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#356366 L'autre Dans La Glace

Posted by Cami on 09 November 2006 - 06:34 AM in de rien

Citation (Gaston Kwizera @ Oct 27 2006, 09:51 AM) <{POST_SNAPBACK}>
thx Salam

ho tu l'as mis ici : cool !
Kiss-kiss !



#353347 Hey Youuu

Posted by Cami on 24 October 2006 - 12:22 PM in Salon de publication principal

Les coulures salines sinuent souvent entre ces seins qu’érige ce certain soleil au croire de la pénombre en contes de fraîcheur, voleurs de soupirs à cœur-chercheurs.
Contraste.
Gouvernemental ?
A la graisse de la Grande Mère comparée en soude germinatrice de genèses explosives se jouie un son récurrent avec des gémissements décidés de métrique. Symphonie bestiale.
Baiser avec la terre.
Ça m’excite trop !
Permission de permutation accordée sur l’angle des sangles virtuelles à l’orbite des giclées vespérales qui cherchent à alunir derrière les tétons de grêle.
Perler la liesse ou parler la laisse.
Ne surtout pas, en tout cas faciliter l’intelligence des choses.
Cette stridence de la chair où espère l’éther des inflexibles mercuriales d’une malédiction sanctifiée en tradition masochiste par phobie du bien ainsi nommé en vue de l’oblation terminale.
La pureté des vierges tueuses.
Sasser sans cesse le sens.                  
Seul le sang est sacré.
Je t’égorgerai bien pour le prouver…
Mais, il est impossible de mettre un préservatif sur les lampadaires, du coup les électrons éjaculent par milliards et par milliards sur les trottoirs abattoirs oeuvrant ainsi à la survie de l’erreur du remplissage total programmé sans le savoir pour la fin et depuis le moindre début.
Je s’oubli et te dis de chanter pour Elle.
Maestria. Anima sola.
Et les flammes…
Les flammes lèchent de plus en plus fort le corps qui ne s’envole plus par rémission des baguettes du Beth-Luis-Nion en toute crémation :
HURLER LE CULTE DU CARNAGE !
Cependant les flammes n’en font qu’à leur tête…
Les flammes ne fanent pas sans eau.
Les flammes fixent fièrement la fin en se pourléchant les babines, par de là le grand gouffre, derrière la forteresse des dents, là où se cachent la langue, instigatrice.
Complexion est aussi son nom.
Toujours aussi con, là se cascade la vérité.
Avec ses mousses en tampax, cette putain de vérité diffuse un soma, invariablement assimilé au coma, qui saigne les oreilles afin de les transformer en anus ou en vagin, toujours vierge.
Oréade de l’air.
Un prout quoi !
Question de fréquence.
A quoi bon valoriser celle-ci ?
La lumière de l’épiderme éclabousse de désirs l’invocation au Sauveur qui n’est autre qu’un mensonge édifiant qui déchaîne tout avant même chaque seconde. Croire corroborer un corridor.
L’étreinte d’une main géante.
Sécurité intense.
Le rictus opère sa mission de possession par le geste, pas de cerveau gauche à faire le reste, car la lune démone l’a déjà mis en transe, il n’est déjà plus lui, peut-être encore elle, qui sait ce qui se trouve entre eux ?
Vous êtes tous en camps de civilisations !
On fait déjà tout de vous !
Tiens, « On » voilà ce que je cherchais.
Quête du on.
Question ?
Mon con oui !
C’est. Les règles rubis de la grammaire inondent le monde vous incitant à une quotidienne libation d’hémoglobine, bien trop alléchante et dispensatrice de fontaine de fric.
On s’en branle, bien sur !
Vous et vos blessures si sûres.
Serrures en fait.
Défoncer devient l’ultime nécessité au dessus des canapés prédicateurs et de vos djihads journaliers.
Allez je vous en prie, prenez donc un autre terroriste s’il vous plait, cela vous fera plaisir je le sais…



#353346 Que Soient Les Flammes !

Posted by Cami on 24 October 2006 - 12:21 PM in Salon de publication principal

sûrement...



#353341 Que Soient Les Flammes !

Posted by Cami on 24 October 2006 - 11:52 AM in Salon de publication principal

HURLER LE CULTE DU CARNAGE !
Cependant les flammes n’en font qu’à leur tête…
Les flammes ne fanent pas sans eau.
Les flammes fixent fièrement la fin en se pourléchant les babines, par de là le grand gouffre, derrière la forteresse des dents, là où se cachent la langue, instigatrice.
Complexion est aussi son nom.
Toujours aussi con, là se cascade la vérité.
Avec ses mousses en tampax, cette putain de vérité diffuse un soma, invariablement assimilé au coma, qui saigne les oreilles afin de les transformer en anus ou en vagin, toujours vierge.
Oréade de l’air.
Un prout quoi !
Question de fréquence.



#342535 Joint

Posted by Cami on 06 September 2006 - 07:41 AM in Salon de publication principal

INSECTERE



#342322 Joint

Posted by Cami on 05 September 2006 - 12:12 PM in Salon de publication principal

SI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
LES LUTINS EXISTENT!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!



#342280 Joint

Posted by Cami on 05 September 2006 - 08:02 AM in Salon de publication principal

Du purgatoire,
Se secrète le sang mêlé au vin.
A la totalité de l’inconscient,
Elles disent qu’une lueur brille à chaque émergence.
Il s’agit respectivement du passage des premiers et du passage des derniers.
Autant de clartés clignotantes,
A première vue,
Pour les unes caricaturées et pour les autres en voie d’extinction.
Il faut rendre les deux yeux,
A la vie,
A la mort,
Sans attendre des deux côtés de la porte.
Des graines de rien ruissellent,
Insaisissables,
Entre nos mains.
Pas de schizogènie à l’éclosion des néons,
Mais la régulation au fin fond du couloir,
Sans noir à définir.
Persiste, alors, les signes qui naissent en abondance,
Car leur sage femme est une muselière.



#331257 St Etienne D'issensac

Posted by Cami on 26 June 2006 - 06:30 AM in Salon de publication principal

D'un pont, à vrai dire :



#327683 St Etienne D'issensac

Posted by Cami on 07 June 2006 - 09:07 PM in Salon de publication principal

http://forum.toutela...0-Fils-pute.htm



#327274 St Etienne D'issensac

Posted by Cami on 06 June 2006 - 08:43 AM in Salon de publication principal

Bynu mat dino diom !



#325066 St Etienne D'issensac

Posted by Cami on 25 May 2006 - 08:40 PM in Salon de publication principal

__________________________________________________________
Je défile sous le ruban de poussières dorées, tressé à celui du saphir.
__________________________________________________________

Mon chapeau de cow-boy en paille noire a demandé la permission ombrée au très, très, très brûlant.

------------------Le miroir de mes rêves au bout de l’horizon----------------------

Déjà, la transpiration m’accorde la patience et sa prescience………. Salines...
……………. Perles……….. L’échantillon…………….. De la notre, note, turquoise……………………………………………………………………….

_______________________________________________________________________________
A la frontière du sable, je dépose mes habits : Moitié/Moi, Moitié/Ecume, moite du presque câlin des vagues._______________________________________________________________________________

D’un des baisers déroulants, ma nage La jubile donc je jouie des lacets embrassant la merveille sous-marine, la souple surface et les coucou-soupirs du ciel.

----------------------- Me devoir à l’attraction des falaises--------------------------

……… J’attends…………. Les coups de flots……. L’un d’eux me jette……
A mes mains de saisir la crinière des algues grimpantes……………………...
… Révélées à l’alternance……………………………………………………..

______________________________________________________________________
A quatre pattes, s’axe l’issue de la verticalité, j’entre la médiane du céleste au marin.
______________________________________________________________________

Paso noble du Levante éventant l’âme ; le cœur est à toute à l’heure de ne pas réfléchir : le vide me happe !

----------------------------Chut ! Flèche-toi jusqu’à l’impact------------------------

Cassant l’élastique transparent…………. Fureur des bulles…………………..
Presse ondulante………….Salut aux prémisses de l’abysses…………………
………………………. La sérénité du lent suçon……………………………..

_____________________________________________________________
L’éclosion du souffle en plein milieu, ma tête bande à l’interface Air/Onde._____________________________________________________________

Ce pont (roman) à la particule de ce, se, esse en souvenance croisant le saut du creux.



#324859 Gif. The Cliff

Posted by Cami on 24 May 2006 - 10:24 PM in Salon de publication principal

-Dromoscopy, my sweet-

( Route multisectionnée aux plis des replis, encore,
au corps astral, le derme s’étoile au nuager des toi)

-Montre à la monte du monstre, s’évanouissent les si-
(So such the touch, with eat, with beat, with crash,
tender crash, on mon mont de vide)

-Hématome au plexus lunaire, le sourire d’un tic-tac s’enfuyant sur les hey !-
-De et deux Cronos en sons : Grand pathos…..-

(Pas d’angoisse agrippante l’agapanthe des linéaires de l’horizon par son nom
devenant légion, la percussion monopolise de bien trop fifrées leçons à l’or ductile)

Exe.soul



#324678 Anima Sola

Posted by Cami on 24 May 2006 - 06:39 AM in Salon de publication principal

- Jeter des sorts à travers la télé.
- La vierge ne veut pas se marier.
- La vierge veut se suicider.
- Bissecter la syntonie d’avec le Seigneur.
- Se faire une tanière au sein des flammes.
- En cellules scissionnistes sur cité.
- Marcher à coups de bombes.
- Conduire en conjurations.
- Puis prier pour un portable.
- L’attente n’est pas une purge.
- Ça urge ! Ça brûle !
- La fierté solitaire droit dans les yeux de dieu.
- Des chaînes brisées dans la maison-prison.
- Trois générations d’enfant de la paix.
- La langue des flammes titille le monde.



#324519 Fractals Amour

Posted by Cami on 23 May 2006 - 12:10 PM in Salon de publication principal

En provenance du cerveau reptilien ?
Kiss-kiss !



#324517 Fable De L'oralité Mort-née

Posted by Cami on 23 May 2006 - 12:09 PM in Salon de publication principal

"Je" d'enfance,
et oui j'ai un cerisier baptisé "grand-père"

yours



#324515 Rang D'hommes

Posted by Cami on 23 May 2006 - 12:06 PM in Salon de publication principal

En audio ça donnerait encore mieux!
Kiss-kiss !



#324458 Fable De L'oralité Mort-née

Posted by Cami on 23 May 2006 - 09:24 AM in Salon de publication principal

J’étais une fois :

- Sur le toit, abeille sans ailes.
- Unijambiste presque sirène.
- Clint Eastwood à la virgule labiale.
- La satiété après une rouste.
- Dans les bras de mon grand-père le cerisier.
- Des explorations à la révélation du on.
- Juste salive sur l’apparition des poissons.
- Par foi, une normalité déclinée.
- Il était une soie toujours déclinée entre mes doigts.

Cela se divorça et fut stérilisé par les mots qui ne meurent pas.



#323574 4 Baisers

Posted by Cami on 19 May 2006 - 07:12 AM in Salon de publication principal

C'est de l'émotionnel et un hommage à "la belle dame sans merci" de keats.
Kiss-kiss !



#323333 4 Baisers

Posted by Cami on 18 May 2006 - 10:14 AM in Salon de publication principal

Si fort-
Bébé-
Once upon a time in my mind-
C’est-
Élixir-
Claudication amoureuse-
A la lame de l’horizon-
Je me démissionne-
Par coutume-
Mensonge illuminé-
Quand mandibule le mouvement visionnaire-
Sauver-
Servir-
Un diamant coincé-
Trop tard pour être désolé-
Nacre tactile-
Si s’enferme ce zéphyr-
Eclosion irisée étoile un fantastique flash-
Apparition puérile-
Liesse en laisse-
Meurt donc un instant-
Et quatre baisers afin de clore les yeux sauvages-



#321921 Torpeur

Posted by Cami on 12 May 2006 - 08:50 PM in Salon de publication principal

Sans rythme, sans son sens musical : pas de poésie.



#321691 Froid

Posted by Cami on 12 May 2006 - 06:51 AM in Salon de publication principal

Syntoniser des matraques à la trique cosmique.
Une compulsion de métriques étouffe le tout.
C’est l’algésie performative en réalité  :

C’est une compulsion en étouffe performative-
Syntoniser des algésies en matraques cosmiques-
Réalité performative des triques, c’est à des (Hades)-
Le tout à la compulsion de syntoniser-
L’algésie de métriques en étouffe tout-
Trique cosmique en réalité à syntoniser  : Est-
En réalité des matraques, algésie performative-
Cosmique à compulsion étouffe le Syntoniser-
Performative en métriques de l’algésie  : Tout-

P.S  : en l’occurrence une tresse.



#321273 Torpeur

Posted by Cami on 10 May 2006 - 08:21 PM in Salon de publication principal

Son service est vivre livre le rêve aux lèvres.
Trêve des trahisons privées que prône le trône des clones éventés sur les serpents de bitume en asphyxie citadine sans tripode de bienvenu accusatif marginal des pages violées par surpuissance narcissique.
Croire faire naufrage.
Rage claque d'âge.
Cadmos.
Cette écume cuve sa voie lactée en piquant la lumière qui se hérisse sur le sable des vents.
La rose viole le prince en flots déclinants des premiers temps, ceux insérés au sein de l'espace sans race fissible, au mieux d'une missive amoureuse d'un missile à cœur chercheur d'heures encagées à coup de cortex contaminés.
Le joli jam de la mer!
L'eau est cachée par le noisetier…
Fifre le feu des fantaisies futures, mon âme.
L'humain occupera mon corps.
Toi, qui sait.
On sait qui sait, c'est!
Soit vos dermes malléables sur le miel des ondes roucoulantes à l'ombre révélatrices des grands Saints Axes d'émeraudes emmêlés d'auras primaires que le rossignol signe à chaque session des secondes sensibilisées par l'horizon du ternaire en trilles vermeilles à la spirales aquatiques des infinis reflets toujours à échos carnés.

Bran.
Le ciel se sèche en irisation instantanée.
Séricicoles sensations séquestrées en sérénade sérénissime des pseudo serpents cervidés que chacun chahute sur chaîne à cernes salvatrices.
C'est là que j'entre en dormition.
Allégeance allergique à l'air des faux modernes qu'endêve la beauté du partout et du maintenant lorsque après se perd au cœur des hiers trop peu fiers sans tiers à exprimer la valeur du sang.
Orage.
La chanson des frissons.
Picotements salivaires, ses sons s'éternisent au nom de l'amnésie à constance éphémère lorsque s'écorce la seule présence qui caresse sans cesse nos creux, la langue n'est que transitoire, sombre histoire de noir, celui qui soude les chaînes humaines en réseaux civilisateurs et tueurs.
Sure suture sybarite.
Crédence de l'absence, encore trop confiante en elle, parce que puérile et emperlée de piètre poutres pécuniaires au pilori du devenir.

Mondons donc!
Mais le monde se monde lui même. Alors monte sur le sourire des 10000 dimensions diamantifères, où s'éphémèrise l'évolution explosive.
Pinacle pique assiette.
Tu as aussi, pris un protuteur à ce que je sais, histoire de proverbialiser la providence qui danse sur les protons de la parole performative en silence. Toujours.
J'invoque les cornes…
Toi Syrinx!
Théorise le thaumaturge thermique tout tiré de téléosaure tautochrone qui trament et tapent la tangente de tes tanières taquines syllabisant le tendon taciturne d'une tornade totalisatrice à la torche torturante des traditions à transes transgressives, en cette transpiration traumatique des travers du troc tricheur de la toute tortueuse technologie.



#321272 Froid

Posted by Cami on 10 May 2006 - 08:19 PM in Salon de publication principal

Dac!
Kiss-kiss!



#321110 Froid

Posted by Cami on 10 May 2006 - 08:52 AM in Salon de publication principal

Les poutres,
La putain.
Les ailes que les garçons n’ont pas.
Double tranchant.
Don du ciel,
Le ciel à ne pas nommer, ainsi.
Apprivoiser.
Cette rousseur douce du renard.
Un froid de rose.
GESTALT.
Par l’odeur du fer, une assurance.
Par pression, les fluides trament une carte.
Et la complexion surgissant du néant.
L’assassin enverra mon palpitant par la poste.
Tu pourras te branler avec.



#321109 Aimantation

Posted by Cami on 10 May 2006 - 08:49 AM in Salon de publication principal

La différence est à l'attraction des points sur les I...
Kiss-kiss !