Françoise et Henry à leur tour
Mettant de côté l’amour
Faisaient l’inventaire des outils nécessaires
A leur besogne avec grand empressement
Et maladroitement jusqu’à rendre Henry en colère
Qui lui répondit méchamment
Françoise tu me tapes sur les nerfs
C’est un travail qui me revient à moi
Assieds-toi et laisses-moi faire
Et pour l’amour de dieu calmes-toi
Excuses-moi mon amour, tu as raison
Il faut être calme dans pareille situation
Bon on a les sachets et les paires de gants en plastique
Les tabliers de boucher et la scie électrique
Les couteaux qui sont bien aiguisés
La rallonge, les bonnets de pâtissier
Dans le jardin est branché le tuyau d’eau
Dans la cuisine il y a le grand robot
Tout est complet reste maintenant à récapituler
Vas-y pour voir si tu n’as rien oublié
Une fois qu’il crève on le transporte jusqu’au jardin
Non, non, voilà que le plus important tu l’as déjà oublié
On s’est entendu qu’une fois qu’il crève je te fais sauter
Oh ! Oui, mon amour, et avec grande volupté
O.K ! Continue
Bon ! On le transporte jusqu’au trou aménagé dans le jardin
Je retourne brancher le courant électrique sur la rallonge
Je reviens avec le robot et toutes les affaires dans le sac marin
Revêtus de nos tabliers, de nos bonnets et de nos gants on l’allonge
Sur le trou de terre et on le déshabille avec soins
Avec les couteaux et la scie électrique on le découpe en petits carrés
Exception faite pour ses fesses et ses mollets
Qui sont à ma charge pour en faire des tranches de filet.
Une fois, qu’on aura branché le robot
Nous broierons alors tous ses os
Nous mettrons dans les sachets tout cet amas de chair dépecé
Qu’on aura pris soins au préalable d’avoir assaisonner
Nous donnerons Frédéric à manger aux quatre chiens-loups
Qui sont enfermés depuis deux jours et complètement affamés
Ils n’en feront qu’une seule bouchée et apprécieront son goût
Pour la simple raison qu’il est bien assaisonné
Ensuite nous nous laverons à l’eau savonneuse grâce au tuyau
Nous prenons aussi bien soin de désinfecter le robot
Nous mettrons toutes ses affaires dans le sac en le rangeant dans la voiture
Après cela, complètement nus et à vive allure
Nous irons reprendre une douche dans la salle de bain
En la désinfectant ensuite avec grands soins
Le temps de mettre de nouveaux habits
Aura déjà disparu la nuit
Car le tout doit être terminé avant la levée du jour
Quelque soit le risque qu’on encourt
Au matin nous irons vérifier si Frédéric par les chiens est bel et bien liquidé
Je ferais sortir les chiens pour que leur niche soit désinfectée
Toi, tu iras contrôler le trou de terre
Pour y apporter les retouches nécessaires
Ensuite j’appelle Cauchemar pour couler du béton dans le trou
C’est l’entrepreneur qui est marié à ma copine
D’ailleurs c’est lui qui m’a fixé rendez-vous
Croyant bêtement à mon projet de piscine
Maintenant à toi la suite
Jusqu’à la montagne j’irais en voiture
Je brûlerais à l’essence toutes les affaires à coup sûr
En les faisons ensuite répartir aux quatre vents sans faille
Ensuite j’emmènerai la voiture à la station de lavage
Quand au robot vaille que vaille je le jetterai à la ferraille
Je reviens te prendre pour quitter les lieux avec tes bagages
Comme tu as raconté de partout que tu allais emménager en Espagne
Nous vendrons ta maison de campagne
D’ailleurs elle est tellement isolée
Qu’à bas prix elle sera cédée
Personne ne demandera plus des nouvelles de Frédéric
Ils penseront qu’il s’est installé en Amérique
Ensuite nous irons se la couler douce à Paris.
Tu retrouveras ton amie Marie
Que tu n’as pas depuis un an revu
Et laquelle nous a acheté un nid comme convenu
Elle reprit
Ensuite avec mon amie et confidente Marie
Nous irons rendre visite au notaire
Elle se désistera de la bijouterie
Et de pas mal d’autres affaires
Qu’en son nom j’avais inscrit en toute confiance
Tout en lui confiant toujours la gérance
Pour lui prouver ma reconnaissance
Si elle me parle au sujet de Frédéric
Qu’elle n’a d’ailleurs connu qu’à travers mon verbiage
Je lui dirais qu’au vu de la différence d’âge
J’ai préféré mettre un terme à cette musique
D’ailleurs elle sera toute contente d’apprendre la nouvelle
Puisqu’à chaque fois elle me recommandait de m’en débarrasser
Au profit de quelqu’un plus jeune et plus sensuel
Je lui ferais croire que son conseil m’a éclairé
Jusqu’à épouser Henry de la paillette
Qu’elle te connaît déjà depuis belle lurette
Comme cela nous aurons commis le crime parfait
Répondit-il avec un air satisfait
WAO ! Si j’écrirais un roman policier
« Crime crapuleux » je l’intitulerais
Lui rétorqua t-elle avec un baiser
Ils avaient tous les deux, sans qu’ils le sachent
Préparés les mêmes outils de coupe pour la même tache
Entre-temps Frédéric commençait à suer
Des douleurs au ventre se faisaient ressentir
Il avait la nausée et l’envie de vomir
Il s’était dit que c’était passager
Et que dans pareille situation cela était normal
Il se rappela même une scène identique dans un feuilleton
Où l’acteur principal avant de commettre un crime bestial
Avait les mêmes symptômes avant d’entrer en action
Il contrôla sa montre et constata qu’il n’était que 23 heures
Il s’était dit qu’en faisant un peu de gymnastique
Rapidement s’écoulera cette maudite heure,
A le voir c’était vraiment comique
Mais les douleurs de plus en plus aigus étaient là
Alors dans son bas ventre il enfonça ses deus mains
Et pour ignorer ces nausées qui ne s’arrêtaient pas
Il se recroquevilla pour atténuer la douleur sans résultat aucun
Devant une telle situation
Il commençait à avoir peur
Il ressentait de forts tremblements
Le long de tout son corps inondé de sueur
Alors il se rendit aux toilettes.
Des vomissements de sang
Lui faisait mal à la tête
Jusqu’à lui faire donner des hurlements.
Qui se répandirent jusqu’au salon
Une forte fièvre envahissait tout son corps
Et de plus en plus les tremblements.
Le rendaient plus faible que fort
Les douleurs augmentaient et devenaient de plus en plus fortes
Jusqu’à l’obliger d’appeler Françoise et Henry pour le secourir
A l’aide, à moi, je vais mourir, je pisse du sang, qu’on m’emporte
En urgence à l’hôpital je vais mourir
Ne voyant personne venir à la rescousse
De plus en plus fort des cris il pousse
Jusqu’à s’effondrer de tout son corps
Alors dans un sublime effort et à moitié mort,
A quatre pattes il se mit à ramper
Jusqu’à Françoise et Henry qui le voyaient venir
Sans pour autant s’inquiéter
Pire encore, ils éclataient de rire
Qu’attendez-vous emmenez-moi à l’hôpital
Pourquoi vous ne réagissez pas, je souffre, j’ai mal
Mais comment se fait il que l’effet du poison
Capable d’assommer sur le champ un éléphant
N’a pas réagit sur toi instantanément
Lui dit Françoise méchamment
Tu étais donc au courant
Mais bien sûr, espèce de con
Et pourquoi ne me l’as-tu pas dis
Sans blague tu aurais bien aimé que je te le dise
Moi qui te méprise
Moi qui voulais voir ta réaction
Sous l’effet du poison
Pourtant j’avais pris toutes mes précautions
On ne prend jamais assez de précautions
Quand on invite la mort dans pareille occasion
Pourtant je n’avais goutté à rien
Je m’étais bien lavé les mains
Non seulement tu as goutté
Mais tu en à mangé
Je n’en ai pas mangé non, non
Peut-être en ais-je goutté par inattention
Pourtant j’avais pris toutes mes dispositions
Pour ne pas effleurer ce poison
Françoise pardonnes-moi
Je reconnais ma faute envers toi
Je t’en supplie secours-moi
A ï ï ï ! A ï ï ï ! Ahhhhhh !
Heureusement que je te hais
Jusqu’à éprouver un grand plaisir
A te voir chialer
À te voir souffrir.
Françoise je t’en supplie je me meurs
Appelles les services d’urgence
Aie pitié de moi je te sais bon cœur
Dis leur de me dépêcher une ambulance
Ahh ! Aïïïï! Ohh ! Ahh !
Espèce de sale porc
Tu insistes à vivre encore
Moi qui aimerais te voir mort
Pour retrouver le réconfort
Françoise pour l’amour de dieu aides-moi
Je sais que je n’aurais pas dû
Je ferais tout ce que tu voudras
Maintenant que tu as su
Minuit n’a pas encore sonné
Il reste encore une heure
Le poison n’a pas beaucoup d’effet
Avant cette heure
Je t’en supplie emmènes moi à l’hôpital
Ahhhhhhh ! Je souffre, j’ai mal
Tu sembles être bien renseigné même sur le poison
Moi qui te prenais pour un con
Oui, je le sais, c’est un poison
Qui est doux et son effet agît lentement
Emmènes-moi à l’hôpital pendant qu’il est temps
Ahhhhhhh ! Je souffre ! J’ai mal ! Ahhhhhhh
Dis-moi henry je ne comprends pas ce qu’il dit
Ne fais pas attention, au sujet du poison il délire.
C’est toujours comme çà avant de mourir
D’ailleurs je sais comment avec lui en finir
Dans le but de le choquer
Henry ramena les affaires et les lui montra
Pour ne plus avoir à le supporter
Tu sais ce que c’est ça ! Espèce de goujat
C’est une scie électrique
Capable de découper
D’un seul coup magique
Le plus dur des aciers
Et ça ! Sale cochon! C’est des sachets en plastique et un tablier de boucher
Et encore ça ! Petit merdeux, c’est des couteaux bien aiguisés
Et puis encore ça ! C’est des gants et un bonnet de boulanger
Alors ! De tout cela aussi, tu étais au courant ?
Espèce de sale cochon.
Oui ! Oui ! Je l’avoue, je sais tout cela
Je sais aussi qu’il y a le grand robot
Pour broyer les os
Henry pardonnes-moi,
Ahh ! Ahh ! Ahhhhhhhhhhhh !
Alors là !je trouve cela bien drôle
Que l’effet du poison te rende aussi devin
Il y a de quoi s’étonner, ma parole.
Franchement je ne comprends rien
Pourtant c’était un poison très fort
Qui donne sur le champ la mort.
Non Henry, je te jure qu’il est très doux
Et qu’il met du temps pour agir
La preuve je suis encore debout
Secours-moi sinon je vais mourir
Merde ! Moi qui je te prenais pour un imbécile
Voilà que je découvre que tu es très habile
Au point de me rendre débile
Henry ne m’abandonnes pas
Minuit n’a pas encore sonné
Il reste encore une heure secours-moi
Je te demande de me pardonner
A ï ï ï ! Ahhh ! Ahhhhhhhhh !
Mais pourquoi tu insistes tant à vouloir survivre jusqu’à minuit
Espères tu encore vouloir souffler avec nous les bougies
Où vouloir manger de ton chocolat fait spécialement pour ta femme
Dis le moi espèce d’animal
Non, non ! Henry de grâce surtout pas de chocolat
Surtout ne me dis pas que tu n’en veux pas
Parce que Françoise ne t’ouvre pas ce droit
Si tel est le cas franchement de plus en plus tu m’étonnes
Tu ne veux même pas manger un peu de son chocolat
Sachant que dans un moment tu vas passer à trépas
L’amour que tu as pour Françoise me désarçonne
Non Henry surtout pas de chocolat
Je t’en prie ne fait pas cela
Tu sais que ce chocolat est………
A Françoise, oui je le sais espèce de chimpanzé
Termina Henry qui n’y allait pas de main morte
Car avant qu’il ne termine sa phrase il avait fait en sorte
A ce que le chocolat dans sa bouche s’écrase jusqu’à l’étouffer jusqu’à le tuer
Dis-moi, mon chéri, c’était quoi au juste, comme poison
C’était de la mort aux rats bien sucré avec du jus de citron
Et pourquoi comme tu me l’avais dit son effet n’a pas été instantané
Pourtant quand je l’avais essayé sur le chien
Il avait succombé en moins que rien
Mais sur Frédéric il a mis du temps
Il l’a rendu gentil jusqu’à demander pardon
En plus il était au courant pour ce qui est des instruments
Donc il savait qu’on allait l’empoisonner et le dépecer
Mais alors pourquoi insistait t-il à ce qu’on l’emmène à l’hôpital
Parce que certainement qu’il voulait une mort instantanée
Et non une mort qui lui ferait endurer beaucoup de mal
Certainement, oui tu as sans doute raison
Toujours est-il qu’il t’aimait follement
Enfin ! Tout est bien fini, maintenant transportons jusqu’au jardin son corps
Françoise tu oublies encore qu’avant je dois te faire sauter a mort
Oh oui ! Mon amour, dans la chambre, allons nous divertir
Juste le temps de laisser son corps refroidir
Non je te fais sauter en sa présence
C’est ce qu’on appelle l’amour sardonique
Il nous donnera une jouissance
A sens unique
Deux jolis corps
Qui se défoncent en compagnie du mort
Hum ! Cela doit être bon
Après tout il le mérite ce cochon
Pour mener à bien l’amour sardonique
Tous nos actes doivent êtres cyniques
Hum ! J’ai déjà des sensations
Je suis certaine que ce sera bon
Allez ! Enlèves ta culotte
Pendant qu’à mon tour tous mes habits j’ôte
Voilà ! C’est fait
Bon ! Tu te positionnes de sorte à dominer de haut le mort
Tu me donnes du dos en penchant ta tête vers l’avant
Entre tes jambes bien écartées sera disposé son corps
De manière à le fixer avec ton regard, ce cochon.
Voilà ! Ça va comme çà.
Oui ! Écartes bien tes jambes et ouvres ta chatte
De la pénétrer j’ai hâte
Soulève ta chemise de nuit
Déjà le désir m’envahit
Maintenant je prends ma queue
Je frotte ta chatte jusqu’à l’exciter
Entre-temps dandine un peu
Comme si tu es en train de danser
Comme ça ! C’est bon !
O.k ! C’est parfait
Maintenant je sens ta chatte en chaleur
Dandines toujours et baisses toi un peu
Pour que j’entre et je sors avec ardeur
Afin de raviver ton feu
WAO ! C’est bon ! C’est bien !
Ce va et vient te fait-il du bien ?
Oh oui ! Mon amour, mais accélères un peu
Ne me tue pas à petit feu
Voilà ! J’entre et je sors…
Hum ! C’est bon ! Oh ! Ah ! Vas-y ! Plus fort !
T’inquiètes pas il nous reste du temps encore
De nouveau j’entre et je sors
WAO ! C’est extra
Vas-y défonces-moi
Est-ce que tes gémissements et tes cris
Sont une invitation à posséder ton corps ?
Où est-ce le signe d’une folle envie
Que jalouserait ce mort ?
Oui, oui, mon amour prend tout mon corps
Fais-moi sauter je brûle à petit feu
Oh ! Ah ! Ah ! Encore plus fort
Je sens le feu
Est-ce que tu m’aimes assez fort ?
Plus que ne t’a aimé ce mort ?
Oh ! Oui mon amour
Alors prouves-le moi en pinçant son visage
Arraches lui ses cheveux
A ce sale sauvage
Et jusqu’à écoulement de son sang griffes-le
Oui mon amour, voilà je le griffe ce sale vieux
Je sens même son sang dans mes mains
Mieux encore je lui arrache ses cheveux
Ah ! Que cela est bien
Si tu m’aimes à mort
Et si tu veux que je te fasse pousser de grands ouille
De son sang badigeonnes ton corps
Pour qu’à mon tour ta chatte je la barbouille
Oui mon amour, voilà je badigeonne mon visage, mes seins,
Ma poitrine, ma chemise de nuit et mes cheveux du sang de cet andouille
Hou lala ! Comme c’est bien
Ouille ! Ah ! Vraiment ça me chatouille
Maintenant vas-y éjacules
Dans ma chatte de mule
Je t’en supplie je brûle
Non, pas avant de te donner un coup fort
Oui, oui, donnes-moi un coup assez fort
J’aime cet amour à sens unique
Surtout en compagnie du mort
C’est vraiment sardonique
Pour que cet amour à sens unique
Fasse vraiment mouche
Et qu’il soit réellement sardonique
Je vais le compléter avec une dernière retouche
Oui, oui, mon amour fais-le
Je sens en moi le feu
Le voudrais-tu vraiment
Puisque je te le demande ardemment
Alors ma chérie ferme les yeux
Et redresses ta tête un peu
Ça y es j’ai fermé les yeux
Maintenant je t’en supplie fais feu
Ma retouche c’est d’être bestial
Alors dandine comme un animal
Pour que je te donne le coup final
Oui, oui, vas-y, je veux que tu sois bestial
Éjacule donc ! Qu’est ce que tu attends
Vas-y donnes-moi le coup final
Je suis en plein orgasme vas-y maintenant
Puisque c’est comme ça !
Tiens ! Le voilà !
AAAAhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !
Elle poussa un grand cri strident
Différent de tous les autres cris et gémissements
Il venait de lui asséner un coup sec
En clouant pour un moment son bec
Le coup était tellement fort
Qu’elle s’écroula de tout son corps
C’était cela l’amour à sens unique
L’amour sardonique
C’était cela l’amour bestial
C’était cela le coup final
Elle le voulait tellement
Il le lui avait donné au bon moment
Henry était complètement épuisé
Suite aux efforts fournis
Il s’allongea sur le canapé
Pour reprendre un peu son énergie
Françoise sur Frédéric était allongée
Son visage sa poitrine ses seins et ses cheveux
Sont immaculés de sang encore frais
Le diable lui même n’aurait pas fait mieux
Juste à ce moment là minuit venait de sonner.
C’est le moment de prendre une douche disait henry
Encore de son sperme taché
Car à la dernière minute il avait éjaculé sur lui
Acte (III)
Crimes Crapuleux (3)
Started by grandvent, Dec 03 2006 08:09 PM
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