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#361946 La Dinde Dit à Dindon

Posted by Natacha2006 on 07 December 2006 - 03:24 PM in Salon de publication principal

Citation (Alba @ Dec 7 2006, 09:20 AM) <{POST_SNAPBACK}>
exercice fort difficle,
Bravo Marcek



Oui, c'était difficile au possible en effet d'être originale sur ce thème, mais tu as parfaitement réussi.

De même que mes congénères, merci de nous avertir...mais si de dindon je transitionne vers la dinde de basse-cour, si je ne me fais pas manger à Noël, je me fais manger à Pâques ? Pourquoi attendre, mangez-moi.

Mille Amitiés,

Natacha.



#361264 C'était, Chaud, Cet Amour Doucement ...

Posted by Natacha2006 on 04 December 2006 - 10:54 AM in Salon de publication principal

j'aime beaucoup, bravo.



#361071 Les Pas Des Remords.

Posted by Natacha2006 on 02 December 2006 - 11:51 PM in Salon de publication principal

Citation (vent @ Nov 27 2006, 09:14 PM) <{POST_SNAPBACK}>
J’entendais souvent les pas des remords derrière
L’envie d’amour qui fuyait nue chaque moment
Que j’accordais béant à l’ampleur du sentiment.

Je cherchais vaillamment mon âme débonnaire
Entre leurs galops pour l'accoler avant sa chute
Aux creux des sommes qui refoulaient ma lute.

Le chemin qu’ils sillonnaient fortement austères
Finissait souvent noir sous le rideau de la nuit
Qui recelait l’effort générant les saillants bruits.

L’allure qu’ils multipliaient avant les douaires,
Sur leur aspérité, se redessinait belle et rebelle,
Et la lenteur sous leurs pieds clopinait vénielle

Pour épouser le naissant silence d’un autre air.
J’entendais souvent les hurlements des morts
Qui, sous leurs tombes recherchaient l’accord

Rechignant l’harmonie qui pourrait leur plaire.
Je recherchais hardiment ma pensée en l’hadal
Des bruits qui se taisaient avec la chute sidérale

Pour percer leurs morts d’une vision prolifère,
Mais je m’heurtais souvent tremblotant de peur
Face au néant vibrant tout autour des clameurs,

Qui résonnaient stridentes devant mes repères,
Et entre les pieds des résipiscences mordantes
Je cherchais mon allure pour clore la descente.

Ils me Rattrapaient souvent ces remords derrière
L’envie d’amour qui fuyait nue chaque moment
Que j’accordais béant à l’ampleur du sentiment,

Pour épouser le naissant silence d’un autre air,
mais je criais à ma manière ma mort et ces morts
Qui, sous leurs tombes recherchaient l’accord.
moi farid khenat en solitaire.

" je ne laisserai personne continuer la course avec ce que j'écrirai.
je reprends ma solitude et bon ou mauvais ça n'engage que ma personne
merci "

moi farid khenat en solitaire.



n'aurions-nous pas pu, ami, unir nos solitudes mortifères, du moins en pensée ?



#361070 Qu’étais-je ! Ce Garçon De Dix-huit Ans,

Posted by Natacha2006 on 02 December 2006 - 11:48 PM in Salon de publication principal

Citation (Remo @ Nov 28 2006, 10:29 PM) <{POST_SNAPBACK}>
c'est là tout le problème du collage, c'est que le Bernardo colle aussi la ponctuation. Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un foutage de gueule, je crois plutôt que c'est de la non compréhension, ou plutôt de la non-assimilation. Il est un peu comme le type qui se dit qu'il doit courrir trois cent mètres , bon, il y a un mur sur le parcours, eh ben il ne va pas le contourner, il foncera dedans jusqu'à ce que mort s'ensuive. (c'est souvent le mur qui gagne dans ces cas là)



Pour Remo, si tu me lis :

Ami critique et lecteur, on est amis si tu veux pas de problème, tes avis d'expert m'aideraient sûrement à perfectionner ma technique, qui n'est pas, je l'avoue, la partie de la poésie qui m'interesse le plus, mais qu'il reste indispensable de maîtriser un minimum, ce qui n'est pas mon cas.
Mais en pensant à tes critiques, qui sont parfois acerbes, et pourraient facilement blesser un poête peu sûr de lui, j'ai pensé à un vieux sketch des chevaliers du fiel, le bar-b-Q avec entre beau-frères pour te situer la scène :

au fait : tu connais la différence entre un bon écrivain et un mauvais écrivain ?

euh non ?

ben c'est simple : le bon écrivain, il écrit, le mauvais écrivain, il est prof de lettres !


lol c'est juste une boutade, je ne sais pas si tu es prof de lettres, je n'ai rien contre toi.

Amitiés,

                             Natacha.


PS : Au fait, Bernardo, moi je l'm bien ton texte, sûrement parce que je ne possède pas toutes les réfèrences de nos amis les plus pointilleux, lol.



#361067 Entropie

Posted by Natacha2006 on 02 December 2006 - 11:40 PM in Salon de publication principal

Citation (heloise @ Dec 2 2006, 08:25 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Entre en mon corps où l’ombre
Est Océan
Mords à mes coraux
Comme à mes veines

Nourris ma louve solitude

Ton absence est un blockhaus
Un manteau de soldat
Boueux et transpercé
De six balles de Winchester

Vois ! Mes mains inachèvent
Mes gestes sont lents
Ma chiennerie plus docile
Je ne dîne plus à terre

[L’arbre au dard a courbé
Recourbé écrasé défoncé
Salopé jusqu’au bulbe
L’orchidée silencieuse]


Je ne suis plus ta demeure

Et je n’écris plus

Et je n’écris plus
2 décembre 2006
Dans l’escalier
H pour G



très joli, un peu douloureux peut-être, mais ne faut-il pas des larmes pour la moindre chanson ?



#360703 L'autre Amont

Posted by Natacha2006 on 01 December 2006 - 06:53 AM in Salon de publication principal

L'autre amont :


Le retour est long,

comme un chemin de sable,

une moisson d'épis

seule à la serpe.


La nuit s'entrouvre à nouveau,

c'est la noyade,

le retour du blues.


Une corolle nous parle

de l'univers palpitant

sous les doigts.


Un tête-à-tête,

entretien avec vampire

et migraine conjointement.


Combien dûre la rivière,

se dit le pont qui l'enjambe,

voulant refaire son lacet.


Librement tu peux tout dire,

nul ne t'entend, tu as l'aval

de l'autre amont.


PS : ça ne cadre pas avec l'ensemble, il me semble que ça l'encadre.

Natacha#7 (2001)



#359005 Apocalypse

Posted by Natacha2006 on 24 November 2006 - 12:37 AM in Salon de publication principal

la demi-heure après-minuit est réservée aux bonnes magies,

à onze heures et demi, les morts sont allés au lit,

leurs idées s'effacent de même que leur "poésie",

à cette-heure-ci, seuls les vrais sont debouts,

le triple six est endormi,

il a sombré dans l'aphasie,

et pour les crîmes qu'il a commis,

le maître le rabroue,

de même les mots simples

peuvent être vrais

tandis que vos mots compliqués

partent dans les limbes

pour l'éternité.



iah-hel, je suis de tout coeur avec toi, heureusement nous ne parlons pas pour ceux qui ne veulent pas comprendre, ou alors si, et aimons-nous leurs attaques, est-ce en les subissant que nous les absolvons de leurs impuretés ? s^rement, bon courage à toi ami poête la lutte continue et le peuple uni ne sera jamais vaincu (on va juste se prendre une Apocalypse dans la gueule mais c'est pas grave).



#359004 Très Conne

Posted by Natacha2006 on 23 November 2006 - 11:47 PM in Salon de publication principal

Très conne :

Moi comme
Je suis très conne
lorsque le glas sonne
de nuit ou bien de jour
la fin de l'Homme,
même si la mort me fauche
je suis toujours
la dernière cloche
qui résonne...

Natacha#7



#359001 Ego - Centrisme.

Posted by Natacha2006 on 23 November 2006 - 11:36 PM in Salon de publication principal

"je" est "nous", "nous" est "un", "un" est Bhramman.

Moi comme
Je suis très conne
lorsque le glas sonne
de nuit ou bien de jour
la fin de l'Homme,
même si la mort me fauche
je suis toujours
la dernière cloche
qui résonne...


Natacha#7 j'y suis j'y reste

Amitiés cher iah-hel !



#358844 Mon Chat Qui Pense

Posted by Natacha2006 on 23 November 2006 - 07:37 AM in Salon de publication principal

Très joli, merci pour cette lecture.



#357963 Nocturne à Répétition

Posted by Natacha2006 on 19 November 2006 - 06:00 PM in Salon de publication principal

Citation (Milou @ Nov 19 2006, 05:05 PM) <{POST_SNAPBACK}>
J'avoue m'être perdu, mais c'est un côté psychédélique qui fait son charme.



merci, il est vrai que certains de mes textes racontent des "voyages"...

PS : on peut tripper sans drogue aussi.



#357953 Errances Marines Et Nocturnes

Posted by Natacha2006 on 19 November 2006 - 05:00 PM in Salon de publication principal

Citation (Milou @ Nov 19 2006, 04:56 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Le zéphyr attrayant soufflait seul sur le large
Tandis que les ramages dessinaient le lointain
C’était sur ces pages que s’écrivait la fin.
Ah ! Si sombre destin, qu’est ce triste voyage.

Silence ! L’heure tombait sur le large sillage.
Hécatombe ! La pluie effaçait le chemin,
L’aurore s’immisçait en astre sibyllin,
Puis dans l’horizon, la mer se faisait sage.

Un songe c’était là, le songe d’une nuit,
Quand rêvait le harem, loin de ce lourd ennui,
Quand l'instruit décrivait le passage vers l’île.

Et la neige tombait sur les mers immergées.
C’était là le regard, autrefois inutile,
Qui servait maintenant les nuits maculées.



joli sonnet, merci d'avoir meublé mon ennui dominical.



#357943 Visions Troublée...

Posted by Natacha2006 on 19 November 2006 - 03:30 PM in Salon de publication principal

Citation (iahhel @ Nov 19 2006, 11:56 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Devant moi, le calice,
Repu du sang vicié,
Du vin de tous les vices,
Dont je vais m'enivrer ;

De Sodome à Gomore,
Je titube, ivre mort,
J'éjacule et je pisse,
Dans ce verre de silice.

L'optique de ce récit
Se trouble de l'esprit,
D'une vision rétrécit,
Du Styx au saint esprit ;

Je trinque avec Phlégyas,
M'empiffre de vertu,
Et Ghisolabella,
A moi se prostitue.

Méandres sinueux
De Prières assassines,
Du sang de la victime,
En croix s'écrit Ô Dieu ;

Quelle comédie divine
Cet enfer nous dessine,
Dans l'ombre des caveaux,
Aux bolges en annaux....

Qui m'enfoncent et m'égarent,
Au sarment de la vigne,
Qui me prêche ses égards,
Et me saoul de ses lignes...
iah-hel


Excellent. Veux-tu bien m'aider à saisir tes références stp ? qui étaient "Phlégyas" et "Ghisolabella", et que sont des "bolges" en annaux ?

Grosses Bises.
"



#357918 Nocturne à Répétition

Posted by Natacha2006 on 19 November 2006 - 11:39 AM in Salon de publication principal

Nocturne à répétition :

C'est la nuit sans fin, dévorante,
le funeste destin s'exhale,
fumée d'insectes âcre et piquante,
jaunâtre venin de crotâle.

Flottent dans mon front, ô malchance,
des souvenirs sobrement saoûls,
des mécaniques presque à bout,
déclics tabous et huile rance.

Les ombre de la connaissance
mystique divaguent autour
de la grande absence d'un four
où cuire le bon pain de France.

Car j'ignore, étant futile,
ce qui m'amène à ce désert
des propos et des fins utiles
et des promesses dans les airs.

Mais cet amour-là qui résonne
n'est jamais advenu, tu sais,
me dis-je (because I feel so alone)
le sang coulait sans qu'on essaie.

Abstinence, dans ma retraite,
la nuit se fait jour, noir et sourd
car l'amadou et le salpêtre
l'ont dépouillée de ses atours.

Une lueur bleue s'abandonne
au gré de l'onde énergie,
coulent les yeux de la Madonne,
dehors l'orage gronde et jouit.

Ce spasme suit un frisson
de la matrice originelle,
grande mère des déraisons,
amour la volage hirondelle

N'a pour but qu'un tour de la vouivre
sur elle-même, qui me livre
au vide.



#357815 La Rue Qui Me Parle De Toi

Posted by Natacha2006 on 18 November 2006 - 01:26 PM in Salon de publication principal

Citation (bibi @ Nov 18 2006, 12:39 AM) <{POST_SNAPBACK}>
La rue qui me parle de toi,
me parle du quotidien,
et me parle au quotidien
avec ses panneaux publicitaires,
ses enseignes colorés,
ses noms sympathiques
des autres rues transversales,
ses numéros de téléphone,
ses portails entre-ouverts,
ses portes aux visages gais,
ses fenêtres au sourire invitant,
ses voitures qui rouspètent
et vous passent et dépassent,
tous ses visages anonymes
qui ne vous dit rien,
et vous bousculent.
Mais le soir tombé,
calme elle me montre
au miroir des yeux de l'ombre
le clignotement des néons
et m'apprend à compter
le bonheur de chaque vie,
elle me montre aussi le chemin
des étoiles solitaires
qui rêvent à notre bien-être.
Puis elle m'invite aux cabarets
où je prends un verre d'eau-delà,
de rire et d'un peu de tout ce qui est humain.
Quand arrive le moment
de nous séparer l'un de l'autre
tout seul je vais au lit,
j'embrasse mon subconscient,
et je me laisse aller, aller,
aller faire mon rapport à Morphée.
La rue qui me parle de toi,
me parle de tout sans toi.

bibi 2006


bravo, monsieur Bibi, grand voyant gourou medium guérisseur, bras-droit du Tout-Puissant...Est-ce que tu résous aussi les problèmes d'impuissance masculine ?



#357744 Vitale

Posted by Natacha2006 on 17 November 2006 - 07:44 PM in Salon de publication principal

Vitale :

Vous avez mis mon art
Au cimetierre,
Sachez que je vous pardonne,
Je ne cherche ni or,
Ni blason, ni couronne,
Seulement je suis et ne puis
Faire rien d'autre
Que propager à l'infini
Le souffle d'une poésie
Brûlante ou glaciale
Ouverte ou foetale,
Entière et fractale,
Mais surtout Vitale.



#357734 Un Peu De Place

Posted by Natacha2006 on 17 November 2006 - 06:55 PM in Salon de publication principal

Un peu de place (2003) :


Je prends un peu de place,
Je fais un peu de bruit,
Il faut que je m'efface,
Il faut que je m'enfuie.

Combien lâche je suis,
Ca je le sais assez,
On me l'a assez dit,
Je vais pas contester.

Je prends un peu de place,
Je fais un peu de bruit,
Il faut que je m'efface,
Il faut que je m'enfuie.

Je suis mieux à couvert,
J'aim' point trop avoir mal,
Et je veux pour l'hiver
Un gilet pare-balles.

Je prends un peu de place,
Je fais un peu de bruit,
Il faut que je m'efface,
Il faut que je m'enfuie.

J'évite les promesses
Que je ne puis tenir,
J'aimerais que l'on cesse
De lancer des menhirs.

Je prends un peu de place,
Je fais un peu de bruit,
Il faut que je m'efface,
Il faut que je m'enfuie.

Il fallait pas me lire,
Je vous ai pas forçés,
Je peux pas faire pire,
A part continuer.

Je prends un peu de place,
Je fais un peu de bruit,
Il faut que je m'efface,
Il faut que je m'enfuie.

Pardon pour mes délires
Qui n'étaient volontaires,
On peut toujours se taire,
Il fallait pas me lire.

Je prends un peu de place,
Je fais un peu de bruit,
Il faut que je m'efface,
Il faut que je m'enfuie.

Vient toujours le moment
De se dire "au revoir",
J'entends un bruissement
Au delà du brouillard.

Je prends un peu de place,
Je fais un peu de bruit,
Il faut que je m'efface,
Il faut que je m'enfuie.

Moi je voudrais ce soir
Ne pas rentrer trop tard,
Pouvoir dire "bonsoir",
Ne pas être un connard.

Je prends un peu de place,
Je fais un peu de bruit,
Il faut que je m'efface,
Il faut que je m'enfuie.


Natacha



#357707 Intemporel

Posted by Natacha2006 on 17 November 2006 - 05:04 PM in Salon de publication principal

Citation (iahhel @ Nov 17 2006, 03:51 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Dans ce tourbillons d'encre où les âmes s'entremêlent,
Dans cette eau bouillonnante de vie qui déferle,
Mélangeant ceux et celles qui s'épanche en dentelle,
De l'histoire au récit jusqu'à la ritournelle.

Dans ce dédale de mots calligraphiant nos peines,
Marquant tant de questions que nos esprits essaiment,
Joie bonheur et amour coagulent en nos veines,
D'une dolente blessure, viciée par ceux qu'on aime.

cette page retranscrit une fleur de l'esprit,
Qu'en ce lieu j'ai semé et mes maux ont fleuri,
Éclos sur papier lettre pour teinter mon envie ;

Des couleurs de l'instant de pétales alanguis,
Aux fragrances défuntes de la mort qui sourit,
Bernée par cette feinte qu'en pensée l'ont écrit....

iah-hel



très joli sonnet, cher ami, je suis fan et je le reste, bisou.

PS : Je vais le relire souvent, plus on passe de temps dessus meilleur il est, comme toutes les bonnes choses de la vie sûrement...



#357627 Au Début

Posted by Natacha2006 on 17 November 2006 - 06:05 AM in Salon de publication principal

Citation (¤¤¤¤¤ @ Nov 16 2006, 02:58 PM) <{POST_SNAPBACK}>
la paix du christ !
(forcément)
(en gros)



alors Amen, même en Tibétain, la Paix du Christ pour tous. Merci de m'avoir lue.



#357460 Geisha Kage Bunshin (pas Fini)

Posted by Natacha2006 on 16 November 2006 - 12:21 PM in Salon de publication principal

Geisha Kage Bunshin (petit flow pour les fans de Naruto) :

Refrain :

Toi t'es chou, toi t'es chou,
T'as droit au Geisha Kage Bunshin
Et j'te prends tous tes sous.

Couplet :

Toi t'es chou, toi t'es chou,
Mais bien sûr tu domines
Quand j'me mets à genoux
Et que j'courbe l'échine...

Refrain

Couplet :

Même si tu n’es pas beau,
Moi je te donne l’amour
De nuit comme de jour
Et j’ai mon petit cadeau.


(etc : retour sur le refrain, je ferai d'autres couplets)(ça manque de mots je retravaille ça et je l'étoffe si possible)



#357403 Au Début

Posted by Natacha2006 on 15 November 2006 - 06:15 PM in Salon de publication principal

Citation (iahhel @ Nov 15 2006, 02:42 PM) <{POST_SNAPBACK}>
A la fin : (en echos)

Il n'y avais plus rien
plus rien que l'être humain
et une peau de chagrin ;
et ce silence,
inhumain...

La colombe s'est envolée,
le coup de feu l'a fait fuir
et quand l'enfant a regardé,
il était trop tard pour s'enfuir.

Pas de licence pour tout ces mots,
pas d'assonances pour nos maux ;
juste le fracas assourdissant
de la parole d'un innocent.

Il pleut sur ce marécage boueux
ce terrain vague, devenu sinueux ;
plic, ploc, tintements sourd et injurieux
Plic, ploc, la décadence des mots odieux.

Plus de colombe, juste un crapaud vert, gris, qui s'y complaît ;
Il s'est vautré en son bourbier crôôassant dans son complet gris,
la jalousie l'ayant rongé, il cause et balbutie
à cette enclume morose dont il vient de s'accoupler...
iah-hel

lol

j'aime bien ton texte...
il me parle .

bonne continuation.

à te lire

poétiquement

iah-hel



Merci Iah-hel, tu sais je suis déjà une de tes (nombreuses? lol) admiratrices...bas-toi pour diffuser ta poésie.


Citation (¤¤¤¤¤ @ Nov 15 2006, 01:29 PM) <{POST_SNAPBACK}>
tchi tsouk dewa tchenpö p'o drang dou
drinchen tsawai la ma la sölwa deb

pardon ami mais mon tibétain (c quoi cette langue : chinois ?) n'est pas au point, autrement dit j'ai rien compris.



#357382 Au Début

Posted by Natacha2006 on 15 November 2006 - 01:02 PM in Salon de publication principal

Au début :

Tous les moineaux pépient,
Où trouver du silence
En cette après-midi,
Où trouver la licence
"faiseuse de poésie" ?

Si la simple assonance
Pour vous point ne suffit,
Tintement de faïence
Ouvrant son parapluie,
Séduisante nuisance...

Quittant sa léthargie,
Tel l'épervier s'élance
Ce crapaud aux yeux gris
Voulant des aîles blanches
Juste par jalousie.

(Aura-t-il gain de cause,
Ce vieux crapaud morose,
Et verrons-nous des plumes
Pousser sur les enclumes ?)


Natacha 2001



#357264 Hadès...

Posted by Natacha2006 on 14 November 2006 - 05:34 PM in Salon de publication principal

Citation (iahhel @ Nov 14 2006, 05:17 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Hadès....

Le Styx c'est asséché me dis tu... Désastre !
les régions inférieures ne sont plus ce qu'elles étaient !
Comment va Charon Gardien des damnés,
passeur de l'Archéon aussi brûlant qu'un astre ?

Cerbéré trois tête n'a jamais été gardien
d' enfers, garde du 3eme cercle il va et vient.
Il c'est laisser berné par la gourmandise.
Deiphobé et Psyché l'ont piégé à leurs guises!

Il rend compte à Minos et couche devant la porte.
Revenons en au Styx, alimentant Cocyte
au pied de Montgibel par tout ce qu'il apporte :
est il toujours glacé du sang qu'il plébiscite?

Et Phlégias dit moi, pourquoi ne le cite tu pas ?
Phlégias passeur du Styx à l'aube du 5eme cercles
qui dans sa barque amasse les âmes vers le trépas
peut il encore officier aux flammes qui l'encercle?

Quant à la vérité, garde la pour toi.
Je connais des endroits de basse résidence
ou tu n'es point admis rend toi à l'évidence ;
à chacun son emploi ; mais prend garde à tes choix !
Iah-hel


lol lol Iah-hel, pas de pitié pour les rapaillons c klr j'approuve chéri



#357259 Haïku Qui N'est Pas De Moi Et Nocturne à Répétition.

Posted by Natacha2006 on 14 November 2006 - 05:15 PM in Salon de publication principal

Citation (iahhel @ Nov 14 2006, 10:12 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Le principe d'écriture en est le suivant :
un court poeme de 3 vers écrit de la façon suivante 5-7-5 pieds soit 17 pieds ou syllabe au total sans rime...

Ces poemes sont sonvent écrit pour faire apparaitre une emotion ou se traduisent par une image.

Maintenant il y a une autre définition sur wiképédia : plus complète dira t-on :

''Le haïku (俳句), terme créé par Shiki Masaoka (1867-1902), est une forme poétique très codifiée d'origine japonaise, à forte composante symbolique, et dont la paternité est attribuée à Bashō (1644-1694). Il s'agit d'un poème extrêmement bref visant à dire l'évanescence des choses. Encore appelé Haïkaï ( ou hokku son nom d'origine), ce poème comporte traditionnellement trois vers, c'est-à-dire un tercet, formant en tout 17 mores selon un shéma 5, 7 puis 5 mores. Quand on compose un haiku en français on remplace en géneral les mores par des syllabes cependant une syllabe française pouvant contenir jusqu'a trois mores cela donne des poèmes irréguliers.''

voilà voilà.

et bon courage pour ton spectacle...

Iah-hel



Merci pour la théorie et les encouragements je continue ils ont mis ma poésie à la poubelle mais ils ne me feront pas taire



#357230 Haïku Qui N'est Pas De Moi Et Nocturne à Répétition.

Posted by Natacha2006 on 14 November 2006 - 05:45 AM in Salon de publication principal

Citation (comtedormestconti @ Nov 14 2006, 05:00 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Est-ce vraiment un Haiku???
Les regles sont plus complexes que ce tu resumes!

Ton poeme est pour moi juste un poeme libre... dans l'air!
C'est deja pas mal!

rolleyes.gif



lol je ne sais pas je n'ai jamais lu le texte chéri je pose seulement ma main sur la couverture des livres je n'ai plus le temps de les ouvrir

ok pour un poème libre, les seules règles que je connaisse pour le Haïku (tu peux me les enseigner si c pas trop reuch) c 17 syllabes sur 3 vers en prose (pas de rime)...

pffff dans 3 jours je suis au boulot, je vais produire mon propre spectacle je me donne moins d'1 an