dans sa folle tournée.
jc blondel
#358188 La Couleur Des Mots
Posted by
on 20 November 2006 - 02:04 PM
in
Salon de publication principal
c'est sympa de voir revenir la poesie classique sur le site
bravo pour ce premier sonnet anne
amities
jean claude
bravo pour ce premier sonnet anne
amities
jean claude
#357393 Le Peintre Des Mots
Posted by
on 15 November 2006 - 02:44 PM
in
Salon de publication principal
merci melancolique
pour ce passage et cette lecture
amities
jean claude
pour ce passage et cette lecture
amities
jean claude
